Invitation – Assemblée générale annuelle de la SADC

PRENEZ PART À L’AGA DE VOTRE SADC !

Cher membre de la SADC de Baie-des-Chaleurs,

Au nom du conseil d’administration et des employées de la SADC, nous tenons à vous remercier de votre adhésion comme membre pour l’année 2025-2026 !

Votre soutien est essentiel pour nous. Il représente non seulement un appui précieux à notre mission, mais aussi un engagement envers l’amélioration de la qualité de vie de notre collectivité.

En tant que membre, vous jouez un rôle clé dans le développement d’une vision d’avenir pour notre milieu. Vous contribuez à mettre en valeur tout son potentiel et à soutenir la création, la consolidation et le développement des entreprises et des emplois sur notre territoire.

Nous vous invitons dès maintenant à noter la date de notre assemblée générale annuelle dans votre calendrier. Votre présence et votre participation seront grandement appréciées.

 

DATE :   Jeudi 12 juin 2025

16 h :      Assemblée générale annuelle

17 h :      Mocktail et bouchées. Vous aurez aussi l’opportunité de profiter d’un tour guidé du Manoir Belle Plage.

Lieu :     Manoir Belle Plage – Salle Rollande-Arsenault, 474, boulevard Perron, Carleton-sur-Mer

Nous vous demandons de bien vouloir confirmer votre présence au plus tard le lundi 9 juin, en cliquant ci-dessous.


CONFIRMER MA PRÉSENCE

 

POSTES EN ÉLECTION AU CONSEIL D’ADMINISTRATION

Veuillez prendre note qu’il y aura deux (2) postes en élection au sein du conseil d’administration. Les candidatures doivent provenir de :

  • un (1) membre individu ;
  • un (1) membre corporatif;

Si vous désirez déposer votre candidature, nous vous invitons à remplir le bulletin prévu à cet effet et à nous le retourner au plus tard le 14 mai 2025.


BULLETIN DE MISE EN CANDIDATURE À TÉLÉCHARGER

 

DÉROULEMENT

Lors de l’AGA, le bilan des réalisations et des investissements 2024-2025 ainsi que le plan d’action 2025-2026 vous seront présentés.

Cliquez ici pour consulter la proposition d’ordre du jour.

Au plaisir de vous rencontrer à cette occasion !

 

Marie-Ève Verreault
Secrétaire de la corporation
SADC de Baie-des-Chaleurs

KDF Ferblanterie a ouvert ses portes!

KDF Ferblanterie, établie à Rouyn-Noranda en février dernier, fabrique des pièces de ferblanterie sur mesure et offre un service de pliage de tôle. Sa boutique propose divers produits en enveloppe métallique du bâtiment, ainsi qu’une sélection d’outils, d’équipements de sécurité, de matériaux de ferblanterie et d’accessoires de toit.

Garage Sinnett – Histoire d’une relève d’entreprise

En pleine pandémie de la COVID-19 et à peine âgé de 25 ans, Mathieu Sinnett était loin de se douter qu’il allait bientôt entamer des démarches de relève d’entreprise. Rencontre avec ce jeune entrepreneur natif de Saint-Siméon qui a osé faire le saut dans l’entrepreneuriat en reprenant le garage de M. Yvan Landry.

 

L’entreprise, en bref

Anciennement connu sous le nom de Garage Yvan Landry, le Garage Sinnett offre des services d’entretien, de réparation et de diagnostic automobiles. L’entreprise située à Nouvelle s’est d’ailleurs fait un nom dans les dernières années dans le diagnostic des nouveaux véhicules, ce qui implique une expertise et des outils spécifiques : « En moyenne, il y a 30 à 40 ordinateurs dans un véhicule aujourd’hui. Le garage possède plusieurs outils pour se connecter sur les véhicules et voir électroniquement ce qui se passe », explique le jeune entrepreneur.

 

Comment s’est présentée à vous cette opportunité de relève d’entreprise ? Quelle est VOTRE histoire de relève ?

L’histoire de Mathieu Sinnett en est d’abord une de découverte d’une passion. Après ses études collégiales, Mathieu se retrouve à un moment où il se questionne sur son avenir. Puis, il découvre la mécanique automobile : « Dans mes temps libres, c’est tout ce que je faisais. J’ai décidé que tant qu’à avoir quelque chose que j’aime autant, de virer ça en travail », se remémore-t-il. Il entreprend alors une formation professionnelle en mécanique automobile, ce qui lui permettra de décrocher son premier emploi de mécanicien.

Puis, vient un moment où l’idée d’avoir son propre garage fait son chemin. Cependant, comme il ne vient pas d’une famille d’entrepreneurs, il doute de ses capacités à se lancer en affaires : « Dans ma tête, je voyais ça très loin. Je considérais que je n’avais pas assez d’expérience pour avoir une entreprise. Je voyais ça comme une grosse montagne et je ne savais pas par où commencer ». Il prend alors une décision qui changera son parcours entrepreneurial : il s’inscrit au cours de démarrage d’entreprise offert par le centre de formation professionnelle l’Envol de Carleton-sur-Mer. « Le cours m’a vraiment aidé parce qu’il m’a permis de voir que c’était réalisable », explique-t-il. « Quand j’ai fini mon cours, c’était clair que je voulais démarrer mon entreprise, je ne savais juste pas quand ».

À ce moment, Mathieu ne sait pas que le garage d’Yvan Landry est à vendre. Reprendre une entreprise existante lui semble alors improbable : « Je pensais que j’allais acheter une bâtisse vide et partir de zéro. Pour moi, c’était la seule façon de faire. Dans ma tête, une entreprise, ça ne se vendait pas », explique-t-il. Il est alors agréablement surpris d’apprendre à l’été 2020 que le garage de M. Landry est à vendre. Sur un coup de tête, il décide de prendre son courage à deux mains et de se présenter en personne au garage de M. Landry. « Yvan, les deux bras lui ont tombé à terre! », raconte-t-il en riant. « Avec les acheteurs précédents, ça n’avait pas fonctionné. Il s’était fait à l’idée qu’il ne serait pas capable de vendre ». La semaine suivante, Mathieu le rencontre à nouveau et c’est à ce moment que les démarches de transfert d’entreprise débutent.

 

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle particulièrement ?

Si à une certaine époque, Mathieu voyait son jeune âge comme un manque d’expérience, il le voit aujourd’hui comme une force : « On est une jeune équipe. On est chanceux, on est plus à l’aise avec la technologie, on a grandi là-dedans ». L’entreprise a d’ailleurs entrepris un important virage jeunesse au cours de la dernière année, avec l’adoption d’un nouveau logo, la refonte de la façade du bâtiment, la confection de marchandises promotionnelles (casquettes, tuques, chandails) et la création d’une page d’entreprise sur Facebook. Un fait d’armes dans son secteur d’activités où plusieurs n’ont toujours pas entrepris de virage : « Par exemple, pour ce qui est des garages, il n’y a pas grand-chose sur les médias sociaux », témoigne-t-il.

Pour l’entrepreneur, il était également extrêmement important de conserver l’excellent service à la clientèle qu’avait mis en place M. Landry : « Yvan était très axé sur le service à la clientèle. Il était terriblement serviable. Tu avais une urgence, il était là pour aider. Il aimait les gens et il prenait chaque personne à part ». Dans son processus de transfert d’entreprise, Mathieu a alors tout fait afin de conserver ce même niveau de service à la clientèle, qui fait la renommée de l’entreprise depuis des années : « J’ai travaillé de novembre 2021 à juillet 2022 avec Yvan et quand je suis devenu propriétaire à l’été, il est resté comme employé pendant un an. C’est quelque chose qui m’a tellement aidé. Les gens n’ont pas vu de différence parce qu’ils me voyaient avec Yvan depuis plus d’un an. On a vraiment tout fait pour faciliter la transition pour les clients. […] Au moins 90 % de la clientèle est restée », explique-t-il fièrement.

 

Comment souhaitez-vous faire évoluer votre entreprise dans les prochaines années ?  

Pour les prochaines années, le principal défi de l’entreprise est de rester à jour dans un secteur où les changements technologiques se sont accélérés : « Quand j’ai racheté le garage en 2022, je l’ai mis à jour. Mais de 2022 à maintenant, il y a déjà des choses qui ont changé. C’est une tâche quotidienne de rester à jour dans ce secteur », explique-t-il. Par exemple, Mathieu Sinnett aimerait pouvoir offrir d’ici les prochaines années une expertise en lien avec les voitures électriques qui gagnent en popularité.

 

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté dans votre projet de relève ?

Mathieu a obtenu de l’aide financière de la SADC grâce au Fonds Stratégie jeunesse, ce qui lui a permis de bénéficier d’un congé d’intérêt d’une durée de 24 mois et de compléter le financement nécessaire à l’achat du garage. Il a découvert la SADC par le biais de l’accompagnement de la MRC Avignon : « Dans un projet d’entreprise, tu as besoin généralement de plusieurs partenaires financiers. La SADC, comme partenaire financier dans mon projet, offre un service sans lequel je n’aurais pas pu voir mon projet aboutir ».

 

Quels apprentissages avez-vous faits dans votre processus de relève d’entreprise ? Quels conseils aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer dans un projet de relève ?

Mathieu se rappelle le moment où il hésitait encore à se lancer en affaires, parce qu’il attendait le moment parfait. Il souhaite inspirer d’autres jeunes à prendre des initiatives, plutôt qu’attendre que le projet idéal arrive à eux : « Si tu n’es pas rendu à ton point C dans ton plan d’affaires, entre ton point A et ton point C, tu peux te créer un point B. Il y a toujours quelque chose que tu peux faire pour mieux te préparer, en attendant ». Un excellent conseil pour les jeunes qui espèrent un jour avoir leur propre entreprise, mais qui sont freinés par l’ampleur du défi.

 

À propos de Mathieu Sinnett

Mathieu Sinnett est propriétaire depuis juillet 2022 du Garage Sinnett, situé à Nouvelle. En 2020, il a fait la rencontre de M. Yvan Landry, rencontre qui l’a conduit à prendre la relève du garage.

Les lauréats du 27e Défi OSEntreprendre du Kamouraska sont maintenant dévoilés

La Pocatière, le 2 avril 2025 – La 27e activité locale de remise de prix du Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska se tenait le mardi 1er avril où trois lauréats ont été honorés. Avec les finalistes du volet Réussite inc, ils poursuivront leur parcours à l’échelon suivant et les lauréats seront annoncés au gala régional le 30 avril 2025 au Parc du Mont-Saint-Mathieu.

La détermination et la passion des entrepreneurs pour leur domaine d’activité ont été saluées lors de la remise des prix. En tout, des bourses totalisant 900 $ ont été octroyées aux lauréats, afin de les soutenir dans la poursuite de leur projet entrepreneurial.

« Un parcours entrepreneurial est différent pour chacun. C’est une aventure extraordinaire qui demande du courage et de l’ambition. Nous sommes fiers de pouvoir compter sur des citoyens engagés qui, par leur entreprise, dynamisent et font rayonner notre région. Le Défi OSEntreprendre MRC de Kamouraska permet de souligner leur détermination et leur désir de faire une différence. Pour la plupart, leur parcours ne fait que commencer et nous leur souhaitons tout le succès qu’ils méritent dans la poursuite de leurs projets », déclarent d’une même voix le préfet élu, M. Sylvain Roy, et M. Olivier Lambert, président du conseil d’administration de la SADC du Kamouraska.

Lauréats du volet Création d’entreprise :

Lauréat du volet Faire affaire ensemble :

Finalistes du volet Réussite inc. :

Un partenariat gagnant

Si le Défi OSEntreprendre est devenu un incontournable pour propulser l’esprit d’entreprendre du territoire, c’est grâce à l’étroite collaboration qui perdure depuis plusieurs années entre les acteurs du développement économique. Rappelons que la SADC du Kamouraska et la MRC de Kamouraska sont partenaires dans l’accompagnement de ces entrepreneurs et dans l’organisation de l’échelon local.

À propos du Défi OSEntreprendre

Le Défi OSEntreprendre est un grand mouvement québécois qui fait rayonner les initiatives entrepreneuriales de milliers de personnes annuellement : des élèves, appuyés par leurs intervenants scolaires, des étudiants ainsi que des entrepreneurs. Il se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national grâce à plus de 300 responsables qui se mobilisent dans les 17 régions du Québec.

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Crédit photo : Jean-François Lajoie

Contact : Isabelle Chouinard, conseillère en développement économique, SADC du Kamouraska, 418-856-3482, poste 102 | [email protected]

 

Les lauréats du 27e Défi OSEntreprendre de la MRC de Rivière-du-Loup sont maintenant dévoilés!

Rivière-du-Loup, le vendredi 28 mars 2025 – C’est avec une grande fierté que nous dévoilons les lauréats locaux de la MRC de Rivière-du-Loup du 27e Défi OSEntreprendre. Ce concours fait rayonner les initiatives et inspire un plus grand nombre de personnes à passer à l’action. Pas de doute que notre région peut en être fière!

Jeudi dernier, lors de la soirée de remise de prix, la présidente d’honneur locale de ce 27e Défi OSEntreprendre, madame Pamela Bérubé, Vice-Présidente – cofondatrice de Go RH et Présidente de Huni PAE (programme d’aide aux employés), se rappelle sa propre expérience il y a 10 ans, une aventure entrepreneuriale enrichissante. Elle comprend très bien les lauréates et lauréats dans leur passion. Pamela ajoute qu’un bon entrepreneur est celui qui trouve un équilibre entre le professionnel et le personnel tout en prenant soin de sa propre personne. « Les heures n’étant pas comptées quand tu occupes le rôle d’un entrepreneur, il est important de comprendre qu’un esprit sain dans un corps sain permettra d’aller plus loin. Félicitations aux lauréates et lauréats pour leur audace et leur détermination. »

Les lauréats

Lors de ce gala, 4 prix ont été remis aux lauréats qui se sont démarqués par leur candidature. Dans le volet « création d’entreprise », les premiers prix des catégories ont été décernés à :

  • Économie sociale : Coop carotte de Rivière-du-Loup
  • Services aux individus : Nathaniel Sayles de Rivière-du-Loup
  • Exploitation, transformation, production: MaCate Macarons et Cie de Rivière-du-Loup.

Dans le volet « faire affaire ensemble », le premier prix a été décerné à Les Passions de Kémini de Rivière-du-Loup.

Les partenaires financiers

Nous voulons remercier les généreux partenaires financiers de cette 27e édition. Grâce à eux, nous avons remis des bourses totalisant 1 000 $ à nos lauréats locaux.

Les partenaires OR :

Amélie Dionne, députée de Rivière-du-Loup-Témiscouata | HarveyCorp | Mallette | CLD de la région de Rivière-du-Loup |SADC de la MRC de Rivière-du-Loup |Association des concessionnaires automobiles et de camions de Rivière-du-Loup |Univers Emploi

Les partenaires ARGENT :

Transport Morneau |Groupe Lebel |Simply for Life – Rivière-du-Loup

Les partenaires BRONZE :

Alain Normand Transport | Lepage Millwork

Un partenariat gagnant

Si le Défi OSEntreprendre de la MRC de Rivière-du-Loup est devenu un incontournable pour propulser l’esprit d’entreprendre sur le territoire de Rivière-du-Loup, c’est grâce à l’étroite collaboration des organisations de développement économique et du milieu entrepreneurial. Rappelons que le CLD de la région de Rivière-du-Loup et la SADC de la MRC de Rivière-du-Loup sont les organismes responsables locaux depuis le tout début de cet évènement. Pour inspirer le désir d’entreprendre dans la région, il peut compter sur de nombreux collaborateurs et partenaires!

À propos du Défi OSEntreprendre

La principale activité d’OSEntreprendre, le Défi OSEntreprendre, est un grand mouvement québécois qui fait rayonner annuellement les initiatives entrepreneuriales. Cette année ce sont 2 281 projets qui ont été déposés, tout volet confondu : des jeunes du préscolaire jusqu’à l’université appuyés par leurs intervenants scolaires avec son volet Scolaire, de nouveaux entrepreneurs avec son volet Création d’entreprise, des entrepreneurs au cheminement inspirant avec son volet Réussite inc. et des modèles d’approvisionnement d’ici avec son volet Faire affaire ensemble. Il se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national. Pour sa mise en œuvre, plus de 300 responsables se mobilisent dans les 17 régions du Québec afin de mettre en lumière les projets issus de leur milieu.

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Source :

Jenny Pouliot, coresponsable locale

CLD de la région de Rivière-du-Loup

418 862-1823 poste 102, [email protected]

 

Marché public d’Amos : Lancement des inscriptions 2025

 

Les activités du MARCHÉ ESTIVAL 2025, se dérouleront au Parc de la Cathédrale situé au 11, boul. Mgr Dudemaine à Amos, les jeudis de 11 h à 16 h 30, et s’échelonneront du 19 juin au 25 septembre 2025, inclusivement.

La période d’inscription est du 1er au 15 avril 2025. Le Marché public d’Amos se réserve une période de 2 semaines pour cadrer la location de kiosque. Une réponse vous sera envoyée dans la semaine du 28 avril 2025.

Vous avez des questions sur la sélection des dossiers ? Consultez le CADRE DE LOCATION

Vous souhaitez connaître les modalités de location au marché ? Consultez le CONTRAT

Vous souhaitez vous inscrire au marché estival 2025 ? Remplissez le FORMULAIRE D’INSCRIPTION

Vous souhaitez vendre quelques produits d’une autre entreprise ? Remplissez le FORMULAIRE DE CONSIGNATION

Pour toutes questions, communiquez avec la coordonnatrice du marché par courriel au [email protected] ou par téléphone au 819 732-8311 poste 25.

Consultez la page Facebook du marché!

 

Des ventes de 72 000 $ en produits de la région!

En 2024, la boutique en ligne de Goûtez AT a permis à 58 producteurs de vendre leurs produits durant l’été et la période des Fêtes. Grâce à cette initiative des SADC de l’Abitibi-Témiscamingue, plus de 6 500 produits régionaux ont été achetés, générant 72 000 $ de ventes directes. Un beau succès pour Goûtez AT et pour les producteurs agrotransformateurs de la région!

Vision-Travail célèbre ses 40 ans!

Vision-Travail Abitibi-Témiscamingue célèbre avec fierté ses 40 ans! Ses professionnels guident chaque année plus de 2 000 personnes et entreprises sur le marché du travail, que ce soit pour trouver un emploi ou recruter du personnel. Vision-Travail mise sur des pratiques RH innovantes et demeure un partenaire incontournable du développement économique régional.

40 ans d’impact : La SADC Shawinigan célèbre quatre décennies d’audace et d’innovation!

Shawinigan, le 20 mars 2025 – La SADC Shawinigan a célébré aujourd’hui son 40e anniversaire sous le thème « 40 ans d’impact – Propulser, inspirer, transformer ». Pour marquer cette étape significative, l’organisme a convié ses partenaires, clients et membres de l’écosystème entrepreneurial à un 4 à 6 festif, réunissant près de 150 invités, afin de souligner l’impact des actions et de l’engagement de ses équipes et de ses administrateurs dans le développement économique local au cours des 40 dernières années.

Depuis le début de ses opérations, en septembre 1984, la SADC Shawinigan a joué un rôle déterminant dans la croissance et la transformation du paysage entrepreneurial de la région. Avec plus de 45 M$ investis dans les entreprises locales, ayant contribué à la création et au maintien de 8 500 emplois, elle s’est imposée comme un acteur incontournable du développement économique.

Des réalisations marquantes

Au fil des ans, la SADC Shawinigan a initié et coordonné près d’une centaine de projets structurants, notamment :

✅Ses fonds d’investissements :

  • Son fonds régulier, dont la SADC a réussi à doubler la contribution de 3 M$ du gouvernement du Canada avec des actifs actuellement de 6 M$;
  • Le Fonds Stratégie Jeunesse, lancé en 1998, avec un investissement initial de 340 000 $. Ce fonds a investi plus de 5,2 M$ afin de soutenir des jeunes entrepreneur.es;
  • Les investissements des deux fonds de la SADC ont généré 214,8 M$ en investissements supplémentaires;

✅Le 29 mars 2012, le projet Découvre ta place était officiellement lancé. Depuis, cette conférence interactive, dont l’objectif est de faire découvrir aux adolescents l’économie locale et les perspectives d’emplois, a été présentée devant plus de 5 000 jeunes;

✅ La SADC a créé 11 centres d’accès communautaire à Internet et a réalisé plusieurs projets en littératie numérique depuis la fin des années 90, dont le projet Accès TI Aînés qui leur permet désormais d’utiliser les technologies en toute confiance;

✅ La mise en place du Service d’accueil des nouveaux arrivants en 2005 qui est maintenant un organisme d’impact à Shawinigan;

✅ La mise en lumière des femmes entrepreneures à temps partiel qui a mené à la création, par la SADC, du terme « flexipreneur.e », désormais utilisé à l’échelle provinciale;

✅La SADC a accompagné plus de 500 jeunes dans leur intégration en emploi entre 1997 et 2010 dans le cadre des projets Déclic, Jeunes stagiaires Canada et Connexion Compétences;

✅La réalisation d’événements marquants comme le Savoir Affaires Mauricie, le Contact Affaires et le Congrès du Réseau des SADC et CAE;

✅Son implication dans plusieurs projets et organismes locaux et régionaux comme le Gala Distinction Desjardins, TGV Net Mauricie (dont elle a soutenu le démarrage), le Centre d’excellence en efficacité énergétique (C3E), Développement Mauricie, Économie du Savoir Mauricie, le Comité de diversification et de développement économique et la Communauté entrepreneuriale de Shawinigan dont elle est membre depuis la création.

 

Un événement sous le signe de l’inspiration

Lors du 4 à 6 festif, la SADC Shawinigan a dévoilé en exclusivité cinq capsules vidéo, mettant en lumière des témoignages de personnes ayant côtoyé la SADC au fil des ans. Ces récits authentiques illustrent l’impact durable de l’organisme dans le parcours de nombreuses entreprises, citoyens et acteurs locaux.

 

À propos de l’histoire de la SADC

La SADC est issue de la création et du regroupement de plusieurs organisations. Ses racines remontent à la création, en 1984, de SOFICAR (Société de financement à capital de risque) du Centre-de-Ia-Mauricie. À cette époque, la société disposait d’un fonds de l’ordre de 220 000 $ et s’adressait aux gens de la petite et moyenne entreprise œuvrant dans le domaine de l’industrie manufacturière.

Grâce à ces fonds provenant du gouvernement du Canada, en vertu du programme CLE (Croissance locale de l’emploi), SOFICAR était en mesure d’assurer sa participation financière à divers projets d’investissement. Un maximum de 25 000 $ par projet pouvait être consenti. Son rôle était aussi d’offrir aux PME tout le support technique nécessaire à la réalisation de projets d’investissement.

Le 31 octobre 1987, SOFICAR n’est plus une société CLE. On la désignera alors comme un « Centre d’aide aux entreprises ». Ses dirigeants projettent de présenter une demande dans le cadre du futur Programme de développement des collectivités (PDC) du ministère fédéral de l’Emploi et de l’Immigration.

À l’automne 1991, SOFICAR forme un partenariat avec le Comité d’aide au développement des collectivités (CADC) et le Fonds LaPrade St-Maurice. Ces trois organismes seront, à partir de cette date, regroupés sous un même toit. Peu de temps après, SOFICAR et le CADC se fusionnent sous la dénomination sociale SADC SOFICAR Centre-de-la-Mauricie.

La SADC Shawinigan est encore aujourd’hui sous l’égide du Programme de développement des collectivités, maintenant administré par Développement économique Canada pour les régions du Québec. Ce programme est perçu par les pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) comme l’un des meilleurs au monde.

 

Une mission tournée vers l’avenir

Si ces 40 dernières années ont été synonymes de croissance et d’innovation, l’avenir s’annonce tout aussi prometteur. La SADC Shawinigan réaffirme ainsi son engagement à propulser, inspirer et transformer l’économie locale, en continuant d’accompagner les entrepreneur.es et la collectivité vers un développement durable et prospère.

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RENSEIGNEMENTS
Sylvie Lavergne, directrice du développement et des communications
Bureau : 819 537-5107 poste 215 | Cellulaire : 819 247-2816
[email protected]

La Maison de l’Érable – Histoire d’une relève d’entreprise

Au mois de mars 2023, Jean-Philip Bujold fait la rencontre de M. Jeannot Leblanc, propriétaire d’une érablière bien connue sur la route 299 à Caspapédia-Saint-Jules : la Maison de l’Érable. Il était loin de se douter que quelques mois plus tard, il prendrait la relève de cette entreprise qui s’inscrit dans le paysage acéricole de la région depuis maintenant plus de 30 ans. Portrait d’une histoire de relève bien de chez nous.

L’entreprise, en bref

La Maison de l’Érable est une érablière de 14 500 entailles située dans un cadre naturel exceptionnel au pied de la rivière Cascapédia. La production, d’un total de 70 000 livres pour la saison 2023, est destinée à deux principaux marchés : d’un côté, la Fédération des Producteurs et productrices acéricoles du Québec, et de l’autre, les acheteurs directs (commerçants, acheteurs en ligne, etc.). L’entreprise accorde une place importante au marché local, notamment en réservant une partie de la production pour consommation locale, grâce à des partenariats de vente avec des restaurateurs et des commerçants de la région. Elle transforme également une partie de sa production de sirop d’érable en contenant de 50 ml, vendus aux quatre coins de l’Amérique du Nord, notamment en Ontario, en Colombie-Britannique et aux États-Unis.

Comment s’est présentée à vous cette opportunité de relève d’entreprise ? Quelle est VOTRE histoire de relève ?

Formé en mécanique et ayant occupé plusieurs emplois dans les secteurs de la construction et de la production manufacturière, Jean-Philip n’avait pas envisagé jusqu’à tout récemment de faire le saut en entrepreneuriat. Puis en 2022, son contexte professionnel évolue et l’amène à un changement de trajectoire. Il se découvre alors une nouvelle passion : celle de la production d’érable. « Je me cherchais un projet qui pouvait me satisfaire. Dans mes derniers emplois, je n’avais plus réellement de liberté. Et j’avais toujours eu le goût de réaliser mes propres projets », raconte-t-il.

Il débute alors son aventure acéricole avec une petite érablière d’environ 1000 entailles située à New Richmond. Puis, au début de l’année 2023, il cherche à acquérir une autre érablière, afin de grossir sa production. « J’avais deux ou trois saisons de faites. Je savais qu’il fallait que je grossisse si je voulais transformer plus. Il y avait une petite érablière de 700 entailles qui était à vendre tout près de la Maison de l’érable. Je l’ai achetée. Et quand je l’ai achetée, le vendeur m’a dit ¨Si jamais tu t’en cherches une autre, Jeannot Leblanc veut vendre¨. Je suis allé voir Jeannot au mois de mars 2023, on a jasé, mais c’est resté là », explique le jeune entrepreneur.

L’histoire aurait pu se terminée ainsi, mais Jean-Philip fait alors preuve d’un grand sens des opportunités. « Quand Jeannot a eu le temps de désentailler, il avait besoin de quelqu’un. Je lui ai donné un coup de pouce. Il m’a expliqué ses méthodes, ses installations. […] Ç’a cliqué. On a commencé les démarches de transfert d’entreprise au mois de juin 2023 ». Quelques mois plus tard, Jean-Philip devenait propriétaire.

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle particulièrement ?

La Maison de l’Érable se démarque particulièrement des autres érablières par sa moyenne annuelle de 4,2 livres de sirop d’érable par entaille, comparativement à une moyenne annuelle de 3,15 au Québec. Le secret ? Jean-Philip explique avec fierté que cette différence s’explique, entre autres, par les bonnes pratiques acéricoles qu’avaient mises en place l’ancien propriétaire Jeannot Leblanc : « Jeannot entaillait selon des patrons d’entaillage. Avec cette méthode, tu fais un trou l’année 1, et tu peux savoir où tu vas entailler les 40 prochaines années. Ça fait toute la différence. Les arbres guérissent plus vite, ça fait une meilleure performance, ça coule plus. […] Jeannot m’a aussi transmis l’importance de faire de la qualité. Il disait ¨Essaye pas de couper sur la qualité, parce que tes clients vont s’en apercevoir¨ Jeannot gardait seulement la qualité pour transformer ».

Jean-Philip souligne également que son érablière se démarque par la traçabilité de son produit : « Souvent, les gros transformateurs, le sirop vient de plusieurs érablières. C’est un mélange. Tandis qu’ici, je suis fier de dire que ce n’est pas un mélange, tout est fait ici. S’il n’y a plus de sirop, il n’y en a plus tout simplement ».

Quels changements avez-vous apportés à l’entreprise ? Comment souhaitez-vous faire évoluer votre entreprise dans les prochaines années ?  

Si le respect et le maintien des bonnes pratiques acéricoles léguées par son prédécesseur sont primordiales pour Jean-Philip, il souhaite maintenant développer certaines pratiques qui avaient été amorcées par les anciens propriétaires. Par exemple, l’érablière respectait déjà plusieurs exigences de la certification biologique. Jean-philip a ainsi entamé au cours de l’année un processus de pré-certification afin d’obtenir officiellement la certification biologique. « La certification permettra à l’érablière d’obtenir un meilleur prix par baril de sirop d’érable ». Le jeune entrepreneur a également agrandi le bâtiment principal afin d’y ajouter des bassins, ce qui permettra à terme d’assurer une plus grande capacité de production. Finalement, il aimerait développer davantage la mise en marché de ses produits transformés, notamment en développant l’exportation hors Québec.

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté dans votre projet de relève ?

Jean-Philip a obtenu de l’aide financière de la SADC grâce au Fonds Stratégie jeunesse, ce qui lui a permis de bénéficier d’un congé d’intérêt d’une durée de 24 mois et de compléter le financement nécessaire à l’achat de l’érablière. « Obtenir mon prêt à la SADC a été très simple », témoigne Jean-Philip.

Quels apprentissages avez-vous faits dans votre processus de relève d’entreprise ? Quels conseils aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer dans un projet de relève ?

« J’ai été trois semaines dans le bois avec Jeannot. J’ai regardé la tubulure, les équipements. […] Passer ce temps-là avec Jeannot, ça m’a permis de voir, de poser des questions, de valider quels sont les problèmes, valider ce qui ne marche pas […] Ça m’a vraiment permis de connaître Jeannot, de comprendre sa façon de penser, sa façon d’opérer. […] J’aurais pu dire ¨Je ne vais pas le voir, j’en ai assez avec ma nouvelle érablière¨. Mais j’ai appris avec le temps, de ne jamais laisser passer une opportunité. Au pire, tu vas avoir perdu une demi-journée, mais tu n’auras pas perdu une opportunité ».

Une excellente anecdote, qui témoigne merveilleusement bien de l’importance que peut faire une seule rencontre dans le succès d’un projet de relève.

À propos de Jean-Philip Bujold

Jean-Philip est propriétaire de la Maison de l’Érable, une érablière de 14 500 entailles située sur la route 299 à Cascapédia St-Jules. Il a fait en 2023 la rencontre de Jeannot Leblanc, laquelle l’a conduit à prendre la relève de l’érablière. Jean-Philip est originaire de St-Siméon de Bonaventure.

 

Une nouvelle bannière pour le Dépanneur Au Petit Castor!

Le 28 février dernier, le Dépanneur Au Petit Castor a a inauguré sa nouvelle bannière Harnois Énergies. Une cinquantaine de proches et partenaires étaient présents pour célébrer avec Dave et Véronique, copropriétaires depuis 5 ans. Ce partenariat assure la continuité des services de proximité et renforce le rayonnement du commerce de proximité à Arntfield et dans tout Rouyn-Noranda.

26 mars 2025 : Optimisation et accompagnement – Des outils de développement!

INVITATION – Séance d’information et de réseautage

Saveurs du Bas-Saint-Laurent et la SADC du Kamouraska vous invitent à une séance d’information et d’échange avec les entreprises et les acteurs du secteur bioalimentaire des MRC du KRTB : Kamouraska, Rivière-du-Loup, Témiscouata, Les Basques.
  • Date : Mercredi le 26 mars 2025
  • Heure : 13 h 30 à 16 h
  • Lieu : SADC du Kamouraska (205, av. Industrielle, local 400, La Pocatière)
  • Coût : Gratuit
Au programme :
  • Présentation de la plateforme de livraison collaborative : optimisez vos trajets et facilitez la distribution de vos produits.
  • Découverte de l’offre de service de Saveurs du Bas-Saint-Laurent : outils, campagnes et opportunités pour valoriser vos produits locaux.
  • Services d’accompagnement et de financement des SADC : financement et soutien pour votre développement.
  • Période d’échange entre participants ainsi qu’un cocktail à saveurs locales.
Une occasion unique de réseauter et de découvrir des ressources précieuses pour votre entreprise!
Inscription obligatoire avant le 21 mars – Réservez votre place dès maintenant!
https://forms.gle/5Y5vELz6pZeAbq859

AVIS DE POSTE EN CANDIDATURE

AVIS DE POSTES EN CANDIDATURE POUR LE CONSEIL D’ADMINISTRATION Prenez note que des postes seront en élection lors de la prochaine assemblée générale annuelle de la SADC Vallée-de-la-Gatineau qui aura lieu le mardi 27 mai 2025. Les personnes qui désirent déposer leur candidature devront adhérer à la mission, à la vision et aux valeurs de la SADC qui sont orientées vers les trois (3) composantes du développement durable: économique, social et environnemental. Les formulaires sont disponibles au bureau de la SADC Vallée-de-la-Gatineau situé au 100, rue Principale Sud, bureau 210, Maniwaki, Québec J9E 3L4 et les mises en candidature devront être reçues au bureau de la SADC au plus tard le jeudi 27 mars 2025 à 16h00.

OPTIMISE ACTION AGRANDIT SON ÉQUIPE!

Optimise Action accompagne les entreprises de la région dans leur efficacité opérationnelle et leur projet de croissance. Dans les 2 dernières années, Optimise Action a vécu une croissance impressionnante et a fait l’embauche de 5 spécialistes afin d’agrandir son offre de service qui inclut, entre autre, l’amélioration continue, le virage numérique, la gestion d’actif, l’efficacité énergétique et les projets environnementaux.

La Commission de dynamisation du centre-ville d’Amos se met en branle!

La Ville est fière d’annoncer la création de la Commission de dynamisation du centre-ville ainsi que l’embauche d’un chargé de projet. Il s’agit de l’aboutissement de la vaste démarche de consultation dans le milieu débutée en 2022 par le CLD Abitibi, la SADC Harricana, la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana et la Ville d’Amos. Le lancement officiel, tenu sous la forme d’un 5 à 7 à La Centrale d’Amos, a rassemblé plus d’une quarantaine de partenaires, de membres de la communauté d’affaires et de citoyen(ne)s.

La Commission aura pour mission de structurer le développement du centre-ville en collaboration avec l’ensemble des parties prenantes. Elle est composée de neuf personnes dont :

  • un élu du conseil municipal de la Ville d’Amos;
  • -le directeur général de la Ville d’Amos;
  • un représentant du CLD Abitibi;
  • un de la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana;
  • un de la SADC Harricana;
  • deux représentants d’entreprises;
  • un représentant citoyen;
  • un représentant promoteur immobilier.

Pour coordonner les activités de la Commission, monsieur Luc Valcourt a été embauché à titre de chargé de projet. Celui-ci travaillera en concertation avec les membres de la Commission pour élaborer un plan de dynamisation, des stratégies concrètes et des actions ciblées.

L’organisation Rues principales a joué un rôle important dans la première phase de ce projet en soutenant les partenaires dans la réalisation d’un portrait exhaustif du centre-ville. « Ce diagnostic a permis d’identifier les forces et les enjeux de la zone d’intervention et ensuite, a conduit à l’élaboration d’un plan d’action dans lequel des chantiers prioritaires ont été identifiés », a précisé M. Éric Laliberté, directeur général de la SADC Harricana.

« La création de cette commission est une étape clé pour le développement de notre ville. En intégrant des partenaires du milieu provenant de différents secteurs d’activités ainsi que des acteurs du milieu des affaires, de l’immobilier, des citoyens, etc., nous rassemblons des idées qui serviront de moteur pour notre plan d’action de dynamisation. Ce modèle participatif nous permet de bénéficier des contributions de chacun, afin que le centre-ville reflète véritablement les valeurs et les aspirations de toute notre communauté », a déclaré M. Sébastien D’Astous, maire d’Amos.

Un projet mobilisateur et rassembleur

Luc Valcourt, récemment nommé chargé de projet pour la Commission, a souligné l’importance de cette démarche de concertation : « C’est un honneur de travailler pour la Ville d’Amos et d’apporter ma contribution à ce projet. Nous aimerions que les gens comprennent ce que sera la dynamisation du centre-ville, autant du côté de l’animation que du développement dans sa globalité grâce à des initiatives telles que le verdissement, l’intégration de l’art public, l’organisation d’activités, etc. Je souhaite aussi que les citoyens se sentent interpellés; tous ceux et celles qui utilisent le centre-ville ont leur mot à dire. Tout le monde a une opinion et des aspirations pour un centre-ville vivant, dynamique et à leur image. »

Avec ce projet de dynamisation, la Ville d’Amos s’engage à travailler main dans la main avec les citoyens, les acteurs économiques et les partenaires locaux afin de créer un centre-ville à l’image de la communauté. La Commission de dynamisation du centre-ville devient ainsi le symbole d’une vision commune où chacun peut contribuer et s’investir pour construire un avenir vibrant et dynamique pour le coeur de notre ville.

L’une des 15 personnes les plus innovantes au monde en tournée en Abitibi

À l’initiative de la SADC de la Vallée-de-l’Or, de la SADC de Rouyn-Noranda, de la SADC Barraute-Senneterre-Quévillon et de la nôtre, Dominic Gagnon a fait une tournée en région et rencontré plus de 200 entrepreneurs et plus de 100 étudiants des différents campus du cégep et de l’UQAT.

Cofondateur de Connect&GO, blogueur pour Les Affaires, et reconnu comme l’une des 15 personnes les plus innovantes au monde par le magazine américain BizBash, Dominic Gagnon a partagé son expertise sur des thèmes variés :

Innovation – Intelligence artificielle – Culture de l’échec – Neurodiversité et santé mentale – Parcours atypique entrepreneuriale.

Généreux, pertinent et stimulant, il a su capter l’attention, déstabiliser et allumer les esprits de plus de 50 participants, jeudi soir dernier à Amos.
Merci au Centre local de développement (CLD) Abitibi, à la Chambre de commerce et d’industrie d’Amos-Harricana et à Espace d’accélération et de croissance de l’Abitibi-Témiscamingue qui ont collaboré à la réussite de cette soirée.

 

Le Kamouraska donne le coup d’envoi de la 27e édition du Défi OSEntreprendre

Saint-Pascal, le 4 février 2025 – La MRC de Kamouraska et la SADC du Kamouraska annoncent le coup d’envoi de la 27e édition du Défi OSEntreprendre pour le territoire de la MRC de Kamouraska. Les personnes intéressées ont jusqu’au 11 mars 2025, 16 h pour faire parvenir leur candidature. 

Le compte à rebours est donc officiellement commencé! Tous les critères d’admissibilité, ainsi que la liste des catégories et des prix spéciaux, sont accessibles en ligne sur osentreprendre.quebec. Une activité de remise de prix couronnera les lauréats à l’échelon local le 1er avril prochain à l’occasion d’un 5 à 7.   

Ce grand mouvement québécois fait rayonner : 

  • de nouveaux entrepreneurs avec son volet Création d’entreprise;  
  • des entrepreneurs au cheminement inspirant avec son volet Réussite inc.;  
  • des modèles d’approvisionnement d’ici avec son volet Faire affaire ensemble. 

« Nous sommes fiers de déployer le Défi OSEntreprendre car c’est une formidable source de maillage pour notre communauté d’affaires. Il permet le rayonnement des entrepreneurs d’ici et inspire une nouvelle génération à oser se lancer », affirment d’une voix commune le président de la SADC du Kamouraska, M. Olivier Lambert et M. Sylvain Roy, préfet de la MRC de Kamouraska. 

Pour information, communiquez avec Marcel Leclerc, responsable local du Défi OSEntreprendre pour le territoire de la MRC de Kamouraska (418 856-3482 poste 104 | [email protected]). 

À propos du Défi OSEntreprendre 

Le Défi OSEntreprendre est un grand mouvement québécois qui fait rayonner les initiatives entrepreneuriales de milliers de personnes annuellement : des élèves, appuyés par leurs intervenants scolaires, des étudiants ainsi que des entrepreneurs. Il se déploie et s’enracine aux échelons local, régional et national grâce à plus de 300 responsables qui se mobilisent dans les 17 régions du Québec.   

 – 30 – 

Isabelle Chouinard, conseillère en développement économique et communication : 418 856-3482 poste 102 | [email protected]

Trois nouveaux fonds pour soutenir les PME du Bas-Saint-Laurent : un pas de plus vers un avenir vert, numérique et prospère

La Pocatière, le 28 janvier 2025 –  Les Sociétés d’aide au développement des collectivités (SADC) du Bas-Saint-Laurent annoncent aujourd’hui le lancement de trois nouveaux fonds destinés à propulser les entreprises du territoire. Des solutions financières conçues pour faciliter le transfert d’entreprise, ainsi qu’à encourager les transitions écologiques et numériques au sein des PME du territoire.

Les entreprises vivent de nombreux défis entrepreneuriaux; inflation, manque de main-d’œuvre, productivité et rentabilité et ces fonds pourront supporter les entrepreneurs·es à solutionner ces divers défis. Les entrepreneurs.es peuvent ainsi accéder à des prêts allant jusqu’à 50 000 $, et ce, à des conditions avantageuses. En effet, ces prêts incluent un congé d’intérêt de deux ans ainsi qu’un moratoire sur le capital pour les trois premiers mois.

« Ces nouveaux fonds témoignent de notre engagement à répondre aux besoins des entrepreneurs.es de notre région. En travaillant main dans la main avec eux, nous pouvons bâtir un écosystème entrepreneurial dynamique, durable et résilient », déclare Philippe Massé, directeur général de la SADC des Basques et représentant des SADC du Bas-Saint-Laurent.

Trois fonds adaptés aux défis des entreprises régionales :

  1. Fonds Stratégie Transfert : Pour appuyer la relève et assurer la pérennité des entreprises locales grâce au financement de projets de transfert familial, interne ou par acquisition.
  2. Fonds Stratégie Verte : Destiné à accélérer l’adoption de pratiques écoresponsables, ce fonds peut soutenir des initiatives telles que l’intégration de systèmes solaires dans une entreprise de transformation du bois, aidant ainsi l’entreprise à réduire son empreinte carbone et à devenir plus durable dans son secteur.
  3. Fonds Stratégie Numérique : Conçu pour accompagner les entreprises dans leur transition numérique en implantant des solutions technologiques innovantes. Il pourrait, par exemple, permettre à une entreprise de distribution de produits régionaux de développer une application mobile pour améliorer son accessibilité et son service client, renforçant ainsi sa compétitivité sur le marché.

Un accompagnement personnalisé, une expertise locale

Au-delà du financement, les SADC offrent un accompagnement de proximité et un accès à un réseau d’experts et de partenaires pour maximiser le potentiel des projets entrepreneuriaux. Grâce à notre enracinement dans les collectivités, nos conseillers·ères comprennent les réalités et les défis économiques du Bas-Saint-Laurent, tel que l’adaptation aux technologies numériques ou l’attraction et la rétention des talents. En réponse, elles proposent des solutions adaptées et efficaces.

Grâce à cette approche de proximité, globale et sur mesure, l’entreprise la Mine de Ketchup a pu en bénéficier dès le début du projet. Située à Padoue dans La Mitis, l’entreprise de transformation alimentaire se spécialise dans la fabrication de ketchup, salsa et autres déclinaisons à partir de la tomate. Elle contribue au développement et au rayonnement de sa région et peut compter sur l’accompagnement et l’expertise de la SADC pour relever les défis d’un parcours entrepreneurial.

À propos des SADC du Bas-Saint-Laurent

Les huit SADC du Bas-Saint-Laurent font partie du Réseau des SADC et CAE qui englobe 67 SADC et CAE (Centre d’aide aux entreprises) réparties à travers l’ensemble du Québec. Depuis 40 ans, les SADC du Bas-Saint-Laurent livrent une offre de service complète, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entreprises. Les SADC du Bas-Saint-Laurent comptent plus de 110 professionnels et bénévoles qui contribuent à la stabilité et à la compétitivité des entreprises, favorisent la création d’emplois et soutiennent la rétention des populations au sein de leur territoire. Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC du Bas-Saint-Laurent.

*Valider les conditions d’admissibilité et modalités en vigueur auprès de la SADC.

*Les modalités peuvent varier légèrement d’une SADC à l’autre.

Pour en savoir plus sur ces nouveaux fonds et les modalités d’accès, visitez https://bit.ly/4g23wnq

Ensemble, transformons vos projets en succès durables!

– 30 –

Philippe Massé, directeur général de la SADC des Basques et représentant des SADC du Bas-Saint-Laurent

(418) 851-3172 poste : 207,  [email protected]

Trois nouveaux fonds pour soutenir les PME du Bas-Saint-Laurent : un pas de plus vers un avenir vert, numérique et prospère

Rivière-du-Loup, 28 janvier 2025 –  Les Sociétés d’aide au développement des collectivités (SADC) du Bas-Saint-Laurent annoncent aujourd’hui le lancement de trois nouveaux fonds destinés à propulser les entreprises du territoire. Des solutions financières conçues pour faciliter le transfert d’entreprise, ainsi qu’à encourager les transitions écologiques et numériques au sein des PME du territoire.  

Les entreprises vivent de nombreux défis entrepreneuriaux; inflation, manque de main-d’oeuvre, productivité et rentabilité et ces fonds pourront supporter les entrepreneurs.es à solutionner ces divers défis. Les entrepreneurs.es peuvent ainsi accéder à des prêts allant jusqu’à 50 000 $, et ce, à des conditions avantageuses. En effet, ces prêts incluent un congé d’intérêt de deux ans ainsi qu’un moratoire sur le capital pour les trois premiers mois.  

« Ces nouveaux fonds témoignent de notre engagement à répondre aux besoins des entrepreneurs.es de notre région. En travaillant main dans la main avec eux, nous pouvons bâtir un écosystème entrepreneurial dynamique, durable et résilient », déclare Philippe Massé, directeur général de la SADC des Basques et représentant des SADC du Bas-Saint-Laurent. 

Trois fonds adaptés aux défis des entreprises régionales : 

  1. Fonds Stratégie Transfert : Pour appuyer la relève et assurer la pérennité des entreprises locales grâce au financement de projets de transfert familial, interne ou par acquisition. 
  1. Fonds Stratégie VerteDestiné à accélérer l’adoption de pratiques écoresponsables, ce fonds peut soutenir des initiatives telles que l’intégration de systèmes solaires dans une entreprise de transformation du bois, aidant ainsi l’entreprise à réduire son empreinte carbone et à devenir plus durable dans son secteur. 
  1. Fonds Stratégie NumériqueConçu pour accompagner les entreprises dans leur transition numérique en implantant des solutions technologiques innovantes. Il pourrait, par exemple, permettre à une entreprise de distribution de produits régionaux de développer une application mobile pour améliorer son accessibilité et son service client, renforçant ainsi sa compétitivité sur le marché. 

Un accompagnement personnalisé, une expertise locale 

Au-delà du financement, les SADC offrent un accompagnement de proximité et un accès à un réseau d’experts et de partenaires pour maximiser le potentiel des projets entrepreneuriaux. Grâce à notre enracinement dans les collectivités, nos conseillers.ères comprennent les réalités et les défis économiques du Bas-Saint-Laurent, tel que l’adaptation aux technologies numériques ou l’attraction et la rétention des talents. En réponse, elles proposent des solutions adaptées et efficaces. 

Grâce à cette approche de proximité, globale et sur mesure, l’entreprise la Mine de ketchup a pu en bénéficier dès le début du projet. Située à Padoue dans La Mitis, l’entreprise de transformation alimentaire se spécialise dans la fabrication de ketchup, salsa et autres déclinaisons à partir de la tomate. Elle contribue au développement et au rayonnement de sa région et peut compter sur l’accompagnement et l’expertise de la SADC pour relever les défis d’un parcours entrepreneurial. 

À propos des SADC du Bas-Saint-Laurent 

Les huit SADC du Bas-Saint-Laurent font partie du Réseau des SADC et CAE qui englobe 67 SADC et CAE (Centre d’aide aux entreprises) réparties à travers l’ensemble du Québec. Depuis 40 ans, les SADC du Bas-Saint-Laurent livrent une offre de service complète, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entreprises. Les SADC du Bas-Saint-Laurent comptent plus de 110 professionnels et bénévoles qui contribuent à la stabilité et à la compétitivité des entreprises, favorisent la création d’emplois et soutiennent la rétention des populations au sein de leur territoire. Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC du Bas-Saint-Laurent. 

*Valider les conditions d’admissibilité et modalités en vigueur auprès de la SADC.  

*Les modalités peuvent varier légèrement d’une SADC à l’autre. 

Pour en savoir plus sur ces nouveaux fonds et les modalités d’accès, visitez https://bit.ly/4g23wnq  

Ensemble, transformons vos projets en succès durables ! 

– 30 – 

Philippe Massé, directeur général SADC des Basques et représentant des SADC du Bas-Saint-Laurent 

(418) 851-3172 poste : 207 

[email protected] 

 

 

Ouverture de Bagels Le Trou à Rouyn-Noranda

🎥 C’est le 16 janvier dernier qu’a eu lieu l’ouverture de Bagels le trou sur la rue Gamble ouest à Rouyn-Noranda. Cette nouvelle offre de bagels de type montréalais frais du jour et d’une variété de sandwichs a nécessité des investissements de près de 200 000$ et a permis la création d’une dizaine de nouveaux emplois.

Bourse jeune entrepreneur·e : La Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet et ses partenaires dévoilent les finalistes 2025!

La Pocatière, le jeudi 16 janvier 2025 – La Chambre de commerce Kamouraska L’Islet (CCKL), en collaboration avec le Centre d’aide aux entreprises (CAE) Montmagny-L’Islet et la Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska, est fière d’annoncer les six finalistes de la toute première Bourse jeune entrepreneur·e.

Cette initiative créée par la CCKL au début de 2024 vise à soutenir et encourager les jeunes entrepreneur·es de la MRC de L’Islet et de la MRC de Kamouraska à demeurer en affaires en reconnaissant leur rôle essentiel dans le dynamisme économique de nos communautés.

« Nous sommes fiers d’annoncer les finalistes de la Bourse jeune entrepreneur·e. Ces personnes jouent un rôle crucial dans nos communautés économiques. Leur dynamisme et leur innovation contribuent à la vitalité de nos milieux, favorisant le développement local et la création d’emplois. Ils participent également à contrer l’exode des jeunes vers les centres urbains et encouragent le retour en région », de mentionner fièrement les partenaires.

Finalistes de la MRC de L’Islet :

  • Nicolas Coulombe-Côté, Les Piments de Nic, L’Islet
  • Michael Dubé, Distribution MBD INC., Sainte-Perpétue
  • Gabriel Tremblay, Capitaine T, Saint-Jean-Port-Joli

Finalistes de la MRC de Kamouraska :

  • Émile Alain, Le Blizzaroïde inc., Saint-Pascal
  • Andréanne Lizotte, Boutique C.A.R.A., La Pocatière
  • Stéphanie Pelletier, Resto-Pub le Saint-Pascal, Saint-Pascal

Les deux lauréat·es seront dévoilé·es lors de la Soirée Distinction, qui se tiendra le samedi 25 janvier 2025 au Centre Bombardier de La Pocatière.

Les billets pour cet événement sont disponibles à l’adresse suivante : https://cckl.org/activites/soiree-distinction-2025/

Encourager l’esprit d’initiative chez les jeunes est essentiel pour assurer la croissance et la compétitivité de nos régions.

– 30 –

Pour informations et entrevues :

Nancy Dubé, directrice générale, Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet, 418 856-6227, [email protected].

Loutres d’hiver – Histoire d’une relève d’entreprise

C’est en 2022 que Caroline Hardy entend parler pour la première fois que Serge Boulanger, propriétaire de l’entreprise la Ruelle Fourrure à Saint-Siméon-de-Bonaventure, recherche une relève prête à se consacrer à un savoir-faire ancestral : la confection de vêtements et d’accessoires faits de fourrure. Celle qui est déjà copropriétaire des Serres Cascabella situées à Cascapédia-Saint-Jules décide alors avec sa collègue et amie Édith Dubuc de saisir l’opportunité et de se lancer à fond dans ce projet de relève. Rencontre avec cette femme entrepreneure passionnée qui s’est découvert avec la fourrure un mode de vie en accord avec ses valeurs humaine, écoresponsable et créative.

 

L’entreprise, en bref

Les Loutres d’hiver créent une grande diversité d’objets à partir de la fourrure récupérée. Parmi les produits offerts en boutique, on retrouve notamment des manteaux, des mitaines, des foulards, des chauffe-mains, des oursons, des coussins et autres accessoires de mode. L’entreprise offre également un service de transformation de manteaux de fourrure qui permet de leur redonner une deuxième vie. « On reçoit beaucoup de manteaux en don ou en échange. Quand les gens viennent transformer eux-mêmes, c’est encore plus le fun parce que ça leur fait un souvenir. Soit on transforme leur manteau en veste ou en coussin ou en ourson », explique Caroline.

 

Comment s’est présentée à vous cette opportunité de relève d’entreprise ? Quelle est VOTRE histoire de relève ?

Avant d’être une histoire de relève, l’histoire de Caroline est d’abord une histoire d’amitié qui s’est développée avec Édith Dubuc, avec qui elle a d’abord travaillé dans son entreprise. « C’est un projet qui est parti d’une idée dans les plates-bandes! », se remémore avec le sourire Caroline.

C’est lors d’une visite à l’atelier la Ruelle Fourrure qu’Édith découvre pour la première fois ce métier dont elle n’avait jamais entendu parler. Serge lui propose alors de l’initier à la fourrure en échange d’un coup de main à l’atelier, ce qu’Édith accepte. Après quelque temps, bien au fait que Serge est à la recherche d’une relève, Édith commence à considérer l’idée de reprendre l’entreprise. Cependant, elle recherche quelqu’un d’expérience en entrepreneuriat afin de se lancer officiellement. Et comme Caroline s’était déjà lancée dans un projet de repreneuriat il y a plus de 15 ans, l’idée de faire relève ensemble prend forme : « Édith, elle aimait vraiment faire ça, mais elle me disait ¨Je ne me sens pas assez les reins solides pour être toute seule en entreprise. ¨ Moi j’ai dit ¨Je peux faire ça, je l’ai déjà fait! ¨ (rires). On est ensuite venues rencontrer Serge », se remémore-t-elle.

À l’automne 2022, Caroline et Édith officialisent l’achat de l’entreprise. Débute alors un impressionnant processus de transfert de connaissances de quatre mois, où Caroline et Édith tentent d’absorber le plus de savoirs possibles avec Serge. Le défi est de taille pour Caroline qui n’a jamais travaillé la fourrure : « J’avais une machine à coudre chez nous, mais surtout pour des projets utilitaires. Je n’avais jamais pensé que je ferais ça. J’ai passé beaucoup de temps devant les machines à apprendre ». C’est ainsi que Serge travaille à temps plein avec elles d’octobre à décembre, autant pour transmettre ses connaissances que pour les aider dans leur production.

À partir de 2023, Caroline et Édith commencent à prendre leur envol seules. Toutefois, leur projet de relève reste marqué par la relation qu’elles ont développée avec Serge, qui agit en tant que véritable mentor dans leur projet. « Parce qu’il n’est pas loin, il peut venir nous aider quand on a des questions. Et ça lui fait toujours plaisir. […] Il est à la retraite, mais il est toujours à l’affût et il vient nous dire ¨J’ai vu telle entreprise, vous pourriez faire ça¨. C’est le fun, on sent qu’il a à cœur qu’on réussisse ».

 

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle particulièrement ?

Comment se démarque-t-on lorsque l’on reprend une entreprise d’un artisan ayant cumulé des années d’expérience ? Rapidement, Caroline et sa partenaire ont saisi qu’elles pouvaient se démarquer par le fait qu’elles forment une équipe, où l’une est spécialisée avec le travail de la fourrure et l’autre avec la finition. Pendant qu’Édith travaille la matière première, Caroline réalise la finition, ce qui leur permet de réaliser tout le processus de création dans leurs locaux. Leur entreprise se démarque également des autres artisans par leur volonté de confectionner des créations utilitaires. « Quand on regarde nos mitaines, on les a faites amovibles, avec fourrure intérieure, avec fourrure extérieure, que tu peux mettre dans un sens et l’autre, et ça te fait 3 paires de mitaines en une. Pourquoi faire simple ? », raconte-t-elle en riant.

 

Quels changements avez-vous apportés à l’entreprise ? Comment souhaitez-vous la faire évoluer dans les prochaines années ?  

Bien que les premiers mois aient surtout été synonymes d’apprentissage et que peu de changements ont été apportés à l’entreprise, Caroline et Édith ont rapidement voulu transmettre leurs valeurs à leur nouvelle entreprise. C’est ainsi qu’elles ont choisi d’adopter un nouveau nom, même si la Ruelle Fourrure était bien connue dans son milieu. « On voulait trouver un nom qui nous ressemble, et les Loutres, ça nous ressemble vraiment. C’est un animal qui est joueur, qui aime s’amuser, qui est créatif. On trouvait que ça nous représentait bien », explique Caroline. Elles choisissent également d’ajouter la mention Fourrure récupérée, afin de mettre de l’avant leur volonté de faire de la fourrure récupérée leur matière première pour leurs créations. Pour les prochaines années, Caroline souhaite avant tout conserver la saisonnalité et la taille à échelle humaine de l’entreprise, qui font la force de leur projet. Elle souhaite cependant continuer de mettre à profit sa créativité dans la confection de vêtements utilitaires. « On a développé notre patron pour des vestes sans manches réversibles. […] Peut-être développer une veste sans manche pour homme », laisse-t-elle entrevoir.

 

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté dans votre projet de relève ?

Caroline connaissait déjà la SADC par le biais de sa première entreprise. Aller chercher le soutien de la SADC s’est donc fait naturellement. Grâce à ses démarches, Caroline a obtenu de l’aide financière de la SADC via le Fonds Stratégie jeunesse, ce qui lui a permis de bénéficier d’un congé d’intérêt d’une durée de 24 mois.

 

Quels conseils aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer dans un projet de relève ?

Si entreprendre est souvent synonyme de Faire vite et bien, les projets de relève nécessitent généralement plus de temps afin de permettre le transfert de connaissances. C’est d’ailleurs le conseil que souhaite donner Caroline, qui résume parfaitement la réalité des repreneurs : « Par enthousiasme, on veut souvent aller vite au début. Un constat que j’ai fait en arrivant, c’est que ça ne sera pas possible d’aller vite. À la machine c’était évident : j’essayais d’aller plus vite que la machine et ce n’était pas possible. Si je m’inspire de ce qu’on a vécu, mon conseil est de Laisser au temps, le temps ».

 

À propos de Caroline Hardy

Originaire de Boucherville, Caroline s’est installée en Gaspésie avec son conjoint en 2007, année où ils ont fait l’acquisition des Serres Cascabella à Cascapédia–Saint-Jules. En 2022, elle a décidé de mettre à profit ses qualités entrepreneuriales et artistiques en faisant l’acquisition de l’entreprise la Ruelle Fourrure, qui a évolué avec le temps pour devenir Loutres d’hiver – fourrure récupérée.

Dîner-conférence – « La meilleure façon de prédire le futur c’est de l’inventer! »

La SADC de Rouyn-Noranda vous invite à assister au dîner-conférence de Dominic Gagnon, intitulée La meilleure manière de prédire le futur, c’est de l’inventer!

Cette conférence témoignage présentera la trajectoire entrepreneuriale de Dominic Gagnon, qui a plongé dans le monde des affaires très tôt dans sa vie pour transformer son déficit d’attention en générateur d’idées à succès. Ce parcours est façonné par le développement de sa première agence web au Saguenay à 14 ans, l’édification de son agence mobile Piranha jusqu’à sa vente, la création de Connect&GO (société montréalaise spécialisée dans le domaine des bracelets intelligents et de la technologie RFID) et l’écriture de son premier livre. Dominic partagera à coeur ouvert ses succès comme ses échecs, mais surtout ses apprentissages avec vous. Reconnu comme l’une des 15 personnes les plus innovantes au monde auprès des géants comme Disney et Target par le très réputé magazine américain BizBash, Dominic Gagnon parlera entre autres de persévérance, de l’importance d’accepter l’échec et la nécessité d’instaurer un climat d’innovation dans les organisations.

En plus d’être l’auteur de 4 « best-sellers », mentor et investisseur dans des « start-ups », membre du conseil d’administration et PDG en résidence chez Zù (une organisation à but non lucratif dédiée à soutenir les talents créatifs dans le domaine du divertissement fondée par Guy Laliberté), il agit aussi à titre de blogueur pour Les Affaires.

La conférence est offerte au coût de 25 $ plus tx. Les places sont limitées!!

Voici le lien pour vous inscrire : https://forms.office.com/r/EWm71yBK2t?origin=lprLink

BNE du 13 janvier 2025 – Le Balthazar Café ouvre ses portes à Rouyn-Noranda

Depuis octobre, le Balthazar Café est une nouvelle option bistro à Rouyn-Noranda pour les diners, mais aussi les repas en entreprise. Suite à la fermeture du St-Honoré, c’est grâce à un investissement de M. Paul Coutu, qu’une dizaine d’emplois ont été conservés et que le bâtiment historique continuera à faire vivre à ses clients des dîners de qualités dans une ambiance chaleureuse et moderne.

BNE 16 décembre 2024 – Inauguration de la nouvelle Expérience thermale boréale de son Jardin Spa du Noranda Hôtel & Spa

Le 9 décembre dernier, le Noranda Hôtel & Spa a inauguré la nouvelle Expérience thermale boréale de son Jardin Spa. Inspiré de la forêt boréale, ce projet de 5,5 M$, réalisé en collaboration avec le ministère du Tourisme via le PARIT, devrait attirer 20 000 visiteurs annuellement, renforçant l’attractivité touristique et économique de Rouyn-Noranda et de toute la région, en plus de créer 12 nouveaux emplois

11 février 2025 : Café-rencontre de Solidarité rurale du Kamouraska

Invitation au prochain CAFÉ-RENCONTRE

  • Mardi 11 février 2025, de 9 h à 12 h
  • Salle du Club des 50 ans et + de Sainte-Hélène-de-Kamouraska
    (529-B, rue de l’Église Nord)

Portrait du Kamouraska : la situation et l’évolution de notre territoire

  • La démographie, l’immigration et l’occupation du territoire;
  • La structure et la vitalité économique, le marché du travail, le coût de la vie;
  • La santé globale, la scolarité, l’habitation;
  • Le développement social et l’organisation communautaire;
  • Le milieu municipal et les grands chantiers;
  • Les impacts du climat, et plus encore!

Dans le cadre du renouvellement de sa planification stratégique, la SADC du Kamouraska a réalisé un portrait socio-économique du territoire. Cet exercice de cueillette et d’analyse de données a permis de dresser un état de situation riche en informations qu’elle souhaite maintenant partager.

Avec la collaboration de la MRC de Kamouraska et de la Corporation de développement communautaire (CDC) du Kamouraska, la SADC a pu bonifier le contenu et est en mesure de vous présenter un aperçu encore plus complet de la situation et de l’évolution de notre région.

Beaucoup d’informations sur notre Kamouraska seront partagées et discutées sur différentes thématiques, lors de ce rendez-vous où les citoyen·nes, acteurs socio-économiques, élu·es et entrepreneur·es sont les bienvenu·es.

Émilie Dupont, conseillère en économie circulaire à la SADC du Kamouraska, sera la principale conférencière, appuyée par Gabriel Giroux, agent d’accompagnement de projets en développement social à la MRC de Kamouraska.

La présentation du portrait socio-économique sera suivie d’une période de discussion en sous-groupes et d’un moment d’échange en grand groupe, afin de vous permettre d’exprimer de façon constructive vos questions, réactions, constats, propositions et préoccupations.

Ne manquez pas cette activité conviviale et enrichissante, propice aux rencontres et au réseautage!

INSCRIPTION gratuite, mais obligatoire en cliquant ICI, au plus tard le vendredi 7 février 2025.

INFORMATION : 418-856-3482, poste 102 | [email protected]

Une nouvelle bourse pour les jeunes entrepreneur·es de Kamouraska-L’Islet

La Pocatière, mardi 10 décembre 2025 – La Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet (CCKL) et les membres de son conseil d’administration sont très fiers d’annoncer que le Centre d’aide aux entreprises (CAE) Montmagny-L’Islet et la Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska sont partenaires pour offrir la Bourse jeune entrepreneur·e, un projet ambitieux créé par la Chambre de commerce Kamourska-L’Islet et visant à soutenir les jeunes entreprises locales et à encourager leur pérennité. La remise des bourses se fera le samedi 25 janvier 2025 à La Pocatière lors de la Soirée Distinction organisée par la CCKL dans le cadre de la 26e présentation de la dégustation vins & fromages au Centre Bombardier.

Créée au début de l’année 2024 par la CCKL, cette bourse est le fruit d’un effort collectif de financement, notamment grâce aux généreux dons des membres de la CCKL recueillis lors du Gala Reconnaissance et au tournoi de golf annuel. Au total, un montant de 3 000 $ sera attribué en remettant deux bourses : 1 500 $ à un·e jeune entrepreneur·e méritant·e dans la MRC de L’Islet et 1 500 $ un·e jeune entrepreneur·e méritant·e dans la MRC de Kamouraska.

Les candidat·es à cette bourse doivent remplir le formulaire de mise en candidature et être en affaires depuis plus de deux ans, mais moins de cinq ans. Le comité de sélection se basera sur des éléments clés tels que la qualité de leurs produits ou services, leur dynamisme, leur proactivité et leur capacité de croissance. Ces critères reflètent les valeurs d’innovation et de durabilité chères aux deux organismes partenaires. Il sera possible de déposer sa candidature à titre de jeune entrepreneur·e ou de proposer une candidature qui se démarque jusqu’au 7 janvier 2025 à 23 h 59. Le formulaire de mise en candidature se trouve ici : https://forms.office.com/r/FGUkG8mpG5 et sur le site web de la CCKL.

« Les récipiendaires de la Bourse jeune entrepreneur·e seront une source d’inspiration et des exemples de persévérance pour les entrepreneurs à venir. De plus, cette bourse leur offrira une grande visibilité, renforçant ainsi leur crédibilité et leur présence dans le milieu des affaires. À cela s’ajoute une belle opportunité, car la CCKL est heureuse d’offrir à chaque récipiendaire d’une adhésion sans frais d’un an à la Chambre de commerce. Nous sommes fiers de contribuer à leur succès et à leur développement » nous souligne, Nancy Dubé, directrice générale de la CCKL.

« La collaboration entre le CAE Montmagny-L’Islet et la SADC du Kamouraska pour la Bourse jeune entrepreneur·e s’inscrit dans nos lignes d’affaires, tant par le financement via le Fonds Stratégie jeunesse que par l’accompagnement, qui est essentiel lors du démarrage d’une entreprise. Nous croyons au potentiel des jeunes promoteur·trices et à leur impact positif sur la vitalité de nos communautés. Ces initiatives communes reflètent notre vision d’un soutien constant à l’entrepreneuriat, une pierre angulaire du développement économique régional », ont conclu conjointement Mireille Thibault, directrice générale du CAE Montmagny-L’Islet et Anik Briand, directrice générale de la SADC du Kamouraska.

Pour réserver vos places pour cette magnifique soirée, cliquez ici https://forms.gle/c747eEVyK7drJcXc9 ou encore, rendez-vous sur le site web de la CCKL au https://cckl.org/activites/soiree-distinction-2025/

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Pour informations et entrevues :

Nancy Dubé, directrice générale, Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet, 418 856-6227, [email protected].

Un nouveau local pour Les Saveurs folles

L’épicerie fine Les Saveurs Folles a fait l’inauguration de son tout nouveau local, maintenant situé au 57, av. Principale à Rouyn-Noranda, le 27 juin dernier. La propriétaire, Katy Savard, a investi dans l’amélioration du commerce et de son image afin d’y apporter une touche d’élégance et de fonctionnalité pour rendre le travail fonctionnel et agréable. Les Saveurs Folles, un endroit pour vivre une expérience de magasinage unique en son genre.

Bonne nouvelle économique – Moto Sport du Cuivre achète Impérium

Moto Sport du Cuivre annonce l’achat d’Imperium Rouyn-Noranda. D’importantes rénovations auront lieu cet automne
afin de pouvoir accueillir toutes les grandes marques comme Bombardier, Yamaha, Cfmoto, Honda et Surron sous un même toit.

Bonne nouvelle économique – Écolovrac Rouyn-Noranda

Le 1er septembre dernier, Jessica Poirier et Geneviève Latour ont acquis le commerce Écolovrac Rouyn-Noranda. L’entreprise qui offre une panoplie de produits alimentaires et non alimentaires en vrac est maintenant située au 599, avenue Murdoch. Ce service a pour objectif de diminuer l’impact environnemental du suremballage. La relève et le déménagement de l’entreprise a permis de maintenir 2 emplois.