Trois nouveaux fonds pour soutenir les PME du Bas-Saint-Laurent : un pas de plus vers un avenir vert, numérique et prospère

La Pocatière, le 28 janvier 2025 –  Les Sociétés d’aide au développement des collectivités (SADC) du Bas-Saint-Laurent annoncent aujourd’hui le lancement de trois nouveaux fonds destinés à propulser les entreprises du territoire. Des solutions financières conçues pour faciliter le transfert d’entreprise, ainsi qu’à encourager les transitions écologiques et numériques au sein des PME du territoire.

Les entreprises vivent de nombreux défis entrepreneuriaux; inflation, manque de main-d’œuvre, productivité et rentabilité et ces fonds pourront supporter les entrepreneurs·es à solutionner ces divers défis. Les entrepreneurs.es peuvent ainsi accéder à des prêts allant jusqu’à 50 000 $, et ce, à des conditions avantageuses. En effet, ces prêts incluent un congé d’intérêt de deux ans ainsi qu’un moratoire sur le capital pour les trois premiers mois.

« Ces nouveaux fonds témoignent de notre engagement à répondre aux besoins des entrepreneurs.es de notre région. En travaillant main dans la main avec eux, nous pouvons bâtir un écosystème entrepreneurial dynamique, durable et résilient », déclare Philippe Massé, directeur général de la SADC des Basques et représentant des SADC du Bas-Saint-Laurent.

Trois fonds adaptés aux défis des entreprises régionales :

  1. Fonds Stratégie Transfert : Pour appuyer la relève et assurer la pérennité des entreprises locales grâce au financement de projets de transfert familial, interne ou par acquisition.
  2. Fonds Stratégie Verte : Destiné à accélérer l’adoption de pratiques écoresponsables, ce fonds peut soutenir des initiatives telles que l’intégration de systèmes solaires dans une entreprise de transformation du bois, aidant ainsi l’entreprise à réduire son empreinte carbone et à devenir plus durable dans son secteur.
  3. Fonds Stratégie Numérique : Conçu pour accompagner les entreprises dans leur transition numérique en implantant des solutions technologiques innovantes. Il pourrait, par exemple, permettre à une entreprise de distribution de produits régionaux de développer une application mobile pour améliorer son accessibilité et son service client, renforçant ainsi sa compétitivité sur le marché.

Un accompagnement personnalisé, une expertise locale

Au-delà du financement, les SADC offrent un accompagnement de proximité et un accès à un réseau d’experts et de partenaires pour maximiser le potentiel des projets entrepreneuriaux. Grâce à notre enracinement dans les collectivités, nos conseillers·ères comprennent les réalités et les défis économiques du Bas-Saint-Laurent, tel que l’adaptation aux technologies numériques ou l’attraction et la rétention des talents. En réponse, elles proposent des solutions adaptées et efficaces.

Grâce à cette approche de proximité, globale et sur mesure, l’entreprise la Mine de Ketchup a pu en bénéficier dès le début du projet. Située à Padoue dans La Mitis, l’entreprise de transformation alimentaire se spécialise dans la fabrication de ketchup, salsa et autres déclinaisons à partir de la tomate. Elle contribue au développement et au rayonnement de sa région et peut compter sur l’accompagnement et l’expertise de la SADC pour relever les défis d’un parcours entrepreneurial.

À propos des SADC du Bas-Saint-Laurent

Les huit SADC du Bas-Saint-Laurent font partie du Réseau des SADC et CAE qui englobe 67 SADC et CAE (Centre d’aide aux entreprises) réparties à travers l’ensemble du Québec. Depuis 40 ans, les SADC du Bas-Saint-Laurent livrent une offre de service complète, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entreprises. Les SADC du Bas-Saint-Laurent comptent plus de 110 professionnels et bénévoles qui contribuent à la stabilité et à la compétitivité des entreprises, favorisent la création d’emplois et soutiennent la rétention des populations au sein de leur territoire. Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC du Bas-Saint-Laurent.

*Valider les conditions d’admissibilité et modalités en vigueur auprès de la SADC.

*Les modalités peuvent varier légèrement d’une SADC à l’autre.

Pour en savoir plus sur ces nouveaux fonds et les modalités d’accès, visitez https://bit.ly/4g23wnq

Ensemble, transformons vos projets en succès durables!

– 30 –

Philippe Massé, directeur général de la SADC des Basques et représentant des SADC du Bas-Saint-Laurent

(418) 851-3172 poste : 207,  pmasse@sadcbasques.qc.ca

Trois nouveaux fonds pour soutenir les PME du Bas-Saint-Laurent : un pas de plus vers un avenir vert, numérique et prospère

Rivière-du-Loup, 28 janvier 2025 –  Les Sociétés d’aide au développement des collectivités (SADC) du Bas-Saint-Laurent annoncent aujourd’hui le lancement de trois nouveaux fonds destinés à propulser les entreprises du territoire. Des solutions financières conçues pour faciliter le transfert d’entreprise, ainsi qu’à encourager les transitions écologiques et numériques au sein des PME du territoire.  

Les entreprises vivent de nombreux défis entrepreneuriaux; inflation, manque de main-d’oeuvre, productivité et rentabilité et ces fonds pourront supporter les entrepreneurs.es à solutionner ces divers défis. Les entrepreneurs.es peuvent ainsi accéder à des prêts allant jusqu’à 50 000 $, et ce, à des conditions avantageuses. En effet, ces prêts incluent un congé d’intérêt de deux ans ainsi qu’un moratoire sur le capital pour les trois premiers mois.  

« Ces nouveaux fonds témoignent de notre engagement à répondre aux besoins des entrepreneurs.es de notre région. En travaillant main dans la main avec eux, nous pouvons bâtir un écosystème entrepreneurial dynamique, durable et résilient », déclare Philippe Massé, directeur général de la SADC des Basques et représentant des SADC du Bas-Saint-Laurent. 

Trois fonds adaptés aux défis des entreprises régionales : 

  1. Fonds Stratégie Transfert : Pour appuyer la relève et assurer la pérennité des entreprises locales grâce au financement de projets de transfert familial, interne ou par acquisition. 
  1. Fonds Stratégie VerteDestiné à accélérer l’adoption de pratiques écoresponsables, ce fonds peut soutenir des initiatives telles que l’intégration de systèmes solaires dans une entreprise de transformation du bois, aidant ainsi l’entreprise à réduire son empreinte carbone et à devenir plus durable dans son secteur. 
  1. Fonds Stratégie NumériqueConçu pour accompagner les entreprises dans leur transition numérique en implantant des solutions technologiques innovantes. Il pourrait, par exemple, permettre à une entreprise de distribution de produits régionaux de développer une application mobile pour améliorer son accessibilité et son service client, renforçant ainsi sa compétitivité sur le marché. 

Un accompagnement personnalisé, une expertise locale 

Au-delà du financement, les SADC offrent un accompagnement de proximité et un accès à un réseau d’experts et de partenaires pour maximiser le potentiel des projets entrepreneuriaux. Grâce à notre enracinement dans les collectivités, nos conseillers.ères comprennent les réalités et les défis économiques du Bas-Saint-Laurent, tel que l’adaptation aux technologies numériques ou l’attraction et la rétention des talents. En réponse, elles proposent des solutions adaptées et efficaces. 

Grâce à cette approche de proximité, globale et sur mesure, l’entreprise la Mine de ketchup a pu en bénéficier dès le début du projet. Située à Padoue dans La Mitis, l’entreprise de transformation alimentaire se spécialise dans la fabrication de ketchup, salsa et autres déclinaisons à partir de la tomate. Elle contribue au développement et au rayonnement de sa région et peut compter sur l’accompagnement et l’expertise de la SADC pour relever les défis d’un parcours entrepreneurial. 

À propos des SADC du Bas-Saint-Laurent 

Les huit SADC du Bas-Saint-Laurent font partie du Réseau des SADC et CAE qui englobe 67 SADC et CAE (Centre d’aide aux entreprises) réparties à travers l’ensemble du Québec. Depuis 40 ans, les SADC du Bas-Saint-Laurent livrent une offre de service complète, soit le développement économique local, l’accompagnement et le financement aux entreprises. Les SADC du Bas-Saint-Laurent comptent plus de 110 professionnels et bénévoles qui contribuent à la stabilité et à la compétitivité des entreprises, favorisent la création d’emplois et soutiennent la rétention des populations au sein de leur territoire. Développement économique Canada pour les régions du Québec appuie financièrement les SADC du Bas-Saint-Laurent. 

*Valider les conditions d’admissibilité et modalités en vigueur auprès de la SADC.  

*Les modalités peuvent varier légèrement d’une SADC à l’autre. 

Pour en savoir plus sur ces nouveaux fonds et les modalités d’accès, visitez https://bit.ly/4g23wnq  

Ensemble, transformons vos projets en succès durables ! 

– 30 – 

Philippe Massé, directeur général SADC des Basques et représentant des SADC du Bas-Saint-Laurent 

(418) 851-3172 poste : 207 

pmasse@sadcbasques.qc.ca 

 

 

Ouverture de Bagels Le Trou à Rouyn-Noranda

🎥 C’est le 16 janvier dernier qu’a eu lieu l’ouverture de Bagels le trou sur la rue Gamble ouest à Rouyn-Noranda. Cette nouvelle offre de bagels de type montréalais frais du jour et d’une variété de sandwichs a nécessité des investissements de près de 200 000$ et a permis la création d’une dizaine de nouveaux emplois.

EMPLOI : directeur-trice de l’accompagnement

L’organisme :

Les SADC et CAE sont des organismes à but non lucratif qui travaillent depuis plus de 40 ans au développement économique des régions du Québec. Le Réseau regroupe 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises). Ils comptent plus de 350 professionnels et 500 bénévoles qui soutiennent des projets et des entreprises innovantes pour des collectivités prospères. Chaque année, ils aident et financent plus de 10 000 entreprises et plus de 1 500 projets locaux.

Contexte du rôle :

Afin de soutenir le développement de l’organisme dans son nouveau modèle d’affaires et le renforcement des capacités des 67 SADC+CAE du Québec, le Réseau aspire à intégrer un leader dynamique pour atteindre ses objectifs ambitieux de croissance, de notoriété et de solidarité. En s’ajoutant à l’équipe déjà en place, le/la directeur-trice de l’accompagnement mettra à contribution son savoir et ses habilités humaines; il/elle devra favoriser le développement organisationnel des 67 SADC+CAE et la croissance professionnelle des employés et bénévoles des conseils d’administration tout en garantissant leur compréhension claire et précise des mandats et des objectifs en lien avec les trois lignes d’affaires : développement économique local, aide technique et financement.

Les défis :

  • Structurer l’accompagnement du Réseau auprès des SADC+CAE
  • Maintenir et renforcer la cohérence et la solidarité au sein du Réseau

Principales responsabilités :

  • Définir et mettre en place une approche d’identification des besoins de formation et d’accompagnement axée sur les trois lignes d’affaires des SADC+CAE
  • Concevoir et mettre en œuvre des outils et parcours de formation sur mesure pour répondre aux besoins des membres
  • Accompagner et soutenir les 67 directions générales des SADC+CAE et leurs conseils d’administration dans la compréhension et l’exécution de leur mandat
  • Mettre en place des groupes d’échange, favoriser les interactions et l’engagement pour améliorer les pratiques ainsi que les compétences techniques, interpersonnelles et de leadership
  • Mobiliser les membres pour trouver les solutions communes à des enjeux de groupes
  • Collaborer à la révision du modèle d’affaires des SADC et CAE

Formation et expériences requises :

  • Baccalauréat en administration, ou dans tout autre domaine connexe pertinent (une expérience pertinente peut compenser le baccalauréat)
  • Au moins 10 années d’expérience pertinentes comme professionnel(le) dans le domaine
  • Au moins 5 années d’expérience au sein d’un conseil d’administration d’un OBNL
  • Bilinguisme requis : Français et anglais parlé et écrit

Compétences et qualités recherchés :

  • Très bonnes connaissances du rôle et fonction d’un SADC+CAE ou autre organisme de développement économique similaire
  • Capacité de communication supérieure
  • Sens politique
  • Posséder de la rigueur et un grand sens de l’organisation
  • Capacité à évoluer au sein d’une petite équipe en ayant un minimum de consignes et de supervision
  • Connaître et utiliser les outils de la suite Office

Les petits + :

  • Salaire concurrentiel
  • Assurances collectives complètes
  • Accès à un programme généreux de REER collectif avec cotisation employeur
  • Vacances généreuses et horaire d’été
  • Possibilité de faire du télétravail et enveloppe forfaitaire pour bien s’équiper
  • Matériel informatique fourni
  • Allocation forfait cellulaire de 500$/ an
  • Environnement axé sur la conciliation travail-vie personnelle
  • Participer activement au développement économique local des collectivités

    Postuler avant le 21 février au : rh@sadc-cae.ca

EMPLOI : adjoint-e administratif-ve et chargé-e des communications

L’organisme :

Les SADC et CAE sont des organismes à but non lucratif qui travaillent depuis plus de 40 ans au développement économique des régions du Québec. Le Réseau regroupe 57 SADC (Sociétés d’aide au développement des collectivités) et 10 CAE (Centres d’aide aux entreprises). Ils comptent plus de 350 professionnels et 500 bénévoles qui soutiennent des projets et des entreprises innovantes pour des collectivités prospères. Chaque année, ils aident et financent plus de 10 000 entreprises et plus de 1 500 projets locaux.

Contexte du rôle :

Afin de soutenir le développement de l’organisme dans son nouveau modèle d’affaires et le renforcement des capacités des 67 SADC+CAE du Québec, le Réseau aspire à intégrer une personne dynamique pour atteindre ses objectifs ambitieux de développement, de notoriété et de solidarité. En s’ajoutant à l’équipe déjà en place, il/elle apporte un soutien de haut niveau en administration et logistique événementiel au Réseau des SADC+CAE et au déploiement de la stratégie de communication afin d’appuyer les objectifs du Réseau et des SADC+CAE en matière de communication externe.

Les défis :

  • Prendre la responsabilité des publications sur les réseaux sociaux
  • Professionnaliser les documents diffusés auprès des membres
  • Appuyer le service de comptabilité

Principales responsabilités :

  • Collaborer à la création de contenus dans les deux langues officielles et au déploiement de diverses activités de communication, telles que la stratégie de médias sociaux, les sites web et les campagnes publicitaires
  • Soutenir les SADC+CAE dans l’application de l’image de marque du Réseau, dans l’application dans la Loi des Langues officielles ainsi que dans la production de matériel promotionnel
  • Appuyer la direction des communications dans la logistique de projets spéciaux (campagnes publicitaires, gabarits web, conférences de presse, événements, etc.)
  • Participer à des rencontres de mobilisation avec les SADC+CAE
  • Être responsable des tâches administratives d’appui et de contrôle, et de gestion des comptes clients (traitement et production des factures et rapports de dépenses)
  • Effectuer la révision, le traitement de texte et la mise en page de différents documents
  • Participer à la convocation, à la préparation et à la logistique de diverses rencontres, réunions et événements
  • Coordonner la circulation des renseignements à l’interne et avec d’autres services et organismes

Formation et expérience requises :

  • Détenir un diplôme dans un domaine pertinent (administration, communication) ou autre domaine connexe
  • Au moins 5 années d’expérience en soutien administratif ou dans des fonctions similaires
  • Expérience dans l’organisation d’événements (un atout)
  • Bilinguisme requis : Français et anglais parlé et écrit

Compétences et qualités recherchés :

  • Excellente maîtrise des logiciels de la suite Microsoft Office
  • Connaissance des logiciels CANVA et WordPress
  • Bonne capacité de rédaction
  • Intérêt marqué pour le développement économique régional et le monde des affaires
  • Capacité à évoluer au sein d’une petite équipe en ayant un minimum de consignes et de supervision
  • Travailler de manière autonome
  • Capacité à travailler de manière organisée en assurant une communication claire

Les petits + :

  • Salaire concurrentiel
  • Assurances collectives complètes
  • Accès à un programme généreux de REER collectif avec cotisation employeur
  • Vacances généreuses et horaire d’été
  • Possibilité de faire du télétravail et enveloppe forfaitaire pour bien s’équiper
  • Matériel informatique fourni
  • Allocation forfait cellulaire de 600$/ an
  • Environnement axé sur la conciliation travail-vie personnelle
  • Participer activement au développement économique local des collectivités

Postuler avant le 21 février au : rh@sadc-cae.ca

Bourse jeune entrepreneur·e : La Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet et ses partenaires dévoilent les finalistes 2025!

La Pocatière, le jeudi 16 janvier 2025 – La Chambre de commerce Kamouraska L’Islet (CCKL), en collaboration avec le Centre d’aide aux entreprises (CAE) Montmagny-L’Islet et la Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) du Kamouraska, est fière d’annoncer les six finalistes de la toute première Bourse jeune entrepreneur·e.

Cette initiative créée par la CCKL au début de 2024 vise à soutenir et encourager les jeunes entrepreneur·es de la MRC de L’Islet et de la MRC de Kamouraska à demeurer en affaires en reconnaissant leur rôle essentiel dans le dynamisme économique de nos communautés.

« Nous sommes fiers d’annoncer les finalistes de la Bourse jeune entrepreneur·e. Ces personnes jouent un rôle crucial dans nos communautés économiques. Leur dynamisme et leur innovation contribuent à la vitalité de nos milieux, favorisant le développement local et la création d’emplois. Ils participent également à contrer l’exode des jeunes vers les centres urbains et encouragent le retour en région », de mentionner fièrement les partenaires.

Finalistes de la MRC de L’Islet :

  • Nicolas Coulombe-Côté, Les Piments de Nic, L’Islet
  • Michael Dubé, Distribution MBD INC., Sainte-Perpétue
  • Gabriel Tremblay, Capitaine T, Saint-Jean-Port-Joli

Finalistes de la MRC de Kamouraska :

  • Émile Alain, Le Blizzaroïde inc., Saint-Pascal
  • Andréanne Lizotte, Boutique C.A.R.A., La Pocatière
  • Stéphanie Pelletier, Resto-Pub le Saint-Pascal, Saint-Pascal

Les deux lauréat·es seront dévoilé·es lors de la Soirée Distinction, qui se tiendra le samedi 25 janvier 2025 au Centre Bombardier de La Pocatière.

Les billets pour cet événement sont disponibles à l’adresse suivante : https://cckl.org/activites/soiree-distinction-2025/

Encourager l’esprit d’initiative chez les jeunes est essentiel pour assurer la croissance et la compétitivité de nos régions.

– 30 –

Pour informations et entrevues :

Nancy Dubé, directrice générale, Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet, 418 856-6227, direction@cckl.org.

Loutres d’hiver – Histoire d’une relève d’entreprise

C’est en 2022 que Caroline Hardy entend parler pour la première fois que Serge Boulanger, propriétaire de l’entreprise la Ruelle Fourrure à Saint-Siméon-de-Bonaventure, recherche une relève prête à se consacrer à un savoir-faire ancestral : la confection de vêtements et d’accessoires faits de fourrure. Celle qui est déjà copropriétaire des Serres Cascabella situées à Cascapédia-Saint-Jules décide alors avec sa collègue et amie Édith Dubuc de saisir l’opportunité et de se lancer à fond dans ce projet de relève. Rencontre avec cette femme entrepreneure passionnée qui s’est découvert avec la fourrure un mode de vie en accord avec ses valeurs humaine, écoresponsable et créative.

 

L’entreprise, en bref

Les Loutres d’hiver créent une grande diversité d’objets à partir de la fourrure récupérée. Parmi les produits offerts en boutique, on retrouve notamment des manteaux, des mitaines, des foulards, des chauffe-mains, des oursons, des coussins et autres accessoires de mode. L’entreprise offre également un service de transformation de manteaux de fourrure qui permet de leur redonner une deuxième vie. « On reçoit beaucoup de manteaux en don ou en échange. Quand les gens viennent transformer eux-mêmes, c’est encore plus le fun parce que ça leur fait un souvenir. Soit on transforme leur manteau en veste ou en coussin ou en ourson », explique Caroline.

 

Comment s’est présentée à vous cette opportunité de relève d’entreprise ? Quelle est VOTRE histoire de relève ?

Avant d’être une histoire de relève, l’histoire de Caroline est d’abord une histoire d’amitié qui s’est développée avec Édith Dubuc, avec qui elle a d’abord travaillé dans son entreprise. « C’est un projet qui est parti d’une idée dans les plates-bandes! », se remémore avec le sourire Caroline.

C’est lors d’une visite à l’atelier la Ruelle Fourrure qu’Édith découvre pour la première fois ce métier dont elle n’avait jamais entendu parler. Serge lui propose alors de l’initier à la fourrure en échange d’un coup de main à l’atelier, ce qu’Édith accepte. Après quelque temps, bien au fait que Serge est à la recherche d’une relève, Édith commence à considérer l’idée de reprendre l’entreprise. Cependant, elle recherche quelqu’un d’expérience en entrepreneuriat afin de se lancer officiellement. Et comme Caroline s’était déjà lancée dans un projet de repreneuriat il y a plus de 15 ans, l’idée de faire relève ensemble prend forme : « Édith, elle aimait vraiment faire ça, mais elle me disait ¨Je ne me sens pas assez les reins solides pour être toute seule en entreprise. ¨ Moi j’ai dit ¨Je peux faire ça, je l’ai déjà fait! ¨ (rires). On est ensuite venues rencontrer Serge », se remémore-t-elle.

À l’automne 2022, Caroline et Édith officialisent l’achat de l’entreprise. Débute alors un impressionnant processus de transfert de connaissances de quatre mois, où Caroline et Édith tentent d’absorber le plus de savoirs possibles avec Serge. Le défi est de taille pour Caroline qui n’a jamais travaillé la fourrure : « J’avais une machine à coudre chez nous, mais surtout pour des projets utilitaires. Je n’avais jamais pensé que je ferais ça. J’ai passé beaucoup de temps devant les machines à apprendre ». C’est ainsi que Serge travaille à temps plein avec elles d’octobre à décembre, autant pour transmettre ses connaissances que pour les aider dans leur production.

À partir de 2023, Caroline et Édith commencent à prendre leur envol seules. Toutefois, leur projet de relève reste marqué par la relation qu’elles ont développée avec Serge, qui agit en tant que véritable mentor dans leur projet. « Parce qu’il n’est pas loin, il peut venir nous aider quand on a des questions. Et ça lui fait toujours plaisir. […] Il est à la retraite, mais il est toujours à l’affût et il vient nous dire ¨J’ai vu telle entreprise, vous pourriez faire ça¨. C’est le fun, on sent qu’il a à cœur qu’on réussisse ».

 

En quoi votre entreprise se démarque-t-elle particulièrement ?

Comment se démarque-t-on lorsque l’on reprend une entreprise d’un artisan ayant cumulé des années d’expérience ? Rapidement, Caroline et sa partenaire ont saisi qu’elles pouvaient se démarquer par le fait qu’elles forment une équipe, où l’une est spécialisée avec le travail de la fourrure et l’autre avec la finition. Pendant qu’Édith travaille la matière première, Caroline réalise la finition, ce qui leur permet de réaliser tout le processus de création dans leurs locaux. Leur entreprise se démarque également des autres artisans par leur volonté de confectionner des créations utilitaires. « Quand on regarde nos mitaines, on les a faites amovibles, avec fourrure intérieure, avec fourrure extérieure, que tu peux mettre dans un sens et l’autre, et ça te fait 3 paires de mitaines en une. Pourquoi faire simple ? », raconte-t-elle en riant.

 

Quels changements avez-vous apportés à l’entreprise ? Comment souhaitez-vous la faire évoluer dans les prochaines années ?  

Bien que les premiers mois aient surtout été synonymes d’apprentissage et que peu de changements ont été apportés à l’entreprise, Caroline et Édith ont rapidement voulu transmettre leurs valeurs à leur nouvelle entreprise. C’est ainsi qu’elles ont choisi d’adopter un nouveau nom, même si la Ruelle Fourrure était bien connue dans son milieu. « On voulait trouver un nom qui nous ressemble, et les Loutres, ça nous ressemble vraiment. C’est un animal qui est joueur, qui aime s’amuser, qui est créatif. On trouvait que ça nous représentait bien », explique Caroline. Elles choisissent également d’ajouter la mention Fourrure récupérée, afin de mettre de l’avant leur volonté de faire de la fourrure récupérée leur matière première pour leurs créations. Pour les prochaines années, Caroline souhaite avant tout conserver la saisonnalité et la taille à échelle humaine de l’entreprise, qui font la force de leur projet. Elle souhaite cependant continuer de mettre à profit sa créativité dans la confection de vêtements utilitaires. « On a développé notre patron pour des vestes sans manches réversibles. […] Peut-être développer une veste sans manche pour homme », laisse-t-elle entrevoir.

 

Qu’est-ce que le soutien de la SADC vous a apporté dans votre projet de relève ?

Caroline connaissait déjà la SADC par le biais de sa première entreprise. Aller chercher le soutien de la SADC s’est donc fait naturellement. Grâce à ses démarches, Caroline a obtenu de l’aide financière de la SADC via le Fonds Stratégie jeunesse, ce qui lui a permis de bénéficier d’un congé d’intérêt d’une durée de 24 mois.

 

Quels conseils aimeriez-vous donner à une personne qui souhaite se lancer dans un projet de relève ?

Si entreprendre est souvent synonyme de Faire vite et bien, les projets de relève nécessitent généralement plus de temps afin de permettre le transfert de connaissances. C’est d’ailleurs le conseil que souhaite donner Caroline, qui résume parfaitement la réalité des repreneurs : « Par enthousiasme, on veut souvent aller vite au début. Un constat que j’ai fait en arrivant, c’est que ça ne sera pas possible d’aller vite. À la machine c’était évident : j’essayais d’aller plus vite que la machine et ce n’était pas possible. Si je m’inspire de ce qu’on a vécu, mon conseil est de Laisser au temps, le temps ».

 

À propos de Caroline Hardy

Originaire de Boucherville, Caroline s’est installée en Gaspésie avec son conjoint en 2007, année où ils ont fait l’acquisition des Serres Cascabella à Cascapédia–Saint-Jules. En 2022, elle a décidé de mettre à profit ses qualités entrepreneuriales et artistiques en faisant l’acquisition de l’entreprise la Ruelle Fourrure, qui a évolué avec le temps pour devenir Loutres d’hiver – fourrure récupérée.

Dîner-conférence – « La meilleure façon de prédire le futur c’est de l’inventer! »

La SADC de Rouyn-Noranda vous invite à assister au dîner-conférence de Dominic Gagnon, intitulée La meilleure manière de prédire le futur, c’est de l’inventer!

Cette conférence témoignage présentera la trajectoire entrepreneuriale de Dominic Gagnon, qui a plongé dans le monde des affaires très tôt dans sa vie pour transformer son déficit d’attention en générateur d’idées à succès. Ce parcours est façonné par le développement de sa première agence web au Saguenay à 14 ans, l’édification de son agence mobile Piranha jusqu’à sa vente, la création de Connect&GO (société montréalaise spécialisée dans le domaine des bracelets intelligents et de la technologie RFID) et l’écriture de son premier livre. Dominic partagera à coeur ouvert ses succès comme ses échecs, mais surtout ses apprentissages avec vous. Reconnu comme l’une des 15 personnes les plus innovantes au monde auprès des géants comme Disney et Target par le très réputé magazine américain BizBash, Dominic Gagnon parlera entre autres de persévérance, de l’importance d’accepter l’échec et la nécessité d’instaurer un climat d’innovation dans les organisations.

En plus d’être l’auteur de 4 « best-sellers », mentor et investisseur dans des « start-ups », membre du conseil d’administration et PDG en résidence chez Zù (une organisation à but non lucratif dédiée à soutenir les talents créatifs dans le domaine du divertissement fondée par Guy Laliberté), il agit aussi à titre de blogueur pour Les Affaires.

La conférence est offerte au coût de 25 $ plus tx. Les places sont limitées!!

Voici le lien pour vous inscrire : https://forms.office.com/r/EWm71yBK2t?origin=lprLink

BNE du 13 janvier 2025 – Le Balthazar Café ouvre ses portes à Rouyn-Noranda

Depuis octobre, le Balthazar Café est une nouvelle option bistro à Rouyn-Noranda pour les diners, mais aussi les repas en entreprise. Suite à la fermeture du St-Honoré, c’est grâce à un investissement de M. Paul Coutu, qu’une dizaine d’emplois ont été conservés et que le bâtiment historique continuera à faire vivre à ses clients des dîners de qualités dans une ambiance chaleureuse et moderne.

BNE 16 décembre 2024 – Inauguration de la nouvelle Expérience thermale boréale de son Jardin Spa du Noranda Hôtel & Spa

Le 9 décembre dernier, le Noranda Hôtel & Spa a inauguré la nouvelle Expérience thermale boréale de son Jardin Spa. Inspiré de la forêt boréale, ce projet de 5,5 M$, réalisé en collaboration avec le ministère du Tourisme via le PARIT, devrait attirer 20 000 visiteurs annuellement, renforçant l’attractivité touristique et économique de Rouyn-Noranda et de toute la région, en plus de créer 12 nouveaux emplois

11 février 2025 : Café-rencontre de Solidarité rurale du Kamouraska

Invitation au prochain CAFÉ-RENCONTRE

  • Mardi 11 février 2025, de 9 h à 12 h
  • Salle du Club des 50 ans et + de Sainte-Hélène-de-Kamouraska
    (529-B, rue de l’Église Nord)

Portrait du Kamouraska : la situation et l’évolution de notre territoire

  • La démographie, l’immigration et l’occupation du territoire;
  • La structure et la vitalité économique, le marché du travail, le coût de la vie;
  • La santé globale, la scolarité, l’habitation;
  • Le développement social et l’organisation communautaire;
  • Le milieu municipal et les grands chantiers;
  • Les impacts du climat, et plus encore!

Dans le cadre du renouvellement de sa planification stratégique, la SADC du Kamouraska a réalisé un portrait socio-économique du territoire. Cet exercice de cueillette et d’analyse de données a permis de dresser un état de situation riche en informations qu’elle souhaite maintenant partager.

Avec la collaboration de la MRC de Kamouraska et de la Corporation de développement communautaire (CDC) du Kamouraska, la SADC a pu bonifier le contenu et est en mesure de vous présenter un aperçu encore plus complet de la situation et de l’évolution de notre région.

Beaucoup d’informations sur notre Kamouraska seront partagées et discutées sur différentes thématiques, lors de ce rendez-vous où les citoyen·nes, acteurs socio-économiques, élu·es et entrepreneur·es sont les bienvenu·es.

Émilie Dupont, conseillère en économie circulaire à la SADC du Kamouraska, sera la principale conférencière, appuyée par Gabriel Giroux, agent d’accompagnement de projets en développement social à la MRC de Kamouraska.

La présentation du portrait socio-économique sera suivie d’une période de discussion en sous-groupes et d’un moment d’échange en grand groupe, afin de vous permettre d’exprimer de façon constructive vos questions, réactions, constats, propositions et préoccupations.

Ne manquez pas cette activité conviviale et enrichissante, propice aux rencontres et au réseautage!

INSCRIPTION gratuite, mais obligatoire en cliquant ICI, au plus tard le vendredi 7 février 2025.

INFORMATION : 418-856-3482, poste 102 | ichouinard@sadckamouraska.com