Bonne nouvelle économique – Écolovrac Rouyn-Noranda

Le 1er septembre dernier, Jessica Poirier et Geneviève Latour ont acquis le commerce Écolovrac Rouyn-Noranda. L’entreprise qui offre une panoplie de produits alimentaires et non alimentaires en vrac est maintenant située au 599, avenue Murdoch. Ce service a pour objectif de diminuer l’impact environnemental du suremballage. La relève et le déménagement de l’entreprise a permis de maintenir 2 emplois.

Deux postes de conseiller ou conseillère aux entreprises à la SADC

Conseiller ou conseillère aux entreprises  

Temps plein, permanent
Temps plein, remplacement congé de maternité

DEUX POSTES sont maintenant à combler dans notre équipe en prévision d’un congé de maternité et de la gestion de nouveaux fonds.

Nous travaillons selon une approche de développement durable, ce qui guide toutes nos pratiques au quotidien et nos employés peuvent en témoigner !

Gouvernance : des rencontres d’équipe ont lieu tout au long de l’année à différents moments clés. Elles ont pour but d’assurer un suivi de notre vision, favorisent le partage d’informations, évitent de travailler en silo et permettent de prendre en compte l’opinion des membres de l’équipe dans la prise de décision.

Environnement : la SADC instaure, organise et appuie également des projets qui permettent aux communautés de stimuler leur développement socioéconomique.

Social : nous travaillons dans des bureaux modernes, ergonomiques et dans un environnement sans papier. Le télétravail et les horaires souples sont des avantages que les employés apprécient grandement dans leur quotidien.

Ce qui vous plaira dans cet emploi :

  • Une direction ouverte d’esprit qui saura comprendre votre réalité terrain
  • Un plan d’intégration jumelé à une formation structurée permettant l’acquisition des compétences reliées au poste
  • Un mentorat par l’employée occupant actuellement le poste
  • La capacité de suivre le cheminement de vos compétences sous forme d’autoévaluation
  • Une équipe compétente qui cumule plus de 60 ans d’expérience
  • Une grande ouverture à ce que vous apportiez votre vision et créativité aux projets en cours
  • Une politique de télétravail et un horaire flexible
  • Des avantages sociaux concurrentiels

Ce que la SADC vous offre :

  • Emploi temps plein, permanent, 35 h/semaine (7 h/jour)
  • Salaire selon l’expérience pertinente, allant de 57 108 $ à 74 753 $ (dix échelons)
  • Un (1) mois de vacances après un (1) an de travail
  • Congés mobiles (10 jours pour concilier travail et vie personnelle)
  • 9 congés fériés et bureau fermé du 24 décembre au 2 janvier inclusivement
  • Assurance collective (dentaire, vie et invalidité), contribution 50 % de l’employeur
  • REER avec contribution de l’employeur à partir de 3 % et jusqu’à 5 % après 2 ans
  • Allocation mensuelle pour le téléphone mobile

Mandat 

  • Répondre aux questions des entrepreneurs concernant leur projet d’entreprise, les informer des programmes disponibles au sein de l’organisation et les référer vers les ressources appropriées pour eux, s’il y a lieu
  • Rencontrer les clients qui ont obtenu du financement pour leur projet et valider avec eux leur besoin d’accompagnement
  • Planifier et réaliser les suivis requis aux entreprises bénéficiant des services d’aide financière et présentant des besoins spécifiques d’accompagnement
  • Analyse ponctuelle de demandes de financement
  • Prendre en charge, en collaboration avec l’équipe, la gestion de différents programmes de financement des entreprises
  • Susciter, animer, coordonner ou participer à la réalisation de projets ou d’activités de développement ou d’information pouvant stimuler le développement économique
  • Collaborer avec la conseillère en place à la réalisation du colloque RH

Condition de succès

  • Formation universitaire en finance, administration ou comptabilité (une technique en administration ou une expérience dans un domaine pertinent peut être considérée)
  • Une connaissance du développement économique
  • Maîtrise des logiciels de la suite Office 365
  • Maîtrise du français parlé et écrit
  • Bilinguisme (atout)

Aptitudes recherchées

  • Être orienté vers le client
  • Savoir gérer les priorités, être autonome — on compte sur vous !
  • Attitude constructive — en mode solution !
  • Dynamisme et collaboration — le travail d’équipe avant tout !
  • Loyauté, sens éthique et leadership
  • Capacités dans la gestion et la coordination de projet

Vous correspondez à ce profil ? Contactez Lyne pour en discuter ! Ou faites-lui parvenir votre candidature [email protected] avant le 10 janvier, 16 h

Annie, Vanessa, Virginie et Lyne vous attendent avec enthousiasme !

L’entrée en fonction se fera dès que possible et sera déterminée avec la personne sélectionnée pour le poste.

La SADC Shawinigan lance trois nouveaux fonds pour propulser le transfert d’entreprises ainsi que leur transition verte et numérique

Shawinigan, le 27 novembre 2024 – La SADC Shawinigan lance trois nouveaux fonds pour soutenir financièrement les entreprises dans leurs projets de transfert ainsi que leur transition verte et numérique. Ces trois nouveaux fonds proposent des modalités avantageuses. Les prêts offerts pourront aller jusqu’à 50 000 $ et incluent un congé d’intérêt de deux ans.

Financement Stratégie transfert

  • Pour faciliter le transfert d’entreprises en région, tant pour la relève interne et familiale que pour l’acquisition d’entreprises.

Financement Stratégie verte

  • Pour accélérer le virage vert des petites entreprises en facilitant l’adoption de pratiques écoresponsables ou l’implantation de technologies propres au sein des entreprises, comme l’optimisation de l’efficacité énergétique ou des matières résiduelles des PME ou encore la diminution de leurs émissions de gaz à effet de serre.

Financement Stratégie numérique

  • Pour accélérer la transition numérique des petites entreprises, comme l’implantation de systèmes de gestion (CRM, ERP), l’automatisation de processus, la robotique, la domotique ou encore l’optimisation de la sécurité informatique.

Les entrepreneur.es de Shawinigan pourront ainsi bénéficier d’un prêt à des conditions avantageuses. Au-delà du financement, la SADC Shawinigan offre aussi de l’accompagnement personnalisé, des ateliers sur mesure, des outils, et ouvre aussi la voie aux PME à un vaste réseau d’expertise et de partenaires.

 

« L’équipe de la SADC a l’avantage de bien connaître les enjeux économiques de notre milieu et des entrepreneur.es d’ici qu’elle accompagne au quotidien dans leurs défis de gestion. Le conseil d’administration est heureux de l’arrivée de ces nouveaux fonds qui s’ajoutent à son coffre à outils. »  

       – Nathalie Boisvert, présidente de la SADC Shawinigan

 

« Nous invitons dès maintenant les entrepreneur.es de Shawinigan à nous contacter pour nous faire part de leurs projets. L’arrivée de ces nouveaux fonds, qui agiront en complémentarité avec les fonds déjà disponibles, nous permettra de leur offrir un maximum d’aide pour concrétiser leurs ambitions. »  

       – Simon Charlebois, directeur général de la SADC Shawinigan

 

Un lancement à l’échelle provinciale

Le Réseau des Sociétés d’aide au développement des collectivités (SADC) et des Centres d’aide aux entreprises (CAE) est plus que jamais incontournable pour soutenir la PME québécoise et lançait hier cette initiative qui est dorénavant disponible dans toutes les SADC et tous les CAE du Québec. Ce sont des investissements de près de 40 M$ qui répondront à des besoins criants des entrepreneur.es du Québec.

Ces nouveaux fonds font partie de nouvelles mesures rendues possibles grâce au récent renouvellement des ententes avec Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) qui réitérait en juin dernier son engagement envers le Réseau des SADC et CAE du Québec à titre de partenaire privilégié dans le développement économique des régions. Cette entente

 

représente des investissements de 245 millions sur cinq ans donnant plus que jamais aux SADC et CAE les moyens de leurs ambitions.

« Ces nouveaux investissements apportent une réponse concrète aux défis majeurs que rencontrent les entrepreneurs dans nos communautés. Grâce à leur présence sur le terrain, les SADC et CAE offrent un accompagnement de proximité qui permet à notre Réseau de réagir rapidement pour permettre aux PME de poursuivre leurs ambitions de croissance, d’innovation et de développement durable »,

– Pascal Harvey, président-directeur général du Réseau des SADC et CAE.

Plus de moyens pour soutenir l’avenir des PME

« Le gouvernement du Canada est fier de soutenir les entrepreneurs de toutes les régions dans leur croissance et leur transition vers un avenir plus vert et numérique. L’accès à de nouveaux fonds contribuera non seulement à renforcer la compétitivité des PME du Québec, mais également à consolider la vitalité économique de nos collectivités. En collaborant étroitement avec les SADC et CAE, nous assurons aux entreprises l’accompagnement et les ressources nécessaires pour réussir dans un monde en pleine évolution. »

  • L’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec

 

À propos de la SADC Shawinigan

La Société d’aide au développement des collectivités (SADC) Shawinigan a été fondée en 1984. Sa mission est de mettre en œuvre, de gérer ou de soutenir des projets pour favoriser le développement économique et social de son territoire. Depuis sa création il y a 40 ans, elle s’est engagée à soutenir les entreprises et la collectivité locales, à favoriser l’entrepreneuriat et à agir en concertation avec les acteurs du milieu. sadcshawinigan.ca

À propos du Réseau des SADC et CAE

Le Réseau des SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et CAE (Centres d’aide aux entreprises) regroupe 57 SADC et 10 CAE qui œuvrent depuis plus de 40 ans au développement économique de leur collectivité. Ce sont plus de 1 000 professionnels et bénévoles qui soutiennent et financent chaque année plus de 10 000 entrepreneurs et 1500 projets de développement économique local. www.sadc-cae.ca

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Renseignements

Sylvie Lavergne, directrice du développement et des communications
Tél. : 819 537-5107 poste 215
Courriel : [email protected]

Projet Mobil’eau 2024 : Plus de 9 000 bouteilles d’eau en plastique évitées et des avancées concrètes pour rendre les événements plus écoresponsables!

La Pocatière, le 26 novembre 2024 – Les Sociétés d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup sont fières de dresser un bilan très positif de la saison 2024 du projet Mobil’eau. Cette année, 19 événements ont bénéficié des unités mobiles d’eau potable, évitant ainsi l’utilisation de 9 076 bouteilles en plastique et renforçant l’engagement pour des pratiques plus écoresponsables dans la région.

Conçues pour répondre aux besoins des organisateurs d’événements extérieurs de réduire les produits à usage unique, ces unités sont équipées de distributrices d’eau potable avec abreuvoirs et remplisseurs de gourdes. L’unité Mobil’eau peut fonctionner de manière autonome grâce à des panneaux solaires et des batteries ou être raccordée à l’aqueduc. L’unité Mobil’eau+ est équipée d’un lave-vaisselle commercial se branchant aux réseaux d’électricité et d’aqueduc.

Dans l’optique de sensibiliser et d’outiller davantage les promoteurs d’événements dans la planification d’événements à faible impact environnemental, un Guide pratique pour un événement extérieur écoresponsable a été élaboré et deux conférences ont été offertes par Collectivités écologiques Bas-Saint-Laurent (Co-éco), un des partenaires du projet.

Le projet Mobil’eau a obtenu un Prix Engagement lors de la Soirée des organismes de la Caisse Desjardins Centre-Est-du-Kamouraska et a également reçu une distinction lors d’une soirée reconnaissance des « champions des régions » du Réseau des SADC & CAE du Québec.

Ce projet est rendu possible grâce au soutien des villes partenaires, Rivière-du-Loup, Saint-Pascal et La Pocatière, ainsi que des municipalités utilisatrices qui apportent leur expertise en gestion de l’eau potable et leur soutien logistique.

« Le succès du projet Mobil’eau repose sur la précieuse collaboration des différents acteurs impliqués. Nous avons presque doublé le nombre d’événements cette année et nous avons déjà évité près de 16 000 bouteilles au total. Tous ensemble, nous contribuons à minimiser l’empreinte écologique des événements de la région. » soulignent Anik Briand et Marie-Josée Dorval, respectivement directrices des SADC du Kamouraska et de la MRC de Rivière-du-Loup.

Le développement du projet va se poursuivre en 2025 avec l’appui financier des Caisses Desjardins Centre-Est-du-Kamouraska, de l’Anse de La Pocatière, de Rivière-du-Loup et Viger et Villeray, qui contribuent à hauteur de 10 000 $ par an jusqu’en 2028.

Créatrice de valeur, la SADC du Kamouraska a pour mission de stimuler le développement de son territoire d’une façon durable en accompagnant les entrepreneurs et les acteurs du milieu dans leurs projets par son expertise et ses outils financiers.

La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup oriente et supporte le développement et la réussite de projets entrepreneuriaux et collectifs sur son territoire, et ce, un conseil à la fois.

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Contacts :

  • Anik Briand, directrice générale, SADC du Kamouraska, 418 856-3482 poste 110, [email protected]
  • Marie-Josée Dorval, directrice générale, SADC de la MRC de Rivière-du-Loup, 418 867-4272 poste 202, [email protected]

 

13e édition du colloque en ressources humaines de la SADC de Baie-des-Chaleurs : « Innover ou résister : comment adoucir le changement »

*** À noter que la période d’inscription est maintenant TERMINÉE. Merci à tous ceux et celles qui se sont inscrits à cette 13 édition. C’est un rendez-vous ce mercredi 6 novembre au Centre de congrès de la Gaspésie! ***

Le 6 novembre prochain, c’est un rendez-vous au Centre des congrès de la Gaspésie pour la 13e édition du colloque en ressources humaines de la Baie-des-Chaleurs !

Sous le thème « Innover ou résister : comment adoucir le changement », cette édition du Colloque RH propose un moment privilégié d’enrichissement axé sur l’importance d’une saine gestion des ressources humaines.

COÛT D’INSCRIPTION (incluant le dîner)

  • Inscription individuelle :
    • Membre : 125 $
    • Non membre : 200 $
  • Offre spéciale aux membres corporatifs :
    • 2 inscriptions : 200 $
    • 3 inscriptions : 275 $
Pour devenir membre corporatif au coût de 50$, veuillez contacter la SADC au 418-759-1555 poste 0 ou au [email protected]

*Pour être membre corporatif de la SADC, votre place d’affaire doit être située sur le territoire de la MRC Avignon ou Bonaventure.

Aucun remboursement, billet transférable seulement.

Pour information : [email protected] ou 418-759-1555 poste 224

Un projet de relocalisation réussi pour la SADC du Kamouraska

La Pocatière, le 30 octobre 2024 – La SADC du Kamouraska a procédé, le 30 octobre dernier, à l’inauguration de ses nouveaux bureaux dans le cadre d’un événement portes ouvertes qui a attiré une cinquantaine de visiteurs. Clients, membres, partenaires et représentants de la communauté entrepreneuriale ont assisté à la traditionnelle coupure de ruban, marquant officiellement l’établissement de l’organisme dans l’édifice d’Avantis Coopérative, situé sur l’avenue Industrielle à La Pocatière. 

En tenant cette activité conviviale et rassembleuse, les membres de l’équipe et du conseil d’administration de la SADC ont permis aux visiteurs de découvrir les nouveaux bureaux et locaux de l’organisme qui se situent dans un environnement accueillant, moderne et inspirant. La cohabitation avec Avantis Coopérative et Desjardins favorise le développement d’une nouvelle synergie entre les trois équipes et maximise l’utilisation d’espaces communs. 

En plus de la visite animée des lieux et de la présentation des services de la SADC, l’un des moments forts de l’événement fut l’inauguration officielle en présence de plusieurs dignitaires et invités. Les célébrations ont été également propices aux échanges et au réseautage entre les nombreux participants réunis pour l’occasion. 

Un nouvel espace stimulant pour la SADC du Kamouraska 

Lors de son allocution, le président du conseil d’administration, Monsieur Olivier Lambert, a souligné les objectifs de cette relocalisation : « Nous avions le désir d’améliorer l’accessibilité et la visibilité de notre place d’affaires pour mieux accueillir nos clients. Nous rêvions d’un environnement professionnel à la hauteur des services de la SADC, tout en assurant le bien-être de nos employés. » 

La directrice générale Madame Anik Briand a, quant à elle, mis en lumière l’importance de ce projet pour l’organisation : « L’événement d’aujourd’hui marque notre troisième localisation d’importance dans l’histoire de la SADC qui existe depuis bientôt 40 ans! Ce projet majeur s’inscrit parfaitement dans notre démarche d’économie circulaire, prônant le partage et l’optimisation des ressources. » Elle a tenu à ajouter : « La mobilisation de l’équipe autour de ce projet a redonné un nouveau souffle au travail en présentiel, équilibrant ainsi l’alternance avec le télétravail, au bénéfice de notre clientèle. » 

À propos de la SADC du Kamouraska 

Créatrice de valeur, la SADC du Kamouraska a pour mission de stimuler le développement de son territoire d’une façon durable en accompagnant les entrepreneurs et les acteurs du milieu dans leurs projets par son expertise et ses outils financiers. 

Les nouveaux bureaux reflètent les valeurs de bienveillance, d’agilité, de coopération, d’intégrité et d’engagement de la SADC qui vise à être reconnue comme un partenaire de changement en misant sur le capital humain pour développer un Kamouraska durable. 

Pour plus d’informations, visitez le site web de la SADC du Kamouraska : sadckamouraska.com. 

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Sur la photo de gauche à droite : Madame Sophie Gendron, administratrice chez Avantis Coopérative, Monsieur Olivier Lambert, président de la SADC du Kamouraska, Monsieur Simon Fissette, conseiller municipal à la Ville de La Pocatière et Madame Anik Briand, directrice générale de la SADC du Kamouraska.

Contact : 

 Isabelle Chouinard, conseillère en développement économique, SADC du Kamouraska 

418 856-3482, poste 102 | [email protected] 

 

Colloque RH du Kamouraska : Le rendez-vous de l’automne 2024 pour les employeurs de la région.

La Pocatière, le 8 octobre 2024. – Propulsé par le Comité emploi du Kamouraska, le Colloque RH se tiendra le 14 novembre 2024 de 11 h 30 à 16 h 30 au Centre Bombardier de La Pocatière. Plusieurs conférences et ateliers portant sur les meilleures stratégies de gestion des équipes de travail seront présentés. Cet événement est rendu possible grâce à la participation financière du gouvernement du Québec.

« Notre gouvernement est fier de soutenir la première édition de ce colloque RH, laquelle se déroulera dans la MRC de Kamouraska. Je suis convaincue que cet événement sera bénéfique aux gestionnaires et responsables des ressources humaines qui y participeront et leur permettra de devenir des employeurs de choix. Dans le contexte actuel du marché du travail, les organisations doivent s’adapter aux changements. Ce colloque donnera aux participants présents l’occasion d’en apprendre davantage sur les outils qui s’offrent à eux. C’est un rendez-vous à ne pas manquer! », souligne Kateri Champagne Jourdain, ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord.

« C’est une occasion parfaite pour les gestionnaires des ressources humaines d’acquérir les meilleures pratiques en la matière pour s’adapter aux nouvelles réalités du marché du travail. Je suis heureux que mon gouvernement soutienne la première édition du Colloque RH du Kamouraska, car c’est bénéfique non seulement pour les participants à l’événement, mais aussi pour les organisations et la profession dans leur ensemble. Cela favorise un écosystème d’apprentissage continu et d’innovation qui est essentiel dans un domaine en constante évolution. Je vous invite à y participer en grand nombre! », mentionne Mathieu Rivest, député de la Côte-du-Sud.

Ce sera l’occasion idéale pour rencontrer d’autres gestionnaires engagés, en apprendre davantage sur les meilleures pratiques en gestion des ressources humaines et obtenir des outils performants et actuels. Les ateliers permettront aux participants de partager leurs expériences, réalisations, problèmes et solutions, sans compétition. Enfin, la présence de kiosques d’information facilitera la prise de contact avec les organisations du milieu qui offrent du soutien et de l’accompagnement aux employeurs qui voudront aller plus loin dans leurs démarches après le colloque.

L’événement débutera par un dîner réseautage qui sera suivi d’un après-midi riche en apprentissages. Plusieurs conférenciers de renom se partageront la scène : madame Céline Conti de l’entreprise Go RH, madame Marie-Michèle Bélanger de La Firme marketing, monsieur Martin Delarosbil de l’entreprise Team Factory, ainsi que madame Isabelle Touati de Réseau Annie RH. Il sera également possible sur place d’en savoir davantage sur les ressources locales et services offerts aux entreprises.

Les entrepreneurs, les gestionnaires d’entreprises et les responsables des ressources humaines de la région sont invités à découvrir la programmation et à s’inscrire d’ici le 31 octobre 2024 sur le site Web de la SADC du Kamouraska.

 

À propos du Comité emploi du Kamouraska :  

Le Comité emploi du Kamouraska est un regroupement de partenaires concernés par l’employabilité dans la MRC du Kamouraska. Cette table de concertation cible des enjeux en lien avec le marché du travail et organise des activités et des projets touchant les chercheurs d’emploi et les employeurs, en assurant un meilleur appariement et en misant sur la formation, l’accompagnement, le services conseils et l’aide financière.

Le Comité emploi du Kamouraska regroupe les partenaires suivants : le bureau de Services Québec de La Pocatière du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale, la SADC du Kamouraska, la MRC de Kamouraska, la Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet, COSMOSS Kamouraska, Développement économique La Pocatière, EXTRA Formation continue du Cégep de La Pocatière, Projektion 16-35, le Service aux entreprises Kamouraska – Rivière-du-Loup du Centre de formation professionnelle Pavillon-de-l’Avenir et la Ville de Saint-Pascal.

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Source : SADC du Kamouraska

Nom : Isabelle Chouinard

Titre : Conseillère en développement économique

Numéro de téléphone : 418-856-3482 poste 102

Courriel : [email protected]

 

30 octobre 2024 – Portes ouvertes et inauguration officielle des nouveaux bureaux de la SADC du Kamouraska

C’est avec fierté et enthousiasme que la SADC du Kamouraska invite ses membres, clients, partenaires, ainsi que la population en général à son événement PORTES OUVERTES qui se tiendra le mercredi 30 octobre 2024 de 16 h à 18 h.
Les membres de l’équipe et du conseil d’administration seront présents pour vous accueillir et vous faire découvrir l’espace qu’occupe la SADC dans l’édifice appartenant à Avantis Coopérative, situé au 205 avenue Industrielle, à La Pocatière.
Au programme :
  • Visite des nouveaux bureaux et des locaux à la disposition de la SADC
  • Présentation de l’équipe et des services offerts
  • Inauguration officielle
  • Cocktail, goûter et prix de présence
Ne manquez pas cette occasion unique et conviviale pour (re)découvrir la mission de notre organisme, discuter de vos projets avec nos conseillers et réseauter avec la communauté SADC qui sera au rendez-vous!
Entrée libre et gratuite, aucune inscription.
Tout le monde est bienvenu! On vous attend en grand nombre.

Choisir la bonne forme juridique pour votre entreprise

En consultant le présent article, vous serez en mesure de connaître les différentes formes juridiques des entreprises au Québec ainsi que leurs avantages et inconvénients. Il s’agit d’un outil non exhaustif qui pourra vous guider dans votre choix d’entreprise. Cependant, il est toujours important de consulter un conseiller juridique avant de démarrer votre entreprise pour s’assurer que votre choix corresponde bien au type d’activité que vous désirez exercer.

Vous devez savoir que la plupart des formes d’entreprises doivent être immatriculées auprès du Registraire des entreprises du Québec et ce, en vertu de la Loi sur la publicité légale des entreprises individuelles, des sociétés et des personnes morales (L.R.Q., c.P-45). Immatriculé signifie que votre entreprise sera enregistrée au bureau du registraire des entreprises et que certaines informations concernant votre entreprise seront accessibles au public.* Ainsi, toute personne voulant démarrer son entreprise au Québec à l’obligation de transmettre une déclaration d’immatriculation au registraire des entreprises au plus tard soixante (60) jours après le début de ses activités. Il est maintenant possible de produire cette déclaration en ligne à l’adresse suivante : « www.registreentreprises.qc.ca ».

Une fois immatriculé, vous devrez mettre à jour annuellement les informations déclarées sur votre déclaration d’immatriculation ainsi qu’à chaque fois que votre entreprise subira une modification, par exemple, un changement du siège social. Ces mises à jour peuvent également se faire en ligne. Sur le site web du registraire, vous pourrez obtenir toute l’information sur la façon de procéder pour produire votre déclaration d’immatriculation ainsi que pour mettre à jour les informations concernant votre entreprise.

De plus, vous devez savoir que certaines personnes ou sociétés ne seront pas soumises à l’obligation d’immatriculation auprès du registraire des entreprises, soit :

  • Une personne physique qui exploite une entreprise individuelle au Québec sous un nom comprenant son prénom et son nom;
  • La société en participation;
  • Le joint-venture (regroupement de société);
  • L’association non personnifiée (qui n’est pas une corporation à but non lucratif).

* Cette immatriculation vous permet aussi de réserver votre nom d’entreprise et ainsi de vous assurer d’avoir l’exclusivité de ce nom.

 

COMMENT FAIRE LE CHOIX DU TYPE D’ENTREPRISE

La première question à vous poser est : Faire affaire seul ou avec d’autres ?

La personne physique qui décide de faire affaire seul à deux possibilités de forme d’entreprise qui s’offre à elle : soit l’entreprise individuelle ou la compagnie à actionnaire unique.

La première forme d’entreprise n’est pas incorporée, alors que la deuxième constitue une personne morale incorporée.

La personne physique peut choisir d’exploiter son entreprise avec d’autres personnes. Dans ce cas, plusieurs formes d’entreprises peuvent être utilisées : soit la société en nom collectif, la société en commandite, la société en participation, l’association, la compagnie et la coopérative.

 

LES DIFFÉRENTES FORMES D’ENTREPRISE

Entreprise à propriété unique ou individuelle

Une seule personne est propriétaire de tous les actifs de l’entreprise et en assume toutes les obligations et les dettes.

Avantages :

  • C’est la forme juridique la plus simple, la plus rapide et la plus économique à mettre sur pied, à exploiter et à dissoudre.
  • Tous les profits vont à la même personne.
  • Étant seul propriétaire, ce dernier a toute liberté d’action et de prise de décision concernant la direction, l’orientation et le contrôle de l’entreprise. Cette personne dirige son entreprise et assume tous les pouvoirs et toutes les obligations.
  • Besoin minimum de fonds de roulement.
  • L’entreprise est exploitée par une seule personne qui engage des employés au besoin.
  • Possibilité de recourir au tribunal des petites créances.
  • Possibilité de déduire les pertes de l’entreprise des revenus provenant d’autres sources.
  • Forme juridique la moins assujettie aux réglementations, elle conserve un caractère très confidentiel du fait qu’elle n’est pas tenue de divulguer ses états financiers.

Inconvénients :

  • Ses biens personnels et ceux de l’entreprise forment un tout. Dans le cas d’une faillite, tous les biens du propriétaire peuvent être saisis, parce qu’en tant qu’individu, il a une responsabilité personnelle illimitée concernant les obligations et les dettes de l’entreprise.
  • La faillite de l’entreprise entraîne la faillite du propriétaire.
  • Taux d’imposition élevé du fait que l’entreprise est taxée selon le taux d’imposition des particuliers. Tous les revenus de l’entreprise sont ajoutés aux autres revenus du propriétaire.
  • Croissance limitée par la difficulté d’obtenir du capital – Financement limité car il dépend des ressources financières du propriétaire et de sa capacité d’emprunt
  • L’entreprise n’a pas de personnalité morale qui lui est propre et elle disparaît au moment du décès du propriétaire.

Société en nom collectif, en commandite ou en participation

La société est dirigée par deux ou plusieurs propriétaires, responsables conjointement et solidairement des obligations et des dettes. Il est préférable et souhaitable d’avoir une convention entre associés qui devra mentionner clairement leurs droits et leurs obligations.

Avantages :

  • Simplicité de constitution, d’administration et de dissolution.
  • Caractère de confidentialité dû au fait qu’elle n’est pas tenue de divulguer ses états financiers.
  • Possibilité de déduire les pertes de l’entreprise des revenues provenant de d’autres sources.
  • Sources additionnelles de capital de départ par la présence de plusieurs associés car chaque associé participe au financement de la société par une contribution financière, professionnelle ou autre.
  • Ressources humaines plus grandes et mise en commun des compétences de chacun des associés
  • S’il y a convention entre associés à cet effet, le décès d’un associé n’entraîne pas automatiquement la fin de la société.

Inconvénients :

  • Taux d’imposition élevé du fait que l’entreprise est taxée selon le taux d’imposition des particuliers. Tous les revenus de l’entreprise sont ajoutés aux autres revenus du propriétaire.
  • Chaque partenaire peut être tenu responsable de tous les engagements de la société quel que soit son pourcentage de capital investi.
  • La société cesse d’exister dès que survient l’incapacité ou le décès d’un associé s’il n’y a pas eu de convention prévue.
  • L’autorité étant divisée, il y a un risque de conflit entre associés.
  • Possibilité de déduire les pertes de la société des autres revenus des associés.
  • La faillite de l’entreprise entraîne la faillite des propriétaires
  • Chacun des associés possède des parts sociales et c’est selon la proportion de parts détenues par chaque associé qu’est établie sa participation aux bénéfices de l’entreprise.
  • Difficulté de trouver des associés appropriés.
  • Impossibilité de recourir au tribunal des petites créances.

Dans la société en nom collectif, tous les associés sont des administrateurs, à moins qu’ils n’aient désigné un gérant ou un administrateur. Ils sont conjointement responsables des obligations de la société.

Ainsi, en cas de poursuite, si les biens de la société ne suffisent pas à payer les dettes, ils deviennent personnellement responsables et sans limite pour le montant qui excède la valeur des biens de la société : c’est ce qu’on appelle la responsabilité solidaire.

Pour sa part, la société en commandite est composée de deux parties : les commandités et les commanditaires. Chaque associé participe au financement de l’entreprise. Les commanditaires fournissent de l’argent ou des biens tandis que les commandités fournissent leur travail et leur esprit d’entreprise. Les commandités sont les seuls à administrer et à représenter la société tandis que les commanditaires sont des associés qui peuvent recevoir leur part des bénéfices. Dans la société en commandite, seuls les commandités sont tenus solidairement responsables des dettes de la société. En cas de faillite, si les biens de la société ne suffisent pas à payer les dettes, les commandités deviennent personnellement responsables et sans limite envers les créanciers. Les commanditaires sont responsables des dettes jusqu’à concurrence de leur mise de fonds.

 

Coopérative

Une coopérative regroupe des personnes qui ont des besoins socio-économiques communs et qui s’associent pour exploiter une entreprise. Elle se caractérise par le désir des membres de recourir aux services de leur entreprise et d’en être les usagers. Comme la compagnie, la coopérative est une personne morale distincte de ses membres. Elle appartient en parties égales à tous ses membres qui détiennent un droit égale de parole, de participation et de vote, quel que soit le nombre de parts sociales souscrites. La responsabilité de chacun des membres est limitée à la valeur des parts
souscrites. Pour former une coopérative, on doit réunir au moins 12 personnes ayant un intérêt commun ; exceptionnellement, ce nombre peut être de cinq et pour les coopératives de travailleurs, il peut être de trois.

 

Société par actions 

Également appelé compagnie ou corporation, cette forme juridique est plus complexe et il est recommandé de bien s’informer auprès d’un professionnel pour sa constitution.

Avantages :

  • Une société par actions est une personne morale distincte de ses actionnaires, cela signifie que la compagnie elle-même a des droits et des pouvoirs séparés et différents des personnes physiques qui la composent et qui en sont les actionnaires. La compagnie possède donc ses propres biens et contracte ses propres dettes.
  • La responsabilité financière de l’actionnaire est limitée à sa mise de fonds pour tout ce qui concerne les dettes et les engagements de la compagnie (sauf cautionnement personnel).
  • La compagnie survit au décès du ou des actionnaires. Le transfert d’actions est facile à réaliser et permet ainsi l’entrée et le départ des actionnaires.
  • La compagnie paie ses propres impôts et profite d’un taux d’imposition généralement plus avantageux que l’entreprise individuelle. Les possibilités fiscales sont plus larges.
  • La compagnie répond plus facilement aux exigences des institutions financières.

Inconvénients :

  • La mise sur pied est plus complexe et la forme plus coûteuse.
  • Forme juridique plus technique nécessitant le recours plus fréquent aux professionnels.
  • Contraintes gouvernementales plus nombreuses (production d’une déclaration d’immatriculation et suivi annuel, déclaration d’impôt par la compagnie, publication d’états financiers, etc.)
  • Faible caractère confidentiel.
  • Administration plus complexe (procès-verbaux d’assemblées…)
  • Impossibilité de déduire les pertes de la compagnie des autres revenus de l’actionnaire.
  • Impossibilité de recourir au tribunal des petites créances.

LA CONVENTION ENTRE ASSOCIÉS ET ACTIONNAIRES

Dès que vous avez un ou plusieurs associés en affaires, il est souhaitable d’établir un acte écrit, signé par toutes les parties et authentifié. Un testament et une assurance appropriés éviteront des problèmes futurs. Les objectifs d’une telle entente sont de :

  • Déterminer l’apport en capital de chacune des parties ;
  • Protéger les associés en cas de désaccord ou de dissolution ;
  • Prévoir la manière de partager les bénéfices et les pertes de la société ;
  • Établir les droits et obligations des parties ;
  • Quelles sont les procédures à suivre suite au décès ou à l’incapacité d’opérer de l’une des parties ?
  • Délimiter les possibilités de circulation et contrôler la détention des actions ou parts sociales ;
  • Comment prévenir ou résoudre les situations de mésentente ou d’impasse ?
  • Réglementer certains gestes de l’administration (ex. : signature des chèques, etc.) ;
  • Protéger l’actionnaire minoritaire ;
  • Déterminer la valeur des actions ou parts sociales en cas de retrait d’un ou des associés.

Bourse Personnalité Entrepreneuriale Jeunesse 2024

Dépose ta candidature à la Bourse Personnalité Entrepreneuriale Jeunesse du Fonds d’Investissement Jeunesse (FIJ) de la MRC de Rivière-du-Loup et cours la chance de gagner une bourse de 1 500$ ou 3 500$. Si tu as entre 18-40 ans que ton entreprise existe depuis au moins 1 an et au plus 5 ans ou que ta relève d’entreprise est dans cette même période, que tu es propriétaire ou actionnaire à 50% et plus et que ton entreprise est située sur le territoire de la MRC de RDL, tu réponds aux critères d’admissibilité.

Dépose ta candidature à la Bourse Personnalité Entrepreneuriale Jeunesse du Fonds d’Investissement Jeunesse (FIJ) de la MRC de Rivière-du-Loup et cours la chance de gagner une bourse de 1 500$ ou 3 500$. Si tu as entre 18-40 ans que ton entreprise existe depuis au moins 1 an et au plus 5 ans ou que ta relève d’entreprise est dans cette même période, que tu es propriétaire ou actionnaire à 50% et plus et que ton entreprise est située sur le territoire de la MRC de RDL, tu réponds aux critères d’admissibilité.

Étape 1 : Remplir le formulaire d’inscription : https://forms.gle/QRasWb2688NEvkNs9

Étape 2 : Entrevue virtuelle de 10-15 minutes pour répondre à ces questions : Quel est votre parcours entrepreneurial? Quel est l’historique de l’entreprise? Quels sont les produits et les services offerts par l’entreprise? Ses avantages concurrentiels? Actuellement, quels sont vos enjeux, vos défis? Quels moyens prenez-vous pour surmonter ceux-ci? À quoi ressemblera votre entreprise dans 3 à 5 ans?

Étape 3 : Si tu es parmi les 3 finalistes suite à ton entrevue, tu seras assurée de remporter une bourse soit de 1 500$ ou 3 500$. Afin de départager les finalistes et la personne gagnante du 3 500$, tu devras participer à l’enregistrement d’un podcast le 6 novembre 2024 en avant-midi à RDL. Ce podcast animé par Carol-Ann Dionne, membre du CA du FIJ, te permettra de parler plus spécifiquement de ton entreprise et de ta personnalité entrepreneuriale.

Date limite le vendredi 11 octobre 2024 inclusivement.

Pour plus de détail, voir le Guide de mise en candidatures : https://docs.google.com/document/d/151ZNvgScxu41plxUxZ0SEcPAb83QwHf9/edit?fbclid=IwY2xjawFRTgNleHRuA2FlbQIxMAABHW-I02m8PXiTBmDCFtnNKAagdCfu2kjrYZZXH-HBPPy23RePOQBHU_YrOA_aem_QAJahHxVbl3sxxV1_fmohg

Investissement historique pour les entreprises de l’Outaouais

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL :
Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC de l’Outaouais et investit près de 10 M$ pour soutenir l’écosystème entrepreneurial de la région

 

Gatineau, le 17 juillet 2024 – Les SADC de l’Outaouais se réjouissent du dévoilement des nouvelles ententes de contribution de cinq ans entre Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) ainsi que le Réseau et les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) du Québec.

Des investissements historiques de 245 M$ permettront d’assurer le fonctionnement des 67 SADC et CAE du Québec et de leur réseau, en plus d’assurer la livraison équitable, à travers les régions rurales et semi-urbaines du Québec, des principales lignes d’affaires, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entrepreneurs dans les milieux ruraux et semi-urbains.

Plus précisément en Outaouais, la SADC de Papineau-Collines, la SADC Pontiac et la SADC de la Valée-de-la-Gatineau pourront compter sur des investissements de 9,9 M$. Les trois SADC de la région renforceront également leurs interventions locales, notamment en accentuant leurs actions pour répondre aux enjeux économiques actuels des entrepreneurs.

Ce nouvel accord conclu avec le gouvernement du Canada permettra aux SADC et CAE de créer de nouveaux produits financiers pour aider les entrepreneurs à répondre à leurs enjeux économiques prioritaires tels que la transition verte et numérique, ainsi qu’aux défis liés au transfert d’entreprise et à l’entrepreneuriat jeunesse. Ces investissements représentent 600 000 $ pour chacune des SADC de la région. Notons que ces fonds proviennent des remboursements des entrepreneurs ayant bénéficiés de prêts via le Fonds d’aide et de relance régionale – un fonds mis en place en 2020 par le gouvernement du Canada en réponse aux défis reliés à la crise sanitaire.

 

Du financement pour renforcer nos interventions locales

Toujours à partir des retours du Fonds d’aide et de relance régionale, une enveloppe de 28 M$ permettra également à chaque SADC et CAE, ainsi qu’au Réseau de renforcer leur capacité d’intervention. Principalement, chaque SADC et CAE aura accès à des fonds supplémentaires de 335 000 $ pour accentuer ses interventions en développement économique local et en aide technique aux entrepreneurs.

 

Citations :

« Les SADC et CAE jouent un rôle essentiel dans le développement économique de notre région. Leur engagement à soutenir les petites et moyennes entreprises contribue grandement à la vitalité et à la résilience de notre communauté. Le gouvernement du Canada soutient cette transition, valorisant les SADC et CAE comme partenaires clés. Je tiens à saluer le travail des professionnels et bénévoles qui répondent aux besoins spécifiques de notre région, apportant expertise, soutien et innovation pour bâtir un avenir vert et prospère.
Sophie Chatel, Députée de Pontiac-Kitigan Zibi

« En Outaouais, nous bénéficions de trois SADC dont les actions apportent une valeur ajoutée considérable aux projets de nos PME. Leur travail incessant crée et maintient des emplois de qualité, renforçant ainsi la prospérité régionale. Les collectivités doivent se diversifier stratégiquement en misant sur l’innovation pour développer des avantages compétitifs durables. Le gouvernement du Canada priorise l’appui à cette transition, et il est crucial que des organismes comme les SADC et CAE soient implantés dans nos communautés. Leur contact direct avec les acteurs socio-économiques locaux leur permet de bien comprendre les enjeux et d’agir efficacement sur le terrain. La croissance économique et des PME compétitives contribuent à bâtir des collectivités fortes et accueillantes pour la classe moyenne.»
Stéphane Lauzon, député d’Argenteuil – La Petite-Nation

 

Quelques impacts des SADC et CAE au sein de l’économie québécoise

Les investissements au sein des SADC et CAE rapportent! Selon une étude réalisée par Aviseo Conseil pour la période 2019 à 2023, les SADC et CAE ont engendré une augmentation du PIB réel du Québec de 458 M$ dont 85 M$ découlent de nos investissements en prêts et 273 M$ sont générés par l’augmentation du taux de survie après cinq ans des entreprises accompagnées par les SADC et CAE. Rappelons qu’une étude de Statistique Canada démontre que ce taux est plus que le double chez nos clientèles.

Résultats 2023-2024: 40 millions $ investis sur le territoire en 40 ans!

40 millions $ investis dans les entreprises locales en 40 ans, 170 % d’augmentation des prêts accordés à des femmes entrepreneures et une année record en écoresponsabilité

40 millions $ investis dans les entreprises locales en 40 ans,
170 % d’augmentation des prêts accordés à des femmes entrepreneures
et une année record en écoresponsabilité

 

Gatineau, 10 juin 2024 – La SADC de Papineau-Collines, organisme consacré au développement économique de la région, dévoile le bilan de ses activités 2023-2024. Au cours de la dernière année, plus de 1,2 million $ en prêts ont été investis pour soutenir le démarrage, la croissance et le transfert d’entreprises locales. Alors que la SADC entame sa 40e année d’existence, ces investissements portent à 40 millions $ le soutien financier accordé à nos petites entreprises depuis 1984.

En plus du soutien financier, nos conseillers ont investi plus de 1 000 heures en accompagnement personnalisé pour aider nos entreprises à améliorer leurs pratiques d’affaires et à augmenter leur compétitivité. Animée par la volonté de valoriser les jeunes entrepreneur.e.s, véritables piliers de l’avenir de notre région, notre équipe s’est également engagée dans la mise en œuvre de projets régionaux tels que le Défi OSEntreprendre Outaouais. Ce projet phare met en lumière les initiatives entrepreneuriales des jeunes et stimule la culture entrepreneuriale à l’échelle provinciale.

 

Faits saillants : soutiens financiers

  • 1,2 M$ en prêts autorisés
  • 2,1 M$ de retombées économiques sur le territoire :
  • 935 000 $ de retombées économiques dans la Ville de Gatineau (Buckingham et Masson-Angers)
  • 751 719 $ de retombées économiques dans la MRC des Collines-de-l’Outaouais
  • 443 102 $ de retombées économiques dans la MRC de Papineau
  • 65 % des prêts ont été octroyés à des femmes entrepreneures
  • 170 % d’augmentation des prêts accordés à des femmes entrepreneures depuis l’année dernière
  • 92% des entreprises financées et accompagnées depuis les 5 dernières années sont toujours en activité
  • 40 M$ investis dans les entreprises locales depuis 1984, soit 40 M$ en 40 ans.

 

Des pratiques toujours plus responsables

En adoptant des pratiques durables dans ses divers processus opérationnels, la SADC de Papineau-Collines souhaite donner l’exemple aux organisations de son territoire en démontrant qu’il est possible de concilier efficacité opérationnelle, rentabilité et responsabilité environnementale. Cette année, nous avons réussi à réduire significativement nos émissions de GES, grâce notamment au déménagement écoresponsable de nos bureaux dans un nouvel environnement sans papier.

 

Faits saillants : écoresponsabilité de la SADC

  • Diminution de 49% de notre empreinte carbone (7,29TCO2éq en 2022 vs 3,67 TCO2éq en 2023
  • Empreinte 2022 compensée par la plantation de 19 arbres et d’achat de crédits carbone
  • 96% des activités de la SADC sont sans papier
  • Déménagement écoresponsable ayant généré 0,13 TCO2éq seront compensés

 

 

Citation de Mélissa Bergeron, directrice générale:

« Alors que nous célébrons le 40e anniversaire de la SADC de Papineau-Collines, nous sommes fiers de constater l’impact durable que nous avons eu sur le développement économique de notre région. Parmi les acteurs de l’écosystème entrepreneurial local, rares sont ceux qui peuvent revendiquer une telle longévité, ce qui démontre la pertinence et l’efficacité de notre organisme pour les entreprises locales.

Nous sommes particulièrement enthousiastes à l’idée de continuer à miser sur les jeunes entrepreneurs, qui représentent l’avenir de notre économie régionale. De plus, nous sommes épatés de constater la forte croissance de nos accompagnements auprès de femmes entrepreneures cette année. Cette augmentation remarquable montre l’importance de la place que prennent les cheffes d’entreprises sur notre territoire, et nous sommes ravis de soutenir cette dynamique positive. »

 

Consultez le Rapport annuel 2023-2024

 

À propos de la SADC de Papineau-Collines

La Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) de Papineau est un organisme à but non lucratif qui offre depuis près de 40 ans des services financiers et techniques qui stimulent la création d’emplois et le développement économique des municipalités situées sur son territoire. Référence en matière d’entrepreneuriat en milieu rural, elle soutient la mise en œuvre d’initiatives locales et accompagne les organismes du milieu dans le déploiement de projets structurants. La SADC est membre du Réseau des SADC et CAE regroupant 57 SADC et 10 CAE qui travaillent à rendre les régions du Québec plus dynamiques.

Mobil’eau, unités mobiles d’eau potable et de lavage de vaisselle

La SADC du Kamouraska, en collaboration avec la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup et Collectivités écologiques Bas-Saint-Laurent (Co-éco), met à la disposition des promoteurs d’événements extérieurs de la région deux unités mobiles de distribution d’eau potable et de lavage de vaisselle, afin de réduire l’utilisation de produits à usage unique lors d’activités telles que des festivals, fêtes municipales ou compétitions sportives, et d’améliorer, de manière plus globale, la gestion des matières résiduelles.  

Pour toute demande de réservation d’une unité Mobil’eau, veuillez remplir ce formulaire.  

Pour plus d’information sur le projet, communiquez avec Carole Corson 418 863-3336 | [email protected] 

Un grand MERCI à :

Commanditaire majeur du projet Mobil’eau (Lire le communiqué)

Nouvelles nominations

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Québec, le 4 avril 2024 – Le Conseil d’administration du Réseau des SADC et CAE est heureux d’annoncer la nomination de Pascal Harvey à titre de président-directeur général et de Pierre-Olivier Colas à titre de directeur général adjoint de l’organisation. Ces nominations s’inscrivent dans le cadre de changements sur le plan de la gouvernance qui visent à donner un nouvel essor à notre réseau au sein de l’écosystème de développement économique au Québec.

« Je tiens à féliciter messieurs Harvey et Colas pour leur nomination. Alors que monsieur Harvey a occupé le titre de directeur général du Réseau ces trois dernières années, il a su exercer un leadership rassembleur marqué tant auprès des membres que du Conseil d’administration. Monsieur Colas a aussi fortement contribué au développement du Réseau, notamment grâce à l’implantation de programmes importants palliant différents enjeux économiques, notamment en tourisme, en développement durable et en numérique. Il a aussi accentué le développement de partenariats et de projets porteurs », a déclaré Vallier Daigle, président du Conseil d’administration.

Le Réseau des SADC et CAE étant fort actif, il compte sur une équipe solide qui s’agrandira également dans les prochaines semaines, puisque de nouveaux postes s’ouvrent afin de combler nos différents besoins internes de même que ceux de nos clientèles externes entrepreneurs et partenaires. Il compte aussi sur le travail, l’expertise et l’implication des 400 professionnels et 600 bénévoles qui sont au cœur de nos orientations et notre mission : être un acteur incontournable du développement économique local.

Pascal Harvey : président-directeur général du Réseau des SADC et CAE

Rappelons qu’en plus de ses expériences passées notamment à tire de directeur général de la SADC de Charlevoix et au sein de postes stratégiques dans la sphère politique, Pascal est un communicateur chevronné, qui a su mettre au profit de notre Réseau ses habiletés de leadership et de représentation publique. Aussi, amateur de sport et chroniqueur sportif à ses heures, il sait cerner les enjeux des équipes et les guider vers le succès.

« L’économie des régions du Québec peut compter sur les SADC et CAE. Grâce à l’intelligence collective de tous les employés et bénévoles qui gravitent au sein de notre Réseau et à notre ancrage dans toutes les régions du Québec, je souhaite que nous soyons encore plus présents pour répondre efficacement aux besoins des entrepreneurs et des collectivités », affirme M. Harvey.

Pierre-Olivier Colas : directeur général adjoint

Rassembleur, Pierre-Olivier a été consultant pendant près de dix ans en planification stratégique pour les entreprises et organismes de développement économique avant de se joindre au Réseau en 2019. Stratège d’expérience, il a su au cours des cinq dernières années mener à terme avec succès ses divers dossiers et mettre à profit son expertise pour accompagner et mobiliser les SADC et CAE du Québec vers un dynamisme renouvelé. Il est aussi titulaire d’une maîtrise en gestion et d’une spécialisation en développement durable.

« J’ai l’opportunité depuis plus de cinq ans de collaborer avec les 67 SADC et CAE et avec l’équipe du Réseau afin de développer les meilleures solutions pour accentuer la vitalité économique de nos régions. Le potentiel de ce grand Réseau est énorme et je suis fier d’y contribuer », affirme M. Colas.

À PROPOS DU RÉSEAU DES SADC ET CAE

Les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et les 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) travaillent depuis plus de 40 ans au développement économique de leur collectivité. Le Réseau des SADC et CAE compte plus de 1 000 professionnels et bénévoles qui soutiennent et financent chaque année plus de 10 000 entrepreneurs et 1 500 projets de développement économique local. Les SADC et les CAE offrent aux entrepreneurs un accompagnement personnalisé et soutenu, ainsi que des produits de financement souples et adaptés à leurs besoins.

Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC et les CAE.

Suivez le Réseau sur les Facebook,

RENSEIGNEMENTS
Christine Pilote, Directrice des communications | Tél. : 581 999-6363 | [email protected]

La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup, 35 ans à s’investir auprès des entreprises et de la collectivité!

Rivière-du-Loup, 26 juin 2024 — La Société d’aide au développement des collectivités de la MRC de Rivière-du-Loup (SADC) a tenu son assemblée générale annuelle, le 26 juin dernier, présentant un bilan de ses activités pour l’année 2023-2024 fort positif. Cet évènement a été l’occasion de souligner le 35e anniversaire de l’organisme et ainsi mettre en lumière les réalisations remarquables de l’année écoulée.

Le dernier exercice est marqué par la poursuite des accompagnements personnalisés amenant les entreprises à adapter leur développement d’affaires aux différents enjeux et défis de l’entrepreneuriat en région, et ainsi, assurer leur succès.

Au cours de l’année 2023-2024, 827 222 $ ont été injectés dans le milieu par l’organisme dans les trois grandes lignes d’affaires de la SADC, soit le financement, l’aide technique aux entreprises ainsi que le soutien au développement économique local. Ce sont 116 projets qui ont été déployés et soutenus par l’équipe de la SADC au cours de la dernière année, ce qui a généré des retombées économiques de plus de 3 M$.    

De plus, le programme Virage Vert, concluant sa dernière année, a permis l’accompagnement par notre équipe de 7 projets en développement durable totalisant un investissement de 59 327 $. Ce programme permettait d’offrir de l’expertise spécialisée pour guider les entreprises et organisations régionales dans l’amélioration de leurs performances environnementales et économiques ou encore bénéficier d’un support pour la mise en œuvre de projets collectifs de développement durable.

La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup offre également un service d’accompagnement aux entreprises souhaitant améliorer leurs pratiques en développement durable. Au cours de l’année, nous avons concrétisé l’embauche d’un conseiller en économie circulaire en partenariat avec la SADC du Kamouraska. Ce dernier a réalisé vingt rencontres individuelles en entreprise et continué de développer notre réseau d’entreprises maillées entre elles par des échanges de ressources (appelées synergies). Grâce à ces synergies, 593 tonnes de matières ont été échangées entre les 34 organisations participantes, et 587 tonnes ont été déviées de l’enfouissement, ce qui correspond à des économies réalisées par les organisations de plus de 75 000 $.

L’année 2023-2024 se conclut par la fin de l’entente quinquennale avec Développement économique Canada. Sur le plan du financement, il est important de souligner le renouvèlement de l’entente avec notre bailleur de fonds pour une nouvelle période de cinq ans. Cette entente apportera certaines nouveautés qui auront un impact positif pour le développement des entreprises du territoire tant au niveau du développement durable, de la relève que du développement du numérique.

À propos de la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup

La SADC de la MRC de Rivière-du-Loup est un organisme de développement économique qui offre du financement et de l’accompagnement pour vos projets. Elle s’implique continuellement dans les projets de développement du milieu et apporte un soutien direct aux entrepreneurs, soit par les conseils en démarrage, le suivi ou le financement. Chaque entreprise bénéficie d’un accompagnement personnalisé répondant à sa réalité et à ses besoins.​ Que ce soit pour des besoins financiers ou techniques, l’équipe de la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup vous offre l’appui nécessaire dans la réussite de votre projet entrepreneurial.

– 30 –

Source :
Marie-Josée Dorval
SADC de la MRC de Rivière-du-Loup
[email protected]
418 867-4272 poste 202
https://www.sadcmrcriviereduloup.ca/

Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC de la Gaspésie et des îles-de-la-Madeleine et investit 16M$

Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, le 25 juin 2024.  Les SADC de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine se réjouissent de l’annonce effectuée par l’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) le 14 juin dernier lors du 20e congrès annuel du Réseau des SADC et CAE, dévoilant les nouvelles ententes de contribution de cinq ans entre DEC ainsi que le Réseau et les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) du Québec.

Des investissements totaux de 245 M$ permettront d’assurer le fonctionnement des 67 SADC et CAE du Québec et de leur réseau, en plus d’assurer la livraison équitable, à travers les régions rurales et semi-urbaines du Québec, des principales lignes d’affaires, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entrepreneurs dans les milieux ruraux et semi-urbains. Plus précisément en Gaspésie et aux Îles-de-la-Madeleine, les SADC de Baie-des-Chaleurs, de Gaspé, de la Haute-Gaspésie, de Rocher-Percé et des Îles-de-la-Madeleine pourront compter sur des investissements de 16 M$. Les SADC et CAE renforceront également leurs interventions locales, notamment en accentuant leurs actions pour répondre aux enjeux économiques actuels des entrepreneurs.

« Les régions du Québec rencontrent des défis économiques qui leur sont propres et les SADC et CAE sont là pour les aider à les relever. Nous avons de l’ambition pour nos régions et avec notre principal partenaire d’affaires Développement économique Canada pour les régions du Québec, ainsi qu’en complémentarité avec les partenaires du milieu, nous continuerons à propulser les projets collectifs et d’affaires vers la réussite », affirme Aurèle Doucet représentant de la région au CA du Réseau.

 

Des investissements ciblés pour répondre aux enjeux des entrepreneurs

Ce nouvel accord conclu avec le gouvernement du Canada permettra aux SADC et CAE de créer de nouveaux produits financiers pour aider les entrepreneurs à répondre à leurs enjeux économiques prioritaires tels que la transition verte et numérique, ainsi qu’aux défis liés au transfert d’entreprise et à l’entrepreneuriat jeunesse. Ces investissements représentent 600 000 $ pour chacune des SADC de la région.

Notons que ces fonds proviennent des remboursements des entrepreneurs ayant bénéficiés de prêts via le Fonds d’aide et de relance régionale – un fonds mis en place en 2020 par le gouvernement du Canada en réponse aux défis reliés à la crise sanitaire.

 

Du financement pour renforcer nos interventions locales et compter sur un vaste Réseau d’expertise national

Toujours à partir des retours du Fonds d’aide et de relance régionale, une enveloppe de 28 M$ permettra également à chaque SADC et CAE, ainsi qu’au Réseau de renforcer leur capacité d’intervention. Principalement, chaque SADC et CAE aura accès à des fonds supplémentaires de 335 000 $ pour accentuer ses interventions en développement économique local et en aide technique aux entrepreneurs. Une enveloppe sera aussi allouée au Réseau afin de renforcer son rôle-conseil et d’offrir plus de services aux 67 SADC et CAE, notamment par l’embauche de nouvelles ressources partagées et un appui accru dans l’optimisation de leurs processus d’affaires.

« Les SADC et CAE font une réelle différence dans nos collectivités et nos entreprises partout au Québec. DEC est fier de pouvoir compter sur le Réseau et ses membres, véritables partenaires clés, pour la prospérité de nos régions et de leurs entreprises depuis maintenant 29 ans. Bravo aux professionnel.le.s et bénévoles qui veillent de si près aux besoins de l’écosystème entrepreneurial dans chacune des régions du Québec. »

L’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de DEC

 

En somme, ces nouvelles ententes permettront aux SADC et CAE de poursuivre leur mission au sein de leurs milieux tout en comptant sur l’expertise d’un vaste Réseau national au bénéfice des collectivités et des entrepreneurs. Une action compétente, personnalisée et humaine qui contribue véritablement au développement, au succès et ultimement à la survie des entreprises, comme en témoigne Pierre Dugas, propriétaire de Transports Jos Dugas et Fils inc de Nouvelle : « La SADC a été un plus, nous avons pu faire l’acquisition d’autres entreprises de transport et prendre de l’expansion, acquérir des autobus électriques avec des taux d’intérêt qui sont avantageux.  De plus, nous avons apprécié l’accompagnement offert afin de réaménager les tâches en fonction des nouveaux besoins liés à l’expansion ».

 

Quelques impacts des SADC et CAE au sein de l’économie québécoise

Les investissements au sein des SADC et CAE rapportent! Selon une étude réalisée par Aviseo Conseil pour la période 2019 à 2023, les SADC et CAE ont engendré une augmentation du PIB réel du Québec de 458 M$ dont 85 M$ découlent de nos investissements en prêts et 273 M$ sont générés par l’augmentation du taux de survie après cinq ans des entreprises accompagnées par les SADC et CAE. Rappelons qu’une étude de Statistique Canada démontre que ce taux est plus que le double chez nos clientèles.

 

À propos du Réseau des SADC et CAE

Le Réseau des SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et CAE (Centres d’aide aux entreprises) regroupe 57 SADC et 10 CAE qui travaillent depuis plus de 35 ans au développement économique de leur collectivité. Ce sont plus de 1 000 professionnels et bénévoles qui soutiennent et financent chaque année plus de 10 000 entrepreneurs et 1 000 projets de développement économique local. www.sadc-cae.ca

 

Le Programme de développement des collectivités (PDC)

Ce programme pancanadien soutient le développement économique local et renforce la capacité des collectivités à réaliser leur plein potentiel de façon durable. Ce programme a comme principaux objectifs :

  • la stabilité, la croissance économique et la création d’emplois;
  • des économies locales diversifiées et concurrentielles en milieu rural;
  • le développement de collectivités durables.

Par ce programme, DEC soutient financièrement les SADC et CAE qui travaillent au développement des collectivités dans les régions du Québec.

 

RENSEIGNEMENTS ET DEMANDES D’ENTREVUES

Réseau des SADC et CAE

Christine Pilote, directrice des communications, 581 999-6363, [email protected]

SADC de Baie-des-Chaleurs

Lyne Lebrasseur, directrice générale, 418 759-1555 poste 222, [email protected]

SADC du Rocher-Percé

Maryse Lelièvre, directrice générale, 418 689-5699 poste 202, [email protected]

SADC de Gaspé

Dave Lavoie, directeur général, 418 368-2906 poste 5, [email protected]

SADC de la Haute-Gaspésie

Richard Marin, directeur général, 418 763-5355 poste 225, [email protected]

SADC des Îles-de-la-Madeleine

Daniel Gaudet, directeur général, 418 986-4601 poste 223, [email protected]

Une année bien remplie sous le thème du renouveau pour la SADC du Kamouraska

La Pocatière, le 19 juin 2024 – La Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska a tenu son assemblée générale annuelle le 19 juin 2024 devant une trentaine de membres et partenaires réunis au Motel Le Martinet de La Pocatière. Ce fut l’occasion de présenter les résultats des interventions portées auprès des entreprises et de la collectivité, au cours l’année 2023-2024.

C’est avec fierté que le président, M. Olivier Lambert, a tenu à souligner que la SADC a généré cette année encore des retombées économiques concrètes et importantes pour le développement du Kamouraska, en accompagnant techniquement et financièrement toujours plus d’entreprises et d’organismes. M. Lambert, qui en était à sa 1re année à la présidence du conseil d’administration, a également mentionné que quatre dossiers majeurs ont marqué 2023-2024, c’est-à-dire le renouvellement des ententes avec Développement économique Canada, la démarche de planification stratégique de l’organisme, l’adoption d’une nouvelle structure salariale et la relocalisation des bureaux dans un nouvel édifice, toujours à La Pocatière.

L’accompagnement avant tout

Les trois grandes lignes d’affaires de la SADC, que sont le financement, l’aide technique aux entreprises et le soutien au développement économique local, ont permis d’engager en 2023-2024 des investissements de 846 348 $ dans les entreprises et organismes du Kamouraska, et ce, malgré le contexte économique difficile. Au total, ce sont 48 interventions différentes qui ont été déployées et soutenues par l’équipe.

Le Fonds d’investissement jeunesse a toujours le vent dans les voiles grâce à ses avantages indéniables pour les entrepreneurs de 18 à 39 ans. Quinze des dix-huit prêts déboursés dans la dernière année proviennent de ce Fonds.

Des projets majeurs continuent également d’être portés par la SADC, notamment le service de mentorat pour entrepreneurs, des activités de développement des compétences, la démarche d’économie circulaire du Kamouraska et des actions en développement durable comme le projet Mobil’eau.

« Au terme de notre planification stratégique 2019-2024 où la SADC s’était dotée de la vision d’être un acteur incontournable, nous sommes assez confiants d’affirmer que nous y sommes parvenus. Nous avons un impact positif dans notre milieu en investissant beaucoup de temps et d’énergie auprès de promoteurs dans la réflexion, l’élaboration et la planification de leur projet. Notre force d’impact est sans aucun doute notre équipe stable et professionnelle aux compétences diversifiées, reconnue pour son expertise et son engagement. Notre planification stratégique 2024-2029 nous permettra d’aller encore plus loin en agissant davantage comme partenaire de changement qui mise sur le capital humain pour développer un Kamouraska durable. » de préciser la directrice générale, Mme Anik Briand.

Faits saillants en bref de l’année 2023-2024 issus du rapport annuel :

  • 846 348 $ d’engagés, 651 000 $ de déboursés
  • 48 interventions : 18 projets d’entreprises (651 000 $), 23 projets de développement économique local (162 011 $) et 7 contributions non remboursables (18 337 $)
  • 5,5 millions $ de retombées économiques globales et 97 emplois soutenus
  • 1 840 heures d’accompagnement, 560 heures d’implication et 633 heures de bénévolat

Rappelons que la SADC du Kamouraska, en tant que créatrice de valeur, a pour mission de stimuler le développement de son territoire d’une façon durable en accompagnant les entrepreneurs et les acteurs du milieu dans leurs projets par son expertise et ses outils financiers.

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Source :

Anik Briand, directrice générale, SADC du Kamouraska : 418 856-3482 poste 110 | [email protected]

Sur la photo : Mme Anik Briand, directrice générale et M. Oliver Lambert, président de la SADC du Kamouraska.

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL : Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC du BSL

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL : Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC du Bas-Saint-Laurent et investit 25,7 M$

Rivière-du-Loup, Québec, le 18 juin 2024 – Les SADC du Bas-Saint-Laurent soulignent l’annonce effectuée par l’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) lors du 20e congrès annuel du Réseau des SADC et CAE, dévoilant les nouvelles ententes de contribution de cinq ans entre DEC, ainsi que le Réseau et les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) du Québec.

Des investissements totaux de 245 M$ permettront d’assurer le fonctionnement des 67 SADC et CAE du Québec et de leur réseau, en plus d’assurer la livraison équitable, à travers les régions rurales et semi-urbaines du Québec, des principales lignes d’affaires, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entrepreneurs.

Plus précisément au Bas-Saint-Laurent, les SADC des Basques, du Kamouraska, de la Mitis, de la Neigette, de la Matapédia, de la MRC de Rivière-du-Loup, de la région de Matane et du Témiscouata pourront compter sur des investissements de 25,7 millions de dollars. Les SADC renforceront également leurs interventions locales, notamment en accentuant leurs actions pour répondre aux enjeux économiques actuels des entrepreneurs.

« Les régions du Québec rencontrent des défis économiques qui leur sont propres et les SADC du Bas-Saint-Laurent sont là pour les aider à les relever. Nous avons de l’ambition pour nos régions et avec notre principal partenaire d’affaires Développement économique Canada pour les régions du Québec, ainsi qu’en complémentarité avec les partenaires du milieu, nous continuerons à propulser les projets collectifs et d’affaires vers la réussite », affirme Monsieur Jean-Yves Roy, représentant de la région au conseil d’administration du Réseau.

DES INVESTISSEMENTS CIBLES POUR RÉPONDRE AUX ENJEUX DES ENTREPRENEURS

Ce nouvel accord conclu avec le gouvernement du Canada permettra aux SADC et CAE de créer de nouveaux produits financiers pour aider les entrepreneurs à répondre à leurs enjeux économiques prioritaires tels que la transition verte et numérique, ainsi qu’aux défis liés au transfert d’entreprise et à l’entrepreneuriat jeunesse. Ces investissements représentent 600 000 $ pour chacune des SADC de la région.

Notons que ces fonds proviennent des remboursements des entrepreneurs ayant bénéficié de prêts via le Fonds d’aide et de relance régionale (FARR), un fonds mis en place en 2020 par le gouvernement du Canada en réponse aux défis reliés à la crise sanitaire.

DU FINANCEMENT POUR RENFORCER NOS INTERVENTIONS LOCALES ET COMPTER SUR UN VASTE RÉSEAU D’EXPERTISE NATIONAL

Toujours à partir des retours du Fonds d’aide et de relance régionale, une enveloppe de 28 M$ permettra également à chaque SADC et CAE, ainsi qu’au Réseau de renforcer leur capacité d’intervention. Principalement, chaque SADC et CAE aura accès à des fonds supplémentaires de 335 000 $ pour accentuer ses interventions en développement économique local, en aide technique aux entrepreneurs et pour consolider l’expertise de leur équipe. Une enveloppe sera aussi allouée au Réseau afin de renforcer son rôle-conseil et d’offrir plus de services aux 67 SADC et CAE, notamment par l’embauche de nouvelles ressources partagées et un appui accru dans l’optimisation de leurs processus d’affaires.

« Les SADC et CAE font une réelle différence dans nos collectivités et nos entreprises partout au Québec. DEC est fier de pouvoir compter sur le Réseau et ses membres, véritables partenaires clés, pour la prospérité de nos régions et de leurs entreprises depuis maintenant 29 ans. Bravo aux professionnel.le.s et bénévoles qui veillent de si près aux besoins de l’écosystème entrepreneurial dans chacune des régions du Québec. » L’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de DEC

En somme, ces nouvelles ententes permettront aux SADC et CAE de poursuivre leur mission au sein de leurs milieux tout en comptant sur l’expertise d’un vaste Réseau national au bénéfice des collectivités et des entrepreneurs. Une action compétente, personnalisée et humaine qui contribue véritablement au développement, au succès et ultimement à la survie des entreprises, comme en témoigne Pascale St-Amand, propriétaire de la Crèmerie du Potager à L’Isle-Verte près de Rivière-du-Loup : « J’ai trouvé du financement à la SADC, mais surtout, j’ai pu compter sur un accompagnement bienveillant. J’ai été impressionnée par la vision globale de ma conseillère, Sylvie, qui a su m’ouvrir une foule de pistes de solutions pour mon projet d’affaires. »

QUELQUES IMPACTS DES SADC ET CAE AU SEIN DE L’ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE

Les investissements au sein des SADC et CAE rapportent! Selon une étude réalisée par Aviseo Conseil pour la période 2019 à 2023, les SADC et CAE ont engendré une augmentation du PIB réel du Québec de 458 M$ dont 85 M$ découlent de nos investissements en prêts et 273 M$ sont générés par l’augmentation du taux de survie après cinq ans des entreprises accompagnées par les SADC et CAE. Rappelons qu’une étude de Statistique Canada démontre que ce taux est plus que le double chez nos clientèles.

À PROPOS DES SADC DU BAS-SAINT-LAURENT

Les huit SADC du Bas-Saint-Laurent font partie du Réseau des SADC et CAE qui englobe 67 SADC et CAE (Centre d’aide aux entreprises) réparties à travers l’ensemble du Québec. Depuis 40 ans, les SADC du Bas-Saint-Laurent livrent une offre de service complète, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entreprises. Les SADC du Bas-Saint-Laurent comptent plus de 110 professionnels et bénévoles qui contribuent à la stabilité et la compétitivité des entreprises, favorisent la création d’emplois et soutiennent la rétention des populations au sein de leur territoire. Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC du Bas-Saint-Laurent.

LE PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT DES COLLECTIVITÉS (PDC)

Ce programme pancanadien soutient le développement économique local et renforce la capacité des collectivités à réaliser leur plein potentiel de façon durable. Ce programme a comme principaux objectifs :

· la stabilité, la croissance économique et la création d’emplois;

· des économies locales diversifiées et concurrentielles en milieu rural;

· le développement de collectivités durables.

Par ce programme, DEC soutient financièrement les SADC et CAE qui travaillent au développement des collectivités dans les régions du Québec.

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RENSEIGNEMENTS

Anik Briand, directrice générale

SADC du Kamouraska

418 856-3482 poste 110 | [email protected]

Assemblées générales annuelles 2023-2024 | Plusieurs nouveaux projets déployés par la SADC Shawinigan et le Fonds LaPrade St-Maurice

Shawinigan, le 19 juin 2024 – La SADC Shawinigan et le Fonds LaPrade St-Maurice sont fiers de présenter aujourd’hui en assemblée générale annuelle leurs résultats pour l’exercice 2023-2024, marquant une année de déploiement de plusieurs projets de développement économique local lancés en début d’année financière comme les programmes AccèsTI-Aîné, AccèsTI-Citoyen, le Flexiprêt pour les femmes et Tête Première Mauricie.

Grâce à une stratégie axée sur l’innovation et le soutien adapté aux petites et moyennes entreprises, ces organisations ont joué un rôle clé dans le dynamisme économique de la région de Shawinigan.

Les efforts de l’équipe ont abouti à des initiatives porteuses, telles que le projet Flexiprêt pour les femmes, qui a mis en lumière l’importance de l’entrepreneuriat à temps partiel et a contribué à façonner des politiques plus inclusives pour les femmes entrepreneures, ainsi que le programme Tête Première, qui a permis de mettre au premier plan la santé psychologique des entrepreneur.e.s.

 

FINANCEMENT

Les fonds d’investissement

Au cours de la dernière année, 20 projets de jeunes entrepreneur.es de 39 ans et moins ont été soutenus par le Fonds Stratégie Jeunesse qui a investi 429 000 $. Cet investissement a généré des investissements supplémentaires de plus de 10,6 M$ en plus de créer ou maintenir 128 emplois.

Du côté du fonds d’investissement régulier de la SADC, ce sont des investissements de 2 281 774 $ qui ont été consentis dans 26 projets pour les investissements supplémentaires générés de plus de 5 M$ et 228 emplois créés ou maintenus.

 

NOS INVESTISSEMENTS EN CHIFFRES

Fonds Montants investis Investissements supplémentaires générés Emplois créés et maintenus
SADC 2 281 774 $ 5 035 740 $ 228
Stratégie Jeunesse 429 000 $ 10 639 500 $ 128
Fonds LaPrade 300 000 $ 33 500 $ 6
Total 3 010 774 $ 15 708 740 $ 362

 

 

AIDE TECHNIQUE 

Programme Virage vert

Depuis février 2022, le gouvernement fédéral a fait appel à l’expertise des SADC et CAE du Québec pour déployer le programme Virage Vert qui vise à aider les entreprises à améliorer leur performance environnementale et économique. La SADC a ainsi pu appuyer deux entreprises pour un montant de 37 688 $. Un projet collectif a aussi été soutenu. Il s’agit de la cohorte de restaurateurs pour la mise en place de la collecte des matières organiques, pour un montant de 26 432 $.

Accompagnement

Nos services d’accompagnement ont été très populaires auprès des entrepreneur.e.s et flexipreneur.e.s de Shawinigan. 12 nouveaux accompagnements ont été réalisés en finance, comptabilité et gouvernance. En gestion numérique et présence sur le Web, 30 entreprises ont reçu un accompagnement personnalisé.  En complément, des ateliers de groupe ont été réalisés pour nos clientèles en fonction des besoins exprimés.

 

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL

Trois nouveaux projets déployés

Trois nouveaux projets ont été déployés dans la dernière année financière :

  • le programme Accès TI-Aîné 2.0 qui vise à améliorer la confiance et les compétences des personnes de 55 ans et plus dans l’utilisation d’Internet et de développer leur cybervigilance | 151 personnes inscrites – 66 parcours terminés – 25 en cours de formation au 31 mars;
  • le programme AccèsTI-Citoyen dont l’objectif est d’améliorer la littératie numérique chez les citoyens et citoyennes de 18 ans et plus de Shawinigan | 139 participants – 387 accompagnements – 30 formations de groupes; 
  • le projet pilote Flexiprêt pour les femmes, réalisé en partenariat avec le Réseau des SADC et CAE du Québec et 10 SADC/CAE de partout au Québec. Cette initiative vise à expérimenter une nouvelle approche en termes de financement et d’accompagnement adaptée aux besoins des flexipreneures.

 

Poursuite des activités de Ta Place _à Shawi et du Réseau RH Shawi

Ta Place _à Shawi est une conférence multimédia présentée dans toutes les écoles secondaires du territoire de Shawinigan, plus spécifiquement aux élèves de 4e secondaire. L’objectif de celle-ci est de faire découvrir l’économie et les perspectives d’emplois de Shawinigan. Au cours de la dernière année, l’équipe d’animation s’est agrandie permettant de présenter 27 conférences auprès de 584 élèves.

Du côté du Réseau RH, il a réuni cette année 36 entreprises et 55 gestionnaires y provenant. Ils ont eu l’opportunité d’assister à quatre formations portant sur la gestion des ressources humaines et d’y découvrir les meilleures pratiques dans le domaine.

 

Tête Première, programme de soutien psychologique pour entrepreneur.e, déployé partout en Mauricie

Lancé au printemps 2021 sous la forme d’un projet pilote à Shawinigan, Tête Première, le programme de soutien psychologique pour les entrepreneur.e.s, a été déployé partout en Mauricie. Une toute nouvelle plateforme en ligne a été réalisée facilitant ainsi l’accès aux services. Un partenariat avec BRIO PAE a aussi été conclu pour compléter le panier de services. | 78 rencontres avec un professionnel (233 depuis le début du projet) | 156 participant.e.s aux conférences | 25 nouveaux clients en 23-34 | 27 intervenants économiques formés

Aux termes de sa 1re année à la présidence de la SADC Shawinigan, madame Nathalie Boisvert a tenu à souligner l’engagement de l’équipe de travail et du conseil d’administration. « À l’aube de notre 40e anniversaire, alors que nous tournons la page sur cette année et que nous envisageons l’avenir avec optimisme, je suis convaincue que la SADC continuera à jouer un rôle essentiel dans le développement économique et social de notre région. Ensemble, nous pouvons surmonter les défis qui se présentent à nous et créer un avenir meilleur pour tous. » a-t-elle ajouté.

 

DÉPART DE FRANCE BRISSON ET NANCY DÉZIEL

Les assemblées générales 2023-2024 ont marqué le départ de deux bénévoles importantes des deux organisations, France Brisson et Nancy Déziel. Les membres de l’équipe et du conseil d’administration ont souligné leur contribution remarquable et leur implication au cours des dernières années. Deux nouveaux membres se grefferont donc aux deux conseils d’administration, soit monsieur Nicholas Berrouard et madame Claire Pépin. Monsieur André Héon prend aussi le relais de Mme Brisson à la présidence du Fonds LaPrade St-Maurice.

C’est avec beaucoup d’émotion que madame France Brisson a partagé quelques mots avec les membres présents. « En quittant mes fonctions, je laisse derrière moi une organisation solide, tissée de liens forts et porteuse d’espoir pour l’avenir. Je vous souhaite à tous beaucoup de succès dans vos projets à venir. » a-t-elle conclu.

 

À PROPOS DE LA SADC SHAWINIGAN

La mission de la SADC est de mettre en œuvre, gérer et soutenir des projets pour favoriser le développement économique et social de la collectivité.

 

À PROPOS DU FONDS DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LAPRADE ST-MAURICE

Le Fonds LaPrade a pour mission de maintenir et créer des emplois durables en appuyant financièrement les entreprises dans leurs projets d’affaires. Il peut également soutenir des projets pour soutenir le développement économique de la collectivité.

 

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Source : Sylvie Lavergne, directrice du développement et des communications

SADC Shawinigan / Fonds LaPrade St-Maurice

Tél. 819 537-5107 poste 215 (bureau et cellulaire)

[email protected]

 

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL : LE GOUVERNEMENT DU CANADA RÉITÈRE SON ENGAGEMENT ENVERS LES SADC DU BSL

DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE LOCAL : Le gouvernement du Canada réitère son engagement envers les SADC du Bas Saint Laurent et investit 25,7 M$

Rivière-du-Loup, Québec, le 17 juin 2024 – Les SADC du Bas-Saint-Laurent soulignent l’annonce effectuée par l’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) lors du 20e congrès annuel du Réseau des SADC et CAE, dévoilant les nouvelles ententes de contribution de cinq ans entre DEC ainsi que le Réseau et les 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises) du Québec.

Des investissements totaux de 245 M$ permettront d’assurer le fonctionnement des 67 SADC et CAE du Québec et de leur réseau, en plus d’assurer la livraison équitable, à travers les régions rurales et semi-urbaines du Québec, des principales lignes d’affaires, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entrepreneurs.

Plus précisément au Bas-St-Laurent, les SADC des Basques, du Kamouraska, de la Mitis, de la Neigette, de la Matapédia, de la MRC de Rivière-du-Loup, de la région de Matane et du Témiscouata pourront compter sur des investissements de 25,7 millions de dollars. Les SADC renforceront également leurs interventions locales, notamment en accentuant leurs actions pour répondre aux enjeux économiques actuels des entrepreneurs.

« Les régions du Québec rencontrent des défis économiques qui leur sont propres et les SADC du Bas-St-Laurent sont là pour les aider à les relever. Nous avons de l’ambition pour nos régions et avec notre principal partenaire d’affaires Développement économique Canada pour les régions du Québec, ainsi qu’en complémentarité avec les partenaires du milieu, nous continuerons à propulser les projets collectifs et d’affaires vers la réussite », affirme Monsieur Jean-Yves Roy, représentant de la région au conseil d’administration du Réseau.

DES INVESTISSEMENTS CIBLES POUR RÉPONDRE AUX ENJEUX DES ENTREPRENEURS
Ce nouvel accord conclu avec le gouvernement du Canada permettra aux SADC et CAE de créer de nouveaux produits financiers pour aider les entrepreneurs à répondre à leurs enjeux économiques prioritaires tels que la transition verte et numérique, ainsi qu’aux défis liés au transfert d’entreprise et à l’entrepreneuriat jeunesse. Ces investissements représentent 600 000 $ pour chacune des SADC de la région.

Notons que ces fonds proviennent des remboursements des entrepreneurs ayant bénéficié de prêts via le Fonds d’aide et de relance régionale (FARR), un fonds mis en place en 2020 par le gouvernement du Canada en réponse aux défis reliés à la crise sanitaire.

DU FINANCEMENT POUR RENFORCER NOS INTERVENTIONS LOCALES ET COMPTER SUR UN VASTE RÉSEAU D’EXPERTISE NATIONAL
Toujours à partir des retours du Fonds d’aide et de relance régionale, une enveloppe de 28 M$ permettra également à chaque SADC et CAE, ainsi qu’au Réseau de renforcer leur capacité d’intervention. Principalement, chaque SADC et CAE aura accès à des fonds supplémentaires de 335 000 $ pour accentuer ses interventions en développement économique local, en aide technique aux entrepreneurs et pour consolider l’expertise de leur équipe. Une enveloppe sera aussi allouée au Réseau afin de renforcer son rôle-conseil et d’offrir plus de services aux 67 SADC et CAE, notamment par l’embauche de nouvelles ressources partagées et un appui accru dans l’optimisation de leurs processus d’affaires.

« Les SADC et CAE font une réelle différence dans nos collectivités et nos entreprises partout au Québec. DEC est fier de pouvoir compter sur le Réseau et ses membres, véritables partenaires clés, pour la prospérité de nos régions et de leurs entreprises depuis maintenant 29 ans. Bravo aux professionnel.le.s et bénévoles qui veillent de si près aux besoins de l’écosystème entrepreneurial dans chacune des régions du Québec. »
L’honorable Soraya Martinez Ferrada, ministre du Tourisme et ministre responsable de DEC

En somme, ces nouvelles ententes permettront aux SADC et CAE de poursuivre leur mission au sein de leurs milieux tout en comptant sur l’expertise d’un vaste Réseau national au bénéfice des collectivités et des entrepreneurs. Une action compétente, personnalisée et humaine qui contribue véritablement au développement, au succès et ultimement à la survie des entreprises, comme en témoigne Pascale St-Amand, propriétaire de la Crèmerie du Potager à L’Isle-Verte près de Rivière-du-Loup : « J’ai trouvé du financement à la SADC, mais surtout, j’ai pu compter sur un accompagnement bienveillant. J’ai été impressionnée par la vision globale de ma conseillère, Sylvie, qui a su m’ouvrir une foule de pistes de solutions pour mon projet d’affaires.»

QUELQUES IMPACTS DES SADC ET CAE AU SEIN DE L’ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE
Les investissements au sein des SADC et CAE rapportent! Selon une étude réalisée par Aviseo Conseil pour la période 2019 à 2023, les SADC et CAE ont engendré une augmentation du PIB réel du Québec de 458 M$ dont 85 M$ découlent de nos investissements en prêts et 273 M$ sont générés par l’augmentation du taux de survie après cinq ans des entreprises accompagnées par les SADC et CAE. Rappelons qu’une étude de Statistique Canada démontre que ce taux est plus que le double chez nos clientèles.

À PROPOS DES SADC DU BAS-SAINT-LAURENT
Les huit SADC du Bas-Saint-Laurent font partie du Réseau des SADC et CAE qui englobe 67 SADC et CAE (Centre d’aide aux entreprises) réparties à travers l’ensemble du Québec. Depuis 40 ans, les SADC du Bas-Saint-Laurent livrent une offre de service complète, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entreprises. Les SADC du Bas Saint Laurent comptent plus de 110 professionnels et bénévoles qui contribuent à la stabilité et la compétitivité des entreprises, favorisent la création d’emplois et soutiennent la rétention des populations au sein de leur territoire. Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC du Bas-Saint-Laurent.

LE PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT DES COLLECTIVITÉS (PDC)
Ce programme pancanadien soutient le développement économique local et renforce la capacité des collectivités à réaliser leur plein potentiel de façon durable. Ce programme a comme principaux objectifs :
• la stabilité, la croissance économique et la création d’emplois;
• des économies locales diversifiées et concurrentielles en milieu rural;
• le développement de collectivités durables.

Par ce programme, DEC soutient financièrement les SADC et CAE qui travaillent au développement des collectivités dans les régions du Québec.

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RENSEIGNEMENTS
Marie-Josée Dorval
Directrice générale
SADC de la MRC de Rivière-du-Loup
Téléphone : 418 867-4272
Courriel : [email protected]

40 ans à bâtir demain, ensemble ! La SADC de Baie-des-Chaleurs a injecté plus de 33 millions dans l’économie locale

Maria, le 12 juin 2024. — La SADC de Baie-des-Chaleurs a souligné les 40 ans de l’organisme lors de son assemblée générale annuelle (AGA) tenue le 5 juin 2024 à la Microbrasserie Bistro La belle aventure de Bonaventure. Depuis 1984, elle a injecté dans la région plus de 33 millions dans des entreprises et projets pour 233 M$ de retombées dans le milieu.

 

Le président de la SADC de Baie-des-Chaleurs, Charles Guérette, a souligné dans le cadre des festivités entourant le 40e anniversaire, la mise en place d’un projet de plantation d’arbres fruitiers en collaboration avec deux organismes communautaires de la région soit : la Source Alimentaire Bonavignon, à Maria et le Collectif Aliment-Terre, à Paspébiac. Des démarches pour le secteur Avignon Ouest sont également en cours pour la concrétisation d’un projet similaire. Cette initiative permettra de planter différentes variétés d’arbres fruitiers dans les jardins collectifs et communautaires de ces organismes. À maturité, ces arbres fourniront une variété de fruits à leurs bénéficiaires. « En tant que SADC, notre vision est d’avoir un impact positif sur la vitalité des communautés et le projet de plantation d’arbres fruitiers est notre façon de dire merci au milieu et de laisser un legs positif pour les années à venir. De plus, nous souhaitons que cette initiative inspire d’autres à faire comme nous et à soutenir la collectivité. » mentionne-t-il.

Au cours de l’année 2023-2024, plus de 1,5 M$ ont été injectés dans le milieu par l’organisme dans les trois grandes lignes d’affaires de la SADC, soit le financementl’aide technique aux entreprises ainsi que le soutien au développement économique local. Ce sont 101 interventions qui ont été déployées et soutenues par l’équipe de la SADC au cours de la dernière année, ce qui a généré des retombées économiques de plus de 11,9 M$.

Cette année se conclut par la fin de l’entente quinquennale avec Développement économique Canada. Sur le plan du financement, il est important de souligner le renouvellement de l’entente avec notre bailleur de fonds pour une nouvelle période de cinq ans. Cette entente apportera certaines nouveautés qui auront un impact positif pour le développement des entreprises du territoire tant au niveau du développement durable, de la relève que du développement du numérique.

Alors que plusieurs localités du Québec peinent à trouver des releveurs d’entreprises, la Baie-des-Chaleurs se distingue par une relève généralement présente. « Le dynamisme du repreneuriat dans la Baie-des-Chaleurs nous a permis de soutenir la transition de plusieurs organisations. En effet, c’est 44 projets qui se sont concrétisés au cours des 5 dernières années alors que l’on comptait 23 projets pour les 5 années précédentes, ce qui représente près du double de projets », souligne la directrice générale, Lyne Lebrasseur, qui rappelle que le programme Stratégie Jeunesse qui soutient les promoteurs âgés de 39 ans et moins dans leur projet d’affaires est particulièrement bien adapté aux cas de relève d’entreprise.

Pour le plan d’action de la prochaine année, la SADC s’efforcera d’intégrer encore plus pleinement les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance dans ses politiques et dans son processus d’analyse des dossiers. Elle compte ainsi valoriser les investissements responsables tout en offrant un accompagnement en développement durable. De plus, elle offrira une 13e édition du Colloque RH qui aura lieu le 6 novembre. Ces activités seront offertes en continuité avec les actions de financement, d’accompagnement et de développement local.

 

La SADC au fil des ans

La SADC de Baie-des-Chaleurs compte sur 211 membres pour contribuer au développement d’une vision d’avenir de son milieu et permet ainsi la création, la consolidation ainsi que le développement des entreprises et des emplois sur le territoire. Depuis 40 ans, l’organisation a injecté plus de 33 M$ dans l’économie régionale, générant des retombées de près de 233 M$ dans la collectivité. Info et adhésion sadcbc.ca

 

Le rapport annuel intégral est disponible à sadcbc.ca, section « Rapport annuel », sous « Votre SADC ».

 

Faits saillants de l’année 2023-2024

  • Plus de 1,5 million d’investis
  • 23 interventions en prêts (919 549 $), 78 en contributions non remboursables (588 817 $)
  • 30 % projets d’acquisition
  • 136 emplois soutenus
  • 11,9 M$ retombées économiques
  • 211 membres

 

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Renseignements et demandes d’entrevues :

Charles Guérette, président, 418 788-5758 | [email protected]

Lyne Lebrasseur, directrice générale, 418 759-1555, poste 222 | [email protected]

Portrait d’entreprise – Casse-croûte Mam’zelle Maria

Reprendre une entreprise existante est déjà un défi en soi, reprendre en couple et avec une jeune famille une entreprise qui a bâti une réputation vieille de plus de 30 ans en est un encore plus grand. C’est le défi qu’ont décidé de relever en 2023 Alex Mercier et Catherine Rouleau-Girard, en faisant l’acquisition du Casse-croûte Mam’zelle Maria. Rencontre avec ces deux nouveaux entrepreneurs passionnés, qui se sont donné pour mission de continuer à faire évoluer le Mam’zelle Maria, en adéquation avec son histoire et les entrepreneurs qui les ont précédés.

 

L’entreprise, en bref
Le Mam’zelle Maria est un casse-croûte saisonnier situé à Maria, qui offre depuis plus de 35 ans un service de restauration rapide à la population locale et aux visiteurs. Son offre se décline en deux principaux menus : le menu casse-croûte, avec ses poutines, pizzas, burgers et clubs sandwichs, et le menu bar laitier, avec ses crèmes molles, sundaes et autres desserts glacés. Le casse-croûte possède 44 places assises à l’intérieur et près de 80 à l’extérieur, ce qui en fait un incontournable, beau temps, mauvais temps.
 
En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?
Si la réputation du Mam’zelle Maria n’est plus à faire, c’est notamment parce que l’entreprise cuisine sur place une grande partie des mets offerts sur son menu. « Quand on a acheté l’entreprise, on ne savait pas à quel point il y a beaucoup de choses qui sont faites maison, ici. Par exemple, on épluche les patates et on les tranche nous-mêmes. On reçoit le poulet entier et on le transforme. Je pense que c’est ce qui fait réellement notre marque de commerce » explique Catherine. L’entreprise mise également sur plusieurs partenariats avec des producteurs locaux. « On achète nos patates de la ferme Patasol, nos fraises de la Ferme Bourdages, plusieurs de nos poissons et de nos fruits de mer chez Raymer. On a un nouveau partenariat avec Chaleur B Chocolat pour un trempage à crème molle. On reste toujours très ouverts aux collaborations locales qu’on pourrait venir ajouter. »

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?
Si à première vue, le jeune couple ne semblait pas destiné à l’entrepreneuriat, Catherine est psychoéducatrice et Alex électricien, ils avaient pourtant mis toutes les chances de leur côté dans les dernières années afin que l’entrepreneuriat vienne à eux. « Tout le monde autour de moi savait que je voulais me lancer en affaires. C’était connu, même si ce n’était pas marqué sur mon Facebook ! », raconte Alex en riant. « Quand quelqu’un a entendu dire que le Mam’zelle allait être à vendre, la puce m’a été mise à l’oreille et on s’est informés. Tout a déboulé rapidement ensuite. »

Pendant qu’Alex retrouve dans l’entrepreneuriat un aspect familial puisqu’il a grandi dans une famille d’entrepreneurs, Catherine retrouve de son côté un niveau d’intensité qu’elle avait perdu depuis quelques années : « Quand je suis venu m’établir en Gaspésie, je ne retrouvais pas l’adrénaline que j’avais déjà eue dans mes emplois précédents. Quand l’opportunité de reprendre le Mam’zelle s’est offerte à nous, j’ai retrouvé ce niveau d’adrénaline qui me fait réellement me sentir sur mon X. » explique Catherine.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?
Catherine et Alex ont obtenu de l’aide financière de la SADC grâce au Fonds Stratégie jeunesse, ce qui leur a permis de bénéficier d’un congé d’intérêt d’une durée de 24 mois et de compléter le financement nécessaire au transfert de l’entreprise. « L’aide de la SADC a été pour nous une très bonne source de financement complémentaire, à très faible pourcentage. Tout a été simple et on s’est senti soutenu par la SADC tout au long du processus de transfert », explique Alex.

Parlez-nous d’un « bon coup » en matière de développement durable.
L’entreprise avait déjà amorcé une réflexion sur son impact environnemental dans les dernières années, et les nouveaux entrepreneurs souhaitent poursuivre sur cette lancée avec leur arrivée. « On veut voir comment on peut continuer de réduire l’impact des déchets produits par le casse-croûte. On a déjà entrepris de petits changements cette année, par exemple, on a remplacé les fourchettes en plastique par des fourchettes en bois. Prochainement, tous nos emballages vont devenir soit compostables, soit recyclables. », explique Catherine. L’écoute de leurs employés et de leurs clients est également une valeur très importante pour les jeunes entrepreneurs : « On essaie le plus possible d’être à l’écoute. Alex et moi on met des heures et des heures dans l’entreprise. On est très souvent là, pour ne pas dire tout le temps là. Je pense que les clients et les employés le ressentent » ajoute Catherine.
 
Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?
« En tant qu’entrepreneur qui reprend une entreprise existante, prends le temps de regarder quelles sont les forces et les défis de ton entreprise. Prends ce temps-là. Ne change pas tout en arrivant dans l’entreprise. Les anciens entrepreneurs ont travaillé immensément fort, ils n’ont pas travaillé fort pour rien. On a fait ça pour notre première année. On n’a rien changé, on a juste observé, on s’est imprégné des façons de faire. Après tu peux réellement évaluer ce qui peut être amélioré. » Un excellent conseil de Catherine pour les repreneurs, qui seront appelés à être de plus en plus nombreux dans les prochaines années.

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À propos de Catherine et Alex
Après avoir fait des carrières respectivement en tant que psychoéducatrice et qu’électricien, Catherine et Alex ont décidé de laisser leur emploi pour se lancer en affaires, en couple. Ils sont copropriétaires depuis 2023 du Casse-croûte Mam’zelle Maria. Leur parcours a d’ailleurs été souligné récemment, en étant finalistes pour la catégorie Transmission et relève d’entreprise lors du Gala 2023 de la Chambre de commerce et d’industrie Baie-des-Chaleurs.

Portrait d’entreprise – Sports Experts Bonaventure

Le parcours entrepreneurial d’Émilie Chicoine a de quoi surprendre, pourtant, elle a toujours eu en elle cette passion contagieuse de l’entrepreneuriat. Rencontre avec celle qui a osé faire place à l’entrepreneure en elle en procédant à l’acquisition du Sports Experts de Bonaventure en 2022, et ainsi, fait vivre ses valeurs communautaires et sportives.

 

L’entreprise, en bref

Le Sports Experts Bonaventure est un commerce de détail spécialisé dans la vente de vêtements, de chaussures et d’équipements de sport de marques renommées et exclusives à des prix concurrentiels. Il offre une vaste gamme d’articles qui permet à la clientèle locale de pratiquer différents sports tels que le hockey, le soccer, le baseball, la natation, le volley-ball et le tennis.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

Si la bannière Sports Experts est généralement bien connue pour la vente au détail, les gens ne savent peut-être pas qu’une des forces de l’entreprise est la vente Business-to-Business (B2B). « On fait de plus en plus de marchandises personnalisées pour les équipes sportives, par exemple, des chandails, des casquettes et différents articles promotionnels sur mesure. Depuis cette année, on vend d’ailleurs en magasin les articles de l’équipe de hockey mineur de Bonaventure, les Cayens », explique avec fierté Émilie.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Émilie a toujours su qu’elle avait la fibre de l’entrepreneuriat, mais elle n’avait pas encore trouvé le bon projet pour elle. C’est finalement son audace qui lui aura permis de tomber sur la bonne opportunité. « Je n’avais jamais entendu dire que le Sports Experts était à vendre. J’ai appelé le propriétaire et je lui ai dit ¨C’est Émilie. J’aimerais te rencontrer! ¨. » Sans le savoir encore, c’était le début d’une histoire de relève. « Je suis venu le rencontrer. On avait la même vision. Tout s’est imbriqué rapidement. En juin 2022, je devenais copropriétaire. En juin 2023, je devenais propriétaire à 100%. » Un jumelage parfait pour Émilie. « Je suis sportive, je suis impliquée dans la communauté, je pratique plusieurs sports, je ne pouvais pas mieux tomber! » souligne la jeune entrepreneure, le sourire aux lèvres.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Le Sports Experts Bonaventure a obtenu de l’aide financière grâce au Fonds d’investissement et au Fonds Stratégie jeunesse de la SADC Baie-des-Chaleurs, ce qui a permis à Émilie de compléter le financement nécessaire à l’acquisition. « Ce que j’ai particulièrement apprécié de la SADC, c’est l’ouverture de l’équipe envers mon projet. À partir du moment où j’ai déposé ma demande, le traitement a été simple et rapide. »

Parlez-nous d’un « bon coup » en matière de développement durable.

L’entreprise saisit chaque opportunité pour s’impliquer activement dans sa communauté. « Je suis allée donner une conférence à l’école Quatre-vents de Bonaventure dans le cadre de la Semaine des entrepreneurs à l’école. On s’implique dans La Fête au Village à Bonaventure. On fait aussi des kiosques Pro shop, où on apporte du matériel d’entretien et de réparation d’équipements sportifs dans les événements locaux. », explique Émilie. La proximité avec la communauté est d’ailleurs un aspect qui démarque l’entreprise. « Si on compare à un Sports Experts en ville, ici on est très communautaire. On offre un service très proche des gens ».

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

Émilie n’hésite pas une seconde : « Le meilleur conseil que je peux donner, c’est de s’entourer. Je ne serai jamais comptable, je ne serai jamais fiscaliste. Connais quelqu’un qui connait ça mieux que toi! Ça ne sert à rien de vouloir tout savoir. »

À propos d’Émilie Chicoine

Après plusieurs années en tant qu’infirmière puis gestionnaire au sein du réseau de la santé et des services sociaux, Émilie a décidé à 27 ans de tout lâcher pour se lancer en affaires. D’abord copropriétaire en 2022, elle est maintenant l’unique propriétaire du Sports Experts Bonaventure. Son parcours entrepreneurial a d’ailleurs été souligné récemment, en étant élue Jeune personnalité de l’année lors du Gala 2023 de la Chambre de commerce et d’industrie Baie-des-Chaleurs.

Portrait d’entreprise – Manoir du Havre

Cumulant une solide expérience de préposée aux bénéficiaires et d’entrepreneure dans un autre domaine, Isabelle Martin a fait l’acquisition d’une résidence privée pour aînés (RPA), à Maria, en février 2019. Rencontre avec celle qui a jumelé ses deux passions au sein du Manoir du Havre et a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs. 

 

 L’entreprise, en bref 

Le Manoir du Havre héberge des personnes âgées en perte d’autonomie physique ou en déficit cognitif. Comprenant 39 chambres, il en fournit 31 au Centre intégré de santé et de services sociaux de la Gaspésie à titre de ressource intermédiaire, en plus de proposer huit chambres individuelles. Offrant un milieu de vie agréable à ses résidents et résidentes, il leur propose plusieurs services adaptés : repas, services d’aide domestique, soins infirmiers, assistance personnelle, etc. Plusieurs activités – célébration des anniversaires et autres fêtes, bingo, jeux de table, musique, etc. – leur sont aussi offertes. 

 En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?  

« C’est une RPA majoritairement en ressource intermédiaire, donc le nombre de soins offerts est très élevé », mentionne Isabelle. Les ressources intermédiaires ont pour objectif de proposer un milieu de vie agréable aux personnes hébergées, ce que s’applique à faire le Manoir. « C’est un milieu dynamique, très familial. On est proches des gens! » 

 Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

« C’est un rêve de toujours! Je travaille avec les personnes âgées depuis que je suis jeune », affirme Isabelle, qui cumule environ 18 ans d’expérience comme préposée aux bénéficiaires. Également copropriétaire de Protection Garvex, elle avait aussi, depuis longtemps, la fibre entrepreneuriale. « C’est un cumul du parcours personnel. » 

 Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

Le Manoir du Havre a obtenu de l’aide financière grâce au Fonds d’investissement de la SADC. « Ça a été primordial pour l’acquisition du Manoir et les travaux de réaménagement, mentionne Isabelle. La SADC a été essentielle dans notre parcours. » 

Une nouvelle aile accueille les gens en perte d’autonomie physique et l’aile pour les gens en déficit cognitif a été refaite en entier. « Maintenant, tout le monde bénéficie de belles grandes chambres individuelles avec salle de bain! » 

 Parlez-nous d’un « bon coup » en matière de développement durable. 

Le Manoir du Havre essaie de s’approvisionner localement, autant que possible.  « Tant au niveau de la nourriture que des équipements spécialisés, c’est local, sauf quand on ne peut pas », affirme Isabelle. L’établissement a aussi aménagé un superbe jardin avec fleurs, arbres et plantes, dont sa clientèle peut profiter.  

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

Selon Isabelle, l’entrepreneuriat requiert « de la détermination, de la persévérance, le souci du détail et de la qualité, et un travail acharné ». Elle souligne également l’importance du réseautage.  

 

À propos d’Isabelle Martin  

Préposée aux bénéficiaires au CHSLD Les Havres, à Montréal, pendant 10 ans, Isabelle a également travaillé en soins à domicile au CLSC de Saint-Omer pendant environ 8 ans.

Portrait d’un OBNL – Corporation du Mont-Saint-Joseph

L’OBNL, en bref

Visant à préserver et à mettre en valeur le riche patrimoine culturel et naturel du mont Saint-Joseph, à Carleton-sur-Mer, la Corporation a été constituée en tant qu’organisme à but non lucratif (OBNL) en 1998. Elle est ainsi, depuis lors, sous la responsabilité d’un conseil d’administration formé de bénévoles. La Corporation assure la pérennité et le développement du Parc régional du Mont-Saint-Joseph, où l’on retrouve des sentiers pédestres et de vélo de montagne, de l’hébergement insolite dans des géodômes et des aiguilles (petits chalets), des belvédères avec une superbe vue sur la Baie-des-Chaleurs, à 555 m d’altitude, un bâtiment d’accueil avec boutique ainsi qu’une chapelle citée patrimoniale, érigée en 1935, qui offre un spectacle d’animation numérique. Le site du mont Saint-Joseph est également l’hôte d’événements ponctuels, d’activités d’animation, etc.

En quoi la Corporation se démarque-t-elle?

Selon Olivier, en étant un OBNL, elle peut se consacrer à sa mission, sans être axée uniquement sur le profit. « Tout est réinjecté pour le développement social ou économique. » Le site se distingue en offrant « le plus haut sommet accessible par voie asphaltée au Québec. C’est intéressant pour le côté mobilité et pour apprécier la vue magnifique sur le patrimoine qui nous entoure, autant historique que culturel. » Les pistes de vélo de montagne avec vue à couper le souffle et l’hébergement insolite à flanc de falaise comptent aussi parmi les attraits singuliers du lieu. L’éloquente présence de la chapelle appelle aussi les visiteurs de toutes communions au recueillement.

Pourquoi avez-vous choisi de travailler au sein de cet OBNL?

« Ce qui m’a marqué, quand je suis arrivé, c’est l’énergie qu’il y a en haut de la montagne. La spiritualité du lieu », confie Olivier. Ayant d’abord constitué un lieu de rassemblement important pour les Mi’gmaqs, le mont a ensuite accueilli de nombreux pèlerins catholiques. Aujourd’hui, Olivier se plaît à dire que « les pleinairistes sont les nouveaux pèlerins! » Il apprécie la portée sociale de la Corporation. « On fait des projets qui répondent à notre mission, comme les sentiers du ruisseau Bastien, et qui ont un effet sur la communauté. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Ces dernières années, la Corporation s’est dotée de nouvelles infrastructures comme des géodômes et un bâtiment d’accueil. Elle a obtenu un prêt à taux préférentiel de la SADC pour couvrir une partie des coûts, dans le contexte postpandémique. « Il y a eu une augmentation des coûts de matériaux et de construction, mentionne Olivier. Il fallait éponger ça pour mener le projet à bien. »

Parlez-nous d’un « bon coup » en développement durable.

« On s’inscrit dans plusieurs initiatives et démarches (ex. : en tourisme régénérateur) pour qu’après, dans notre gestion et planification, on puisse avoir de plus en plus de bons réflexes », affirme Olivier. Côté hébergement, il souligne que l’eau potable est en circuit fermé, réduisant ainsi la consommation totale, et que le système de toilettes au compost permet de revaloriser les matières organiques provenant des prêts-à-camper. Enfin, il est fier de la mise en place de la navette reliant le camping, la plage et le sommet du mont, 7 fois par jour en été. « Ça réduit la pression des voitures autant dans la ville que sur la montagne. » En 2023, « on a eu 50 % plus d’achalandage que la saison dernière en 25 jours de moins d’opération. On répond à la demande des touristes et des locaux par un même projet. »

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Écoute le milieu, implique-toi dans ton milieu et essaie de faire des partenariats », mentionne Olivier. Selon lui, pour maximiser les chances de succès, l’offre proposée doit répondre à un besoin réel du milieu.

Portrait d’entreprise – GASPA VIDÉO

Jean Guénette et Elaine Poirier ont mis sur pied GASPA VIDÉO il y a près de 25 ans pour donner une voix aux régions du Québec à la télévision grâce au documentaire. Rencontre avec Jean à propos de cette maison de production de Carleton-sur-Mer, qui a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs. 

 

L’entreprise, en bref 

Depuis 1999, GASPA VIDÉO se donne pour mission de parler des gens des régions du Québec sur les chaînes québécoises, canadiennes et internationales. Sa démarche consiste à observer, comprendre, montrer et prendre position. Ses documentaires pour la télévision traitent de sujets à caractère social, politique, économique, culturel et environnemental. GASPA produit également des vidéos éducatives pour des organisations privées et publiques. Son équipe compte deux ressources permanentes et plusieurs pigistes, dont quatre avec qui elle travaille sur une base régulière.  

 En quoi votre entreprise se démarque-t-elle? 

« On est une des seules maisons de production privées en Gaspésie qui fait depuis autant d’années affaire avec des diffuseurs au niveau national et produit une variété aussi grande de documentaires », mentionne Jean. Plus de 100 ont en effet été produits par l’entreprise, qui a tourné à différents endroits au pays et ailleurs dans le monde. « On a aussi monté une énorme banque d’archives sur le milieu maritime. » L’entreprise fait appel à plusieurs talents gaspésiens pour ses productions, notamment pour les musiques originales. 

 Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat? 

« On avait envie de raconter l’histoire des gens qu’on ne voyait pas en ondes, explique Jean. Les régions du Québec, particulièrement la Gaspésie, manquaient de couverture dans les grands médias. » Selon lui, la péninsule y était souvent dépeinte de façon « trop folklorique et cliché ». Avec sa maison de production, il souhaitait « donner de façon plus personnalisée la voix à ceux qui en ont besoin. Parler des régions du Québec, de leurs défis, de leurs problématiques et de leurs solutions. » 

 Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté? 

Au fil des ans, GASPA VIDÉO a obtenu des prêts de la SADC utilisés comme financement intérimaire. « Ça nous permet de boucler le financement et d’aller en production », explique Jean. « Il a été crucial, pour nous, d’avoir l’appui de la SADC depuis toutes ces années. Ce n’est pas évident pour une boîte en région d’aller chercher du financement à Montréal. [L’organisme] a été un allié de développement. » 

Parlez-nous d’un « bon coup » en développement durable. 

« On travaille avec juste un véhicule de tournage, ce qui est moins énergivore, mentionne Jean. Et on a fait le choix de ne pas avoir de bureau commercial à l’extérieur de la maison. Ça fait une différence dans nos déplacements. On a décidé, aussi, de réduire l’équipement. Et on regroupe les tournages. » De plus, l’entreprise informe la population sur des enjeux sociaux et des causes environnementales en abordant ces sujets dans des documentaires, diffusés à grande échelle à la télévision. 

 Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs? 

« Avoir un plan d’affaires très sérieux, affirme Jean. Et aller voir la SADC, entre autres. Elle nous a beaucoup aidés! » Selon lui, « être entrepreneur, ce n’est pas donné à tout le monde. (…) Il faut travailler fort, y croire et aimer ce qu’on fait. Il y a beaucoup d’embûches et de défis, surtout financiers. Mais ce n’est pas parce qu’on est en région qu’on n’est pas capables. Je dirais même au contraire! » Et il ajoute : « Il faut que les entrepreneurs voient grand, voient loin, et prennent les moyens nécessaires, s’entourent des bonnes personnes. » 

 À propos 

Jean Guénette est producteur, réalisateur, scénariste et directeur photo chez GASPA VIDÉO. Elaine Poirier est directrice de production, coproductrice et coréalisatrice. 

Portrait d’entreprise – Transports Jos Dugas et Fils inc.

La rentrée scolaire 2023-2024 a eu lieu sous le signe de la nouveauté pour Transports Jos Dugas et Fils inc., qui a intégré dans sa flotte trois autobus électriques. Rencontre avec le président-directeur général, Pierre Dugas, à propos de cette entreprise de Nouvelle et du soutien qu’elle a obtenu de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Mise sur pied en 1981, Transports Jos Dugas et Fils inc. est une entreprise familiale qui se spécialise dans le transport scolaire pour le Centre de services scolaire René-Lévesque et les voyages spéciaux (ex. : voyages sportifs, sorties d’école, etc.). Elle regroupe trois générations : Jos Dugas, propriétaire et fondateur; son fils Pierre, président-directeur général; ainsi que le fils de ce dernier, Tommy Dugas, responsable des opérations – Secteur autobus électriques. Line Gagné, adjointe administrative et conjointe de Pierre, fait également partie de l’équipe de direction. Transports Jos Dugas et Fils inc. compte aujourd’hui une équipe de 15 personnes, incluant des conductrices et conducteurs réguliers et suppléants. Sa flotte est composée de 14 autobus scolaires, dont trois électriques.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Une de nos forces, c’est nos employés!, mentionne Pierre. Nos conductrices et conducteurs d’expérience, qui sont là depuis plusieurs années. Des professionnels ayant de bons dossiers de conduite. » Il souligne d’ailleurs l’importance d’offrir un excellent service à la clientèle dans le domaine du transport scolaire. L’entreprise est aussi très impliquée dans le domaine de la sécurité scolaire. « Je fais partie du Comité de sécurité en transport scolaire Gaspésie-Sud, qui existe depuis 19 ans. » Ce comité s’est d’ailleurs démarqué, au fil des ans, en recevant plusieurs prix pour ses activités dans le cadre de campagnes de sécurité provinciales.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« J’ai toujours aimé prendre mes propres décisions et m’impliquer dans ma communauté », mentionne Pierre. Lorsqu’il a incorporé l’entreprise familiale de transport scolaire, il voulait « faire équipe avec les gens pour que leurs activités soient une réussite ».

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

À ses débuts, Transports Jos Dugas et Fils inc. comptait seulement deux véhicules. Grâce à l’aide financière de la SADC, elle a pu faire l’acquisition d’autres entreprises de transport et prendre de l’expansion. « La SADC a été un plus, avec des taux d’intérêt qui sont avantageux », affirme Pierre. « Ils nous ont aussi aidés à prendre possession des autobus électriques. » Il souligne aussi avoir apprécié l’accompagnement offert afin de réaménager les tâches en fonction des nouveaux besoins liés à l’expansion.

Parlez-nous d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fier en matière de développement durable.

« On est fiers de dire qu’une petite entreprise familiale a pu acquérir des véhicules électriques, mentionne Pierre. Cela envoie le message que c’est possible! On est vraiment fiers d’avoir réalisé ces acquisitions-là et de pouvoir en faire profiter le plus rapidement possible à la clientèle qu’on transporte. » Il souligne également que l’entreprise a toujours préconisé l’écoconduite.

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Ce qui est très important, c’est de croire à ses rêves et de persévérer, affirme Pierre. La Baie-des-Chaleurs est une belle terre d’accueil pour la réalisation de tous ses rêves. » Il ajoute : « Il faut s’assurer de s’entourer de gens positifs et professionnels, que ce soit avec la SADC ou d’autres organisations. Il y a beaucoup d’outils qui n’étaient pas là quand j’ai commencé et qui sont là maintenant. » Il faut, selon lui, réseauter et bien s’informer.


À propos de Pierre Dugas

Pierre Dugas commence sa 34e année comme conducteur d’autobus. En plus d’être président-directeur général de Transports Jos Dugas et Fils inc., il est également conseiller de secteur pour la Baie-des-Chaleurs au sein de la Fédération des transporteurs par autobus, qui compte plus de 700 membres au Québec.

Portrait d’entreprise – Ferme M et M

Propriétaires de la Ferme M et M, une entreprise laitière, Marie-Ève Cyr et Maxime Plante ont fait leur première traite à la fin 2021. Depuis, leur ferme du rang Thivierge, dans le magnifique arrière-pays de Bonaventure, accroît peu à peu sa production. Rencontre avec ce couple passionné d’agriculture, dont l’entreprise a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Marie-Ève et Maxime ont eu accès au programme d’aide au démarrage d’entreprises laitières des Producteurs de lait du Québec en 2020. Ils ont ainsi pu acquérir 16 kg de quota de lait et bénéficier d’un prêt de 16 autres kg pour 10 ans. À l’été 2021, ils ont rénové et agrandi un bâtiment existant pour en faire une étable, puis construit une fosse à fumier, pour enfin réaliser leur première traite à la mi-décembre. Ils comptent aujourd’hui une quarantaine de vaches et 41 kg de quota.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

Marie-Ève souligne que le fait d’avoir démarré – et non repris – une entreprise de production laitière est en soi assez distinctif au Québec. Maxime précise que la Ferme M et M se démarque par ses vaches en stabulation libre. « Nos vaches sont lousses 24 h sur 24 dans le bâtiment », mentionne-t-il. « On n’a pas la race commune, la noire et blanche que tout le monde est habitué de voir, poursuit-il. On a la race jersey, plus petite, de la même couleur qu’un chevreuil », qui a la particularité de produire un lait très riche.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

Maxime détient un DEC en gestion exploitation d’entreprise agricole et Marie-Ève est agronome. Tous deux ont travaillé à la Ferme Bourdages Tradition, à St-Siméon, avant de démarrer. Et Maxime, qui vient d’une ferme laitière du comté de Lotbinière, dans Chaudière-Appalaches, connaissait bien l’entrepreneuriat sur une ferme. « On voulait quelque chose qui nous ressemblait, et qu’on pourrait gérer nous-mêmes », mentionne Marie-Ève.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Marie-Ève et Maxime ont obtenu de l’aide financière grâce au Fonds Stratégie jeunesse de la SADC. « On a eu deux prêts personnels de 25 000 $, qu’on a investi dans le fonds de roulement », mentionne Maxime. « Pendant qu’on construit, on a les frais d’une entreprise, mais pas de revenus qui rentrent. [Le soutien] de la SADC a servi comme fonds de roulement pour payer nos stocks la première année. »

Parlez-nous de « bons coups » dont vous êtes particulièrement fiers en matière de développement durable?

« On n’utilise aucun pesticide », mentionne Maxime. La Ferme épand ses propres fumiers, au printemps plutôt qu’à l’automne. « C’est beaucoup plus efficace au printemps quand les plantes sont en croissance », explique Marie-Ève. De plus, le couple a installé un système qui permet de récupérer l’eau pour laver le plancher de l’étable. « On économise pratiquement 400 litres d’eau par jour! », précise Maxime. « Et on essaie de prendre des produits biodégradables. »

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Ne pas s’arrêter pour un non!, s’exclame Maxime. Avant qu’on puisse démarrer, on s’est fait dire non souvent. » Et il ajoute : « Tu prends un triangle équilatéral : volonté, motivation et discipline. Il faut ajuster ça de façon égale. » Il suggère également de suivre un cours de gestion. Et selon lui, dans le domaine agricole, « il faut vraiment miser sur l’efficacité, ne rien négliger pour réussir. Une vache qui n’est pas bien, elle ne donne pas de lait! », illustre-t-il.

À propos de Marie-Ève Cyr et Maxime Plante

Selon Marie-Ève et Maxime, pour réussir comme couple en affaires, il faut être bien entourés. Ils soulignent avoir reçu beaucoup d’aide de la part d’intervenants socioéconomiques, d’autres producteurs et de leur famille.

Portrait d’entreprise – Chasse et pêche JFS

Il y a un an et demi, Samantha Dufour et Jean-François Landry ont choisi de vendre leur entreprise respective pour acquérir ensemble une station d’essence avec dépanneur à Pointe-à-la-Croix. Rencontre avec ce duo d’entrepreneurs ambitieux dont l’entreprise, Chasse et pêche JFS, a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.


L’entreprise, en bref

À la fois station d’essence Ultramar et dépanneur, Chasse et pêche JFS offre une grande variété de produits. On y trouve, entre autres, de la moulée pour les animaux (poules pondeuses, veaux, chevaux, cochons, agneaux…), des mangeoires et des abreuvoirs. L’entreprise propose également une belle variété d’équipement de chasse et pêche avec, notamment, des produits pour salines, des accessoires de plein air et des produits pour la pêche à la truite, au bar rayé et au saumon. Chasse et pêche JFS se distingue aussi en offrant un bel éventail de feux d’artifice Royal et en étant un point de vente Arachides Dépôt, une compagnie québécoise.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Par nos super employés! », affirme Samantha, en soulignant la qualité et la rapidité du service. Elle mentionne aussi que Chasse et pêche JFS est le seul point de vente de moulée pour animaux entre Saint-Omer et Amqui.

Pourquoi avez-vous choisi d’acquérir cette entreprise?

« On était déjà entrepreneurs avant, mentionne Samantha. On a décidé de se lancer en affaires ensemble. » Jean-François était entrepreneur dans le secteur de la rénovation, alors que Samantha possédait une discothèque. « C’est un nouveau défi pour nous », ajoute Jean-François.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Le duo d’entrepreneurs a obtenu un prêt de la SADC dans le cadre du Fonds Stratégie jeunesse, ce qui lui a permis d’augmenter et de diversifier ses stocks. « On a tout rénové l’intérieur. Ça nous a donné l’opportunité d’offrir plus de choses, plus de choix pour nos clients dans le magasin », mentionne Jean-François. « Là, c’est en processus à l’extérieur », poursuit Samantha.

Parlez d’un « bon coup » dont vous êtes particulièrement fiers comme entrepreneurs.

Jean-François et Samantha se disent très fiers de voir leur chiffre d’affaires augmenter grâce à leurs réaménagements et à leurs efforts de diversification.

Quel conseil aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

Jean-François mentionne l’importance de bien se préparer et de bien planifier. Avant de faire le grand saut, le duo d’entrepreneurs a fait appel à un consultant. « On a fait faire une étude de marché et ça nous a vraiment enlignés sur certaines choses, ça nous a vraiment aidés », dit-il. Samantha ajoute qu’il est important d’être prêt à s’investir : « Il faut que tu sois là si tu veux du succès! Il n’y a rien de facile, mais c’est vraiment l’fun quand tu vois que ton entreprise grossit! »

Portrait d’entreprise – Casse-croûte Chez Mamie Yoyo

Il y a 10 ans, Gail Parker a quitté le secteur des VR pour celui de la restauration en acquérant le populaire Casse-croûte Chez Mamie Yoyo, à Pointe-à-la-Croix. Rencontre avec cette femme d’affaires dynamique, dont l’entreprise a obtenu du soutien de la SADC de Baie-des-Chaleurs.

 

L’entreprise, en bref

Ouvert de la mi-mars à la mi-octobre, le Casse-croûte Chez Mamie Yoyo de Pointe-à-la-Croix propose un menu varié incluant frites maison, poutines, burgers, ailes de poulet, poulet barbecue, pizzas, fruits de mer, soupes, salades et sandwiches, auxquels s’ajoutent les rafraîchissants produits de son bar laitier. Il est possible de manger sur place à l’intérieur ou sur la terrasse, ou encore de prendre des plats à emporter.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle?

« Par nos produits frais, affirme Mme Parker. Tout est maison. Il n’y a rien de préparé à l’avance, c’est cuit sur commande. » Elle mentionne aussi l’ambiance familiale et chaleureuse qui règne dans son restaurant. « Les gens aiment bien, spécialement l’été, s’asseoir sur la terrasse entre collègues de travail, entre amis. C’est un point de rencontre. » Et elle ajoute : « C’est un arrêt obligatoire l’été. J’ai mes réguliers et touristes qui viennent d’année en année. » Mme Parker précise également que son grand stationnement permet d’accueillir facilement les camions, autobus, roulottes et VR.

Pourquoi avez-vous choisi la voie de l’entrepreneuriat?

« C’était par hasard! », confie Mme Parker. Alors qu’elle occupait un emploi dans le secteur des véhicules récréatifs, elle s’est fait proposer d’acheter le Casse-croûte Chez Mamie Yoyo par l’entremise d’une connaissance. Cette acquisition impliquerait donc, pour elle, de travailler dans un tout autre domaine. Après y avoir réfléchi, Mme Parker se dit que ce serait une belle aventure. « Au départ, les employés qui étaient à l’emploi de l’ancien propriétaire sont tous restés. J’ai discuté avec chacun d’eux. Ils m’ont aidée à apprendre au jour le jour. Côté gérance, j’avais quand même de l’expérience. »

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté?

Mme Parker a obtenu un prêt de la part de la SADC. Elle mentionne avoir aimé pouvoir bénéficier d’un financement accessible, avec des versements adaptés à sa situation, étant donné que son entreprise est saisonnière. « J’ai beaucoup apprécié l’aide de la SADC », dit-elle.

Parlez-nous d’un « bon coup » qui vous rend fière en matière de développement durable.

« J’étais un peu d’avance au niveau du virage vert, mentionne fièrement Mme Parker. Ça fait déjà à peu près 6 ans que j’ai des contenants biodégradables. Même si c’était un peu plus dispendieux, c’était important pour moi de faire une différence. » Aux contenants mentionnés s’ajoutent des sacs de papier et des pailles biodégradables. Au moment d’écrire ces lignes, l’entreprise écoule ses derniers ustensiles de plastique. « Après, je tombe dans les ustensiles en bouleau! »

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite se lancer en affaires dans la Baie-des-Chaleurs?

« Je dirais que c’est la plus belle opportunité! », affirme Mme Parker. Elle souligne que les gens de la région sont là pour soutenir les petites entreprises locales. « Ça vaut la peine de foncer dans cette aventure-là. C’est le plus beau défi que je me suis donné. Il y a des hauts et des bas, mais il y a plus de hauts! » Mme Parker mentionne également l’importance de s’entourer d’une bonne équipe, et se dit très fière de ce qu’elle a accompli avec la sienne.

À propos de Gail Parker

Originaire de Campbellton, Gail Parker habite au Québec depuis 33 ans. Autrefois directrice commerciale dans le domaine des véhicules récréatifs, elle a acquis le Casse-croûte Chez Mamie Yoyo en 2013.